Plus de 2 000 chômeurs ont battu le pavé hier samedi à Ouargla. Une marche qui est le fruit de trois mois de mobilisation. Pour les organisateurs, ce n’est que le préambule d’une plus grande mobilisation.
Ils étaient nombreux à avoir répondu à l’appel d’un nouveau collectif pour la défense des droits des chômeurs hier dans le centre ville d’Ouargla. La marche a eu pour point de départ Souk El Hdjar au cœur de la ville. L’objectif : protester contre la précarité qui touche de plus en plus la frange des chômeurs et réclamer une vie digne pour tout le monde.
Cette manifestation, les organisateurs la perçoivent comme une démonstration de force préalable à un mouvement encore plus important. Selon Abdelbaki Mellouhe, l’un des initiateurs de cette action, la marche d’hier est le fruit de trois mois de mobilisation sur le terrain et sur les réseaux sociaux. Le jeune chômeur présente son mouvement comme étant similaire à celui initié par Tahar Belabes.
Les revendications portées sont pourtant les mêmes depuis décennies. Ces jeunes réclament des emplois dans le secteur du pétrole. Ils demandent également la mise en place d’un véritable plan de développement pouvant sortir la région de la précarité qui la caractérise.
La manifestation d’hier avait, cependant, inclus une nouvelle revendication. L’épidémie de rougeole qui a affecté des régions du Sud inquiètent. La question a été portée parmi les requêtes des protestataires qui ont demandé une prise en charge sérieuse de ce problème.
Ils étaient nombreux à avoir répondu à l’appel d’un nouveau collectif pour la défense des droits des chômeurs hier dans le centre ville d’Ouargla. La marche a eu pour point de départ Souk El Hdjar au cœur de la ville. L’objectif : protester contre la précarité qui touche de plus en plus la frange des chômeurs et réclamer une vie digne pour tout le monde.
Cette manifestation, les organisateurs la perçoivent comme une démonstration de force préalable à un mouvement encore plus important. Selon Abdelbaki Mellouhe, l’un des initiateurs de cette action, la marche d’hier est le fruit de trois mois de mobilisation sur le terrain et sur les réseaux sociaux. Le jeune chômeur présente son mouvement comme étant similaire à celui initié par Tahar Belabes.
Les revendications portées sont pourtant les mêmes depuis décennies. Ces jeunes réclament des emplois dans le secteur du pétrole. Ils demandent également la mise en place d’un véritable plan de développement pouvant sortir la région de la précarité qui la caractérise.
La manifestation d’hier avait, cependant, inclus une nouvelle revendication. L’épidémie de rougeole qui a affecté des régions du Sud inquiètent. La question a été portée parmi les requêtes des protestataires qui ont demandé une prise en charge sérieuse de ce problème.
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