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Une nounou américaine, January Neatherlin, a été condamnée le 9 mars dernier à 21 ans de prison pour avoir drogué les enfants placés sous sa responsabilité pour aller se faire bronzer, faire du sport ou faire ses courses.
Chaque jour, à l'heure de la sieste, January Neatherlin administrait de la mélatonine aux enfants qu'elle gardait chez elle à Bend dans l'Oregon. Une stratégie qui lui permettait de sortir seule faire du shopping, se faire bronzer, ou encore participer à des séances de crossfit.
Elle a plaidé coupable pour 11 cas de maltraitance, qui se sont étalés sur une période d'environ 4 ans note le journal local The Oregonian sur son site internet (en anglais).
Dénoncée par son ex
Elle demandait aux parents des enfants de ne pas venir les chercher entre 11 heures et 14 heures, ce qui lui permettait de quitter son domicile sans éveiller de soupçons.
C'est une dénonciation de son ex-compagnon qui a amené la police à enquêter sur son cas. Les policiers ont alors pu constater via une surveillance qu'elle s'absentait quand les enfants étaient chez elle.
"C'est un parfait hasard, et une chance qu'aucun de ces enfants ne soit mort"
"J'aimais tous les enfants dont j'avais la garde, s'est pourtant défendue January Neatherlin, et je crois qu'ils m'aimaient et appréciaient de passer du temps avec moi durant la semaine", rapporte un autre média local,The Bulletin (en anglais).
"Il y a quelque chose de brisé en vous, a affirmé le juge, c'est un parfait hasard, et une chance qu'aucun de ces enfants ne soit mort", a-t-il ajouté.
JSL
Chaque jour, à l'heure de la sieste, January Neatherlin administrait de la mélatonine aux enfants qu'elle gardait chez elle à Bend dans l'Oregon. Une stratégie qui lui permettait de sortir seule faire du shopping, se faire bronzer, ou encore participer à des séances de crossfit.
Elle a plaidé coupable pour 11 cas de maltraitance, qui se sont étalés sur une période d'environ 4 ans note le journal local The Oregonian sur son site internet (en anglais).
Dénoncée par son ex
Elle demandait aux parents des enfants de ne pas venir les chercher entre 11 heures et 14 heures, ce qui lui permettait de quitter son domicile sans éveiller de soupçons.
C'est une dénonciation de son ex-compagnon qui a amené la police à enquêter sur son cas. Les policiers ont alors pu constater via une surveillance qu'elle s'absentait quand les enfants étaient chez elle.
"C'est un parfait hasard, et une chance qu'aucun de ces enfants ne soit mort"
"J'aimais tous les enfants dont j'avais la garde, s'est pourtant défendue January Neatherlin, et je crois qu'ils m'aimaient et appréciaient de passer du temps avec moi durant la semaine", rapporte un autre média local,The Bulletin (en anglais).
"Il y a quelque chose de brisé en vous, a affirmé le juge, c'est un parfait hasard, et une chance qu'aucun de ces enfants ne soit mort", a-t-il ajouté.
JSL
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