Le diplomate algérien Lakhdar Brahimi est revenu une nouvelle fois sur la santé du chef de l’État Abdelaziz Bouteflika, qui n’apparaît plus qu’en de rares occasions depuis un Accident vasculaire cérébral (AVC) dont il a été victime en 2013.
Ainsi, Lakhdar Brahimi a indiqué que le chef de l’État « jouit de toutes ses facultés physiques et intellectuelles ». « Sa mémoire est très forte. C’est lui qui me fait rappeler parfois des personnes et des dates. À part sa voix basse, il est en très bonne santé. Il gouverne, gère et suit les dossiers et toutes les affaires du pays » a indiqué Lakhdar Brahimi dans un entretien au site Algérie Diplomatique.
« Avec sa décision d’éloigner le chef d’état-major Mohamed Lamari et l’ancien chef du DRS, le général Toufik, il a mis en place les bases de l’État civil et il a prouvé qu’il était le président réel avec toutes les prérogatives dont ne jouissaient pas les autres présidents » a-t-il dit.
Sur les rumeurs lui prêtant des ambitions présidentielles pour l’année 2019, l’ancien chef de la diplomatie algérienne a déclaré « je n’ai aucune ambition présidentielle et encore moins la gestion d’une période de transition ». Concernant la situation politique entre l’Algérie et le Maroc, notamment la situation des frontières terrestres qui demeurent fermées depuis plus d’une vingtaine d’années, le diplomate s’est dit « convaincu que la situation aux frontières algéro-marocaines n’est pas admissible.
On aurait souhaité que les relations entre les deux pays évoluent à travers l’ouverture des frontières et le développement de la coopération entre eux ».
Observ
Par Jugurta Nam
Ainsi, Lakhdar Brahimi a indiqué que le chef de l’État « jouit de toutes ses facultés physiques et intellectuelles ». « Sa mémoire est très forte. C’est lui qui me fait rappeler parfois des personnes et des dates. À part sa voix basse, il est en très bonne santé. Il gouverne, gère et suit les dossiers et toutes les affaires du pays » a indiqué Lakhdar Brahimi dans un entretien au site Algérie Diplomatique.
« Avec sa décision d’éloigner le chef d’état-major Mohamed Lamari et l’ancien chef du DRS, le général Toufik, il a mis en place les bases de l’État civil et il a prouvé qu’il était le président réel avec toutes les prérogatives dont ne jouissaient pas les autres présidents » a-t-il dit.
Sur les rumeurs lui prêtant des ambitions présidentielles pour l’année 2019, l’ancien chef de la diplomatie algérienne a déclaré « je n’ai aucune ambition présidentielle et encore moins la gestion d’une période de transition ». Concernant la situation politique entre l’Algérie et le Maroc, notamment la situation des frontières terrestres qui demeurent fermées depuis plus d’une vingtaine d’années, le diplomate s’est dit « convaincu que la situation aux frontières algéro-marocaines n’est pas admissible.
On aurait souhaité que les relations entre les deux pays évoluent à travers l’ouverture des frontières et le développement de la coopération entre eux ».
Observ
Par Jugurta Nam
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