Inaam Bayoud pour remplacer Khalida Toumi

[messiremax]

Selon certaines indiscrétions , Mme Inaam Bayoud (professeur à l'institut arabe d'interprétation et président du jury des fennecs d'or) serait pressentie pour succéder à Khalida Toumi (qui avais commis une erreur en dansant à l'ouverture d'Alger capitale de la culture arabe).

[citoyen]

C'est probable...elle n'a pas participé à la grande soirée des fennecs...

Danse avec les loups...

[absent]

Danse avec les loups...

Parfait le jeux de mot

[citoyen]

>>>Parfait le jeux de mot

Il n'y a pas que des fennecs d'or, et il y a aussi des loups bruns, l'un d'eux a même fait le déplacement hier pour donner du poids à la soirée..

Ca ne fait pas bonne figure d'inviter 150 représentants arabes et les laisser esseulés. Khalida est allée se faire voir ailleurs ou bien on l'a fait aller se faire voir ailleurs.

[absent]

Ah Citoyen , FA serais bien ennuyant sans tes interventions ...

bonne après midi

[Absente5]

Eh beh, Que de remous dans la Sitcom du ministère de la culture ....

[dadou3x]

pauvre khalida, je la trouve bien sympa

[Tau_Alpha]

Qlq 1 pourrait-il nous poster sa photo?
Le temps passe par khalida au ministere lui aura au moins permis d'ameliorer son niveau en arabe

[citoyen]

Rien n'est venu confirmer qu'elle é été débarquée, toutefois des voix s'élèvent pour dénoncer la gestion du département qui, selon les concernés, laisse à désirer.
Une femme qui a osé filer un gnon à un cadre responsable à Constantine...

L’instant le plus précieux, le plus intéressant de toute l’organisation de la quatrième soirée des Fennecs d’or au Théâtre national d’Alger est sensiblement l’intervention du réalisateur Dahmane Ouzid. Lauréat du prix du Fennec d’or meilleure réalisation pour son feuilleton El Aouda (Le retour), Dahmane Ouzid a rendu un vibrant hommage au véritable artiste algérien et à son travail.
Alors que d’autres passent leur temps à encenser la ministre de la Culture dans l’espoir de décrocher un emploi M. Ouzid, lui, a osé s’attaquer aux responsables du département de la Culture qui, selon lui, n’ont pas besoin de siéger pendant des années et des années pour décider d’une retenue de cotisation à la Sécurité sociale. Le réalisateur n’est pas allé par quatre chemins, encore moins de main morte, pour défendre les droits bafoués des artisans de l’art cinématographique et l’état misérable et la précarité dans lequel ils sont plongés au cours et à la fin de leur vie. Beaucoup sont partis dans l’anonymat, certains sont encore en vie mais sont tombés dans l’oubli. Pour ceux qui restent, ils s’accrochent au bon vouloir d’un premier responsable au caractère versatile. Trop, c’est trop, voilà le sentiment très fort, transmis par Dahmane Ouzid aux présents et aux téléspectateurs de la soirée. Une situation qui a mis mal à l’aise l’animatrice du plateau, mais qui a cependant fait rire Hamraoui Habib Chawki dans sa loge. Un seul mot pour M. Ouzid : bravo ! Inutile aussi de revenir sur la composition de cette soirée, qui dans la forme, offre un prestige à la hauteur du tapis rouge déroulé aux pieds des artistes descendant des limousines louées pour l’occasion. Mais à tout ceci, une soirée ne suffira jamais à rendre hommage aux valeurs courageuses des artistes. Pour ce qui reste de cette quatrième édition, il est difficile de comprendre que le choix de l’invité d’honneur soit Sid Ali Kouiret, son parcours et son talent n’étant plus à prouver, mais plus parce qu’il est quasiment absent du cinéma et du petit écran depuis belle lurette. En bref, il n’y a rien à signaler de spécial pour cette soirée censée être spéciale, on est toujours très très loin du Tanit d’or (Tunisie), des Césars (France) ou pire des Oscars (USA).
Source le soir d'algérie

Gare à toi Dahmane, khalida n'est pas du genre à se faire titiller, elle pourra bien t'envoyer en prise en charge pour te soigner après la trempe...
Mais au fait elle à danser sous quel air, je l'ai vu chanter min jiballlina, et une chanson libanaise, de quoi faire fuir un bataillon de légionnaire agairi mais danser, Belkhadem s'est probablement transformé en boule de feu.

Yallatif.