Info exclusive Oumma : Contrairement à ce qui a pu être écrit dans la presse, Tariq Ramadan n’a jamais souhaité changer d’avocat. Selon des sources très proches du dossier, certains membres du comité de soutien de l’islamologue suisse, davantage préoccupés par un agenda personnel que par l’efficacité de sa défense, ont fomenté un véritable « coup d’état » en cherchant à se débarrasser de maître Yassine Bouzrou.
Ces derniers avaient demandé à le rencontrer à plusieurs reprises. Ce qu’a toujours refusé catégoriquement l’avocat. Deux membres du comité de soutien ont alors essayé de le disqualifier, tout en se mettant en quête d’un autre avocat pénaliste, dont Me Dupont-Moretti, le ténor du barreau que l’on ne présente plus. Celui-ci n’aurait pas répondu à leurs sollicitations.
Face à ces tentatives de « putsch interne », Tariq Ramadan a aussitôt renouvelé toute sa confiance à Me Bouzrou. Par ailleurs, suite à la formation d’un pôle de défense chargé de plaider la cause des victimes présumées, avec à sa tête l’avocat de renom Francis Szpiner – connu pour avoir défendu de nombreuses personnalités politiques, mais aussi pour avoir été l’avocat de la partie civile dans l’affaire Ilan Halimi et celui de la Mosquée de Paris dans l’affaire des caricatures du Prophète publiées par Charlie-Hebdo – Me Bouzrou a jugé bon de proposer à Tariq Ramadan de renforcer, lui aussi, sa défense, en s’adjoignant les compétences de Me Emmanuel Marsigny, spécialisé dans les dossiers sensibles, politiquement et médiatiquement.
Il est à noter que Henda Ayari s’est séparée de ses deux premiers avocats, Mes Grégoire Leclerc et Jonas Haddad.
Emmanuel Marsigny, cet ancien associé du cabinet Metzner qui s’est fait un nom en plaidant, entre autres, dans l’affaire des biens mal acquis, des emplois fictifs de la ville de Paris ou encore de la tentative d’assassinat sur son confrère Karim Achoui, est proche d’un des membres du comité de soutien de l’islamologue suisse. Ce dernier préfère rester dans l’ombre, refusant absolument d’apparaître publiquement.
Contrairement aux assertions fallacieuses véhiculées dans les médias et dont certains se sont fait des gorges chaudes, Tariq Ramadan est toujours défendu par Me Yassine Bouzrou lequel, encore une fois, a toute sa confiance. Preuve en est, c’est à lui qu’incombe la coordination du pôle d’avocats approuvé par l’intellectuel genevois, composé de Me Julie Granier, son associée, de Me Emmanuel Marsigny et des deux avocats suisses, Marc Bonnant et Yaël Hayat.
Rappelons également que dans le dernier classement établi par le magazine masculin trimestriel GQ ( le Gentlemen’s Quaterly ), Me Yassine Bouzrou se hisse dans le top 30 des avocats les plus puissants de France. Il devance ainsi maître Szpiner, l’avocat de Henda Ayari, alors que l’avocat Emmanuel Marsigny, qui a été recommandé par un des membres du comité de soutien de Tariq Ramadan, ne figure pas dans ce même classement.
Ces derniers avaient demandé à le rencontrer à plusieurs reprises. Ce qu’a toujours refusé catégoriquement l’avocat. Deux membres du comité de soutien ont alors essayé de le disqualifier, tout en se mettant en quête d’un autre avocat pénaliste, dont Me Dupont-Moretti, le ténor du barreau que l’on ne présente plus. Celui-ci n’aurait pas répondu à leurs sollicitations.
Face à ces tentatives de « putsch interne », Tariq Ramadan a aussitôt renouvelé toute sa confiance à Me Bouzrou. Par ailleurs, suite à la formation d’un pôle de défense chargé de plaider la cause des victimes présumées, avec à sa tête l’avocat de renom Francis Szpiner – connu pour avoir défendu de nombreuses personnalités politiques, mais aussi pour avoir été l’avocat de la partie civile dans l’affaire Ilan Halimi et celui de la Mosquée de Paris dans l’affaire des caricatures du Prophète publiées par Charlie-Hebdo – Me Bouzrou a jugé bon de proposer à Tariq Ramadan de renforcer, lui aussi, sa défense, en s’adjoignant les compétences de Me Emmanuel Marsigny, spécialisé dans les dossiers sensibles, politiquement et médiatiquement.
Il est à noter que Henda Ayari s’est séparée de ses deux premiers avocats, Mes Grégoire Leclerc et Jonas Haddad.
Emmanuel Marsigny, cet ancien associé du cabinet Metzner qui s’est fait un nom en plaidant, entre autres, dans l’affaire des biens mal acquis, des emplois fictifs de la ville de Paris ou encore de la tentative d’assassinat sur son confrère Karim Achoui, est proche d’un des membres du comité de soutien de l’islamologue suisse. Ce dernier préfère rester dans l’ombre, refusant absolument d’apparaître publiquement.
Contrairement aux assertions fallacieuses véhiculées dans les médias et dont certains se sont fait des gorges chaudes, Tariq Ramadan est toujours défendu par Me Yassine Bouzrou lequel, encore une fois, a toute sa confiance. Preuve en est, c’est à lui qu’incombe la coordination du pôle d’avocats approuvé par l’intellectuel genevois, composé de Me Julie Granier, son associée, de Me Emmanuel Marsigny et des deux avocats suisses, Marc Bonnant et Yaël Hayat.
Rappelons également que dans le dernier classement établi par le magazine masculin trimestriel GQ ( le Gentlemen’s Quaterly ), Me Yassine Bouzrou se hisse dans le top 30 des avocats les plus puissants de France. Il devance ainsi maître Szpiner, l’avocat de Henda Ayari, alors que l’avocat Emmanuel Marsigny, qui a été recommandé par un des membres du comité de soutien de Tariq Ramadan, ne figure pas dans ce même classement.
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