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Ould Abbes : On a proposé à Bouteflika la présidence “sur un plateau d’or en 1995”

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  • Ould Abbes : On a proposé à Bouteflika la présidence “sur un plateau d’or en 1995”

    Djamel Ould Abbes : On a proposé à Bouteflika la présidence “sur un plateau d’or en 1995” (Vidéo)

    jamel Ould Abbes a fait longuement l’éloge du président Abdelaziz Bouteflika qui « n’a pas couru derrière les responsabilités ». Intervenant à l’ouverture de la réunion avec les mouhafedhs organisée ce samedi 17 mars, le secrétaire général du FLN a rappelé la proposition faite au chef de l’État en 1995.

    « Le 25 janvier 1995, nous étions à l’Aurassi, il y avait des négociations avec la direction effective (du pays). Après trois jours, ils lui ont proposé sur un plateau d’or et non un plateau d’argent de devenir le président de la République », a-t-il avancé.

    « Mais comme il avait dit plus tard – “je ne veux pas être les trois quarts d’un président”-, il a renoncé à présider l’État. Peu de personnes auraient renoncé à une telle proposition », a-t-il souligné. Et d’ajouter : « Le premier parti qui a fait revenir Bouteflika (en 1998), c’est le FLN ».
    Pour Djamel Ould Abbes, le président Bouteflika est l’homme des miracles qui ne parle pas beaucoup (…) qui donne des instructions et qui intervient lorsque celles-ci ne sont pas appliquées ».
    TSA
    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

  • #2
    « Le 25 janvier 1995, nous étions à l’Aurassi, il y avait des négociations avec la direction effective (du pays). Après trois jours, ils lui ont proposé sur un plateau d’or et non un plateau d’argent de devenir le président de la République », a-t-il avancé.
    pétrole a 15 dollars , guerre civile , dette extérieure a plus de 35 milliards , FMI et rééchelonnement ... non ça c'est pas pour lui ... il n'as pas les "cojones" pour ça , faut pas ce mentir .... il a plus de la belette que du dragon ......
    tu tombe je tombe car mane e mane
    après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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    • #3
      En 1995, c'était encore très chaud, l'avenir du pays était incertain, il avait fui la responsabilité. En 1999, le terrorisme était déjà vaincu, pas entièrement, mais ça ne représentait plus une menace existentielle, pour le reste, son bilan tout le monde le connait.

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      • #4
        Djamel Ould Abbes : On a proposé à Bouteflika la présidence “sur un plateau d’or en 1995” (Vidéo)
        Comme la camarilla qu'ils sont! Il l'avoue toute honte bue!... Et la souveraineté du Peuple Algérien qui fait des mou'adjizate il s'assoit allègrement dessus!

        Ah oui! j'oubliais; quand le peuple vote c'est le fis qu'il choisit vu qu'en votant fis, on s'assure une place au paradis!!! Franchement comme disait l'autre:
        PAYS DE M....
        "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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        • #5
          Djamel Ould Abbes : On a proposé à Bouteflika la présidence “sur un plateau d’or en 1995” (Vidéo)
          un pays d'amis et d'offrande...et ca continnue

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          • #6
            pour le président du FLN, 1er parti du pays, ca l'a fout mal de parler de prise de pouvoir de cette façon, comme si le peuple et les élections ne comptaient pas du tout...

            mais je pense que ce ould machin est tellement sénile qu'il ne mesure pas ce qu'il dit.

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            • #7
              En 1994 ou en 1995? Il est dit que Boutef soit été adoubé en 1994 mais sur conseils de Ben Bella (" ils vont te réserver le sort que tu m'avais réservé et s'ils te refusent le commandement de l'armée, refuse l'offre"), raison pour laquelle il ait renoncé à briguer la présidence algérienne pour cause- que selon lui- en démocratie tout chef d'Etat est automatiquement celui des armées.

              Ceci explique la raison pour laquelle plus tard, l'atrabilaire Boutef vengera l'affront en narguant tous les galonnés algériens lors d'un meeting à Tipaza.

              - Selon lui, si les militaires ont finalement choisi Bouteflika, malgré une évidente antipathie, c'est «parce qu'il a réussi à créer l'illusion qu'il est un vrai chef d'Etat, tant à l'extérieur qu'à l'intérieur, dans une partie au moins de l'opinion» et que «cela a des avantages».
              (...).

              Il faut dire que la cohabitation entre le chef de l'Etat et les responsables de l'armée n'a pas été facile au cours de ces cinq dernières années et que la méfiance est aujourd'hui mutuelle. L'ex-ministre des Affaires étrangères de Boumediene avait été adoubé en 1999 par la hiérarchie militaire avec pour mission de redorer le blason du pays, terni par des années de «sale guerre».

              «Il y avait un accord. Il était là pour améliorer l'image de l'Algérie à l'extérieur et appliquer la trêve négociée avec l'Armée islamique du salut [AIS, le bras armé du FIS]. Mais il ne devait pas aller au-delà, ni s'occuper de la gestion interne de l'institution militaire ou intervenir dans sa chaîne de commandement», dit Chafik Mesbah.
              (...).

              Les responsables militaires, eux, découvrent un chef de l'Etat qui n'hésite pas à les traiter publiquement de «tigres de papier» - c'était lors d'un meeting à Tipaza - et ne manque pas une occasion de leur rappeler qu'ils n'étaient que des «gamins» quand il était, lui, déjà, le n° 2 du régime... Autant de propos qui passent mal-.

              L'Express.fr

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              • #8
                Il faut savoir que c'est au mois de novembre 1998 que Boutef annoncera- par truchement de la Tribune de Genève et à la stupéfaction générale- qu'il se portera candidat à la présidentielle algérienne de 1999.

                On croyait Boutef "disparu des radars" et nombreux analystes s'étaient montrés sceptiques quant à l'annonce de Boutef. Et pourtant, cela s'était avéré effectif contre toute atteinte.

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                • #9
                  Relevons que c'est un Boutef "métamorphosé" quand il annonce à la Tribune de Genève son intention de se porter candidat à la présidence algérienne.

                  C'est un Boutef qui a abandonné tout un idéal socialiste dû par sa fonction " de conseiller financier de nababs arabes" et- fonction- qui lui a permis d'amasser une fortune de 8 millions de dollars et cette fortune augure à croire qu'il soit sincère lorsqu'il suppute que son retour en politique n'obéit qu'à sortir l'Algérie de son marasme financier!

                  "Si je suis élu, je ferai travailler ce peuple polonais d'Algériens" (dixit).
                  Dernière modification par rago, 17 mars 2018, 21h00.

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                  • #10
                    honnêtement j en veux à ceux qui l on amené au pouvoir

                    4 mandat l algerie est très mal gouverne il a tué l opposition le fmi à critique l algerie sur la réforme économique avec raison pour moi l algerie est en faillite
                    malgré ses richesses ou va l argent le pouvoir maltraite son peuple les médecins sont humilié les étudiants pareil les militaires retraites idem l indépendance nous a coûté cher respecte les algériens

                    surtout la jeunesse

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                    • #11
                      Et surtout qu'il s'en aille ,il n'est pas dit qu'il doit s'accrocher au trône éternellement ......Mon dieu ,le spectre du 5 eme mandat est en train de se dessiner de jour en jour ....C'est terrible !!
                      L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit.”Aristote

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                      • #12
                        malheureusement je crois bien que ta raison rien ne nous seras épargné

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                        • #13
                          C'est la démocratie à l'algerenne en mache,
                          Le suffrage universel appliqué à la façon socialo-communiste.
                          Brûler les étapes n'amène rien de bon surtout que les populations ne sont pas mûres pur des changements aussi brutaux comme ça à été fait durant le mandat de Chadli.
                          L'expérience a été un échec, la situation actuelle est à mon avis bénéfique pour l'Algérie, la paix est préservée, les tueries se sont arrêtées et les populations se sentent en sécurité.
                          Les libertés peuvent attendre.

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                          • #14
                            les populations ne sont pas mûres pur des changements aussi brutaux comme ça à été fait durant le mandat de Chadli.
                            la situation actuelle est à mon avis bénéfique pour l'Algérie
                            Mon dieu, qu'est-ce qu'il ne faut pas lire sur ce forum, des fois !
                            Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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                            • #15
                              Que veut le peuple ?!
                              On peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre.
                              L'Algérie choisirait Bouteflika pour tout les mandats qu'il souhaite, pourvu qu'il les survive.
                              Dernière modification par Anzoul, 18 mars 2018, 11h54.

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