Tweet
MADRID - Des parlementaires de différents groupes politiques de la région de Castille et Leon ont exprimé leur soutien total à la cause sahraouie, avant leur départ pour une visite de cinq jours aux camps des réfugiés sahraouis où ils devront rencontrer des responsables du Front Polisario.
Ces parlementaires ont expliqué aux médias espagnols, lors d’une conférence de presse, les objectifs attendus de leur visite aux camps des réfugiés sahraouis. Les porte-paroles des parti de l’izquierda unida et Equo, Pablo Fernandez et José Sarrion ont rappelé que le peuple sahraoui vit dans des conditions difficiles à la suite de l’abandon par l’Espagne qui est historiquement responsable de cette situation.
"Nous voulons un Sahara libre et indépendant de l'occupation marocaine et le peuple sahraoui a notre plein soutien", ont déclaré ces deux responsables, alors que de son côté le parti de Podemos a rappelé la "revendication historique du peuple sahraoui depuis des années, celle relative au droit à l’autodétermination".
Ce voyage qui durera jusqu'à mardi prochain permettra à ces parlementaires et aux nombreux responsables de la communauté de Castille et Leon qui sont du voyage, de s’enquérir de la situation du peuple sahraoui, contraint à l’exil depuis plus de 42 ans et de "réitérer leur engagement et soutien total à sa cause".
Ce voyage institutionnel survient après celui effectué, la semaine dernière, par huit députés de l’intergroupe Paix et liberté au Sahara, au parlement espagnol, qui ont demandé à leur gouvernement de se conformer à la décision récente de la Cour de justice de l'Union européenne (JCUE) qui a clairement conclu que l’accord de pèche entre l’UE et le Maroc ne s’applique pas au territoire du Sahara occidental.
Les huit députés avaient également demandé à leur gouvernement d’élever la représentation du Front Polisario au rang diplomatique, de reconnaître la République arabe sahraouie démocratique (RASD) et son seul et légitime représentant le Front Polisario.
Les députés espagnols avaient exhorté enfin leur gouvernement à jouer un rôle "plus actif" pour trouver une "solution juste et définitive pour régler ce conflit qui dure depuis plus de 42 ans et dont l’Espagne a une responsabilité historique".
aps Publié le : vendredi, 16 mars 2018
Ces parlementaires ont expliqué aux médias espagnols, lors d’une conférence de presse, les objectifs attendus de leur visite aux camps des réfugiés sahraouis. Les porte-paroles des parti de l’izquierda unida et Equo, Pablo Fernandez et José Sarrion ont rappelé que le peuple sahraoui vit dans des conditions difficiles à la suite de l’abandon par l’Espagne qui est historiquement responsable de cette situation.
"Nous voulons un Sahara libre et indépendant de l'occupation marocaine et le peuple sahraoui a notre plein soutien", ont déclaré ces deux responsables, alors que de son côté le parti de Podemos a rappelé la "revendication historique du peuple sahraoui depuis des années, celle relative au droit à l’autodétermination".
Ce voyage qui durera jusqu'à mardi prochain permettra à ces parlementaires et aux nombreux responsables de la communauté de Castille et Leon qui sont du voyage, de s’enquérir de la situation du peuple sahraoui, contraint à l’exil depuis plus de 42 ans et de "réitérer leur engagement et soutien total à sa cause".
Ce voyage institutionnel survient après celui effectué, la semaine dernière, par huit députés de l’intergroupe Paix et liberté au Sahara, au parlement espagnol, qui ont demandé à leur gouvernement de se conformer à la décision récente de la Cour de justice de l'Union européenne (JCUE) qui a clairement conclu que l’accord de pèche entre l’UE et le Maroc ne s’applique pas au territoire du Sahara occidental.
Les huit députés avaient également demandé à leur gouvernement d’élever la représentation du Front Polisario au rang diplomatique, de reconnaître la République arabe sahraouie démocratique (RASD) et son seul et légitime représentant le Front Polisario.
Les députés espagnols avaient exhorté enfin leur gouvernement à jouer un rôle "plus actif" pour trouver une "solution juste et définitive pour régler ce conflit qui dure depuis plus de 42 ans et dont l’Espagne a une responsabilité historique".
aps Publié le : vendredi, 16 mars 2018
Commentaire