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Maroc:aéronautique: Le chiffre d’affaires à l’export en hausse de 18,4% en 2017

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  • Maroc:aéronautique: Le chiffre d’affaires à l’export en hausse de 18,4% en 2017

    Le secteur monte en puissance d'année en année. Ainsi, le taux d’intégration locale a atteint 29% en 2017, contre 17% deux ans plus tôt. Les performances à l’export sont très bonnes aussi, vu que le secteur a enregistré une hausse de 18,4% de son chiffre d’affaires sur ce segment.

    Le secteur aéronautique marocain a pris son envol en 2017, souligne L’Economiste dans sa livraison de ce 13 mars. S’appuyant sur les statistiques du GIMAS (Groupement des industries aéronautiques et spatiales du Maroc), le journal précise que le taux d’intégration locale en 2017 a atteint 29%, contre 17% deux ans plus tôt, ajoutant que cela constitue une fierté pour la tutelle qui table sur 35% dès 2020.



    De même, le chiffre d’affaires à l’export a enregistré une hausse de 18,4% au cours de l’année passée, tandis que les effectifs recrutés ont atteint 15.500 salariés. Selon le quotidien, le développement des filières diversifiées comme le câblage, la mécanique ou encore le composite positionne le Maroc en tant que destination privilégiée de la sous-traitance aéronautique.



    Pour le président du GIMAS, Karim Cheikh, c’est une nouvelle ère que le secteur amorce avec une continuité dans la stratégie adoptée jusque-là. Il estime d’ailleurs que le Maroc a atteint le niveau de maturité requis et possède désormais les outils qui lui permettent de prendre une place plus forte dans cette industrie et de ne pas manquer les opportunités qui lui sont offertes. Cependant, il y a de nouveaux défis tels que la qualité de service, la capacité à livrer, le timing, les smart supply chain… L’innovation de la part des équipementiers devient un impératif en vue de répondre parfaitement aux exigences des leaders mondiaux, dont Airbus et Boeing.



    L’ Economiste souligne que, pour une meilleure intégration locale, les équipementiers des rangs 1 et 2 sont appelés à étoffer leurs réseaux, à stabiliser et maximiser les volumes avec leurs fournisseurs. Sur le plan de la formation, les différents équipementiers installés dans le royaume ne cachent pas leur satisfaction.



    le360

  • #2
    Il faut créer d'autre zones industrielles qui sortent de l'axe Tanger-Casa-Berrechid, en favorisant d'autres villes comme Tetouan, Nador ou Oujda.

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