On sait que l'Algérie a remis un "cahier des charges" au Maroc et si celui entend parvenir à restaurer les frontières terrestres entre les deux pays, il (Maroc) doit d'obéir aux injonctions algériennes.
- Union Africaine. La ZLECA forcera-t-elle l'Algérie à ouvrir sa frontière avec le Maroc?
L'Algérie fait partie des 44 pays africains à avoir signé, ce mercredi à Kigali, les textes fondateurs de la Zone de libre-échange continentale (ZLECA) et de la libre circulation des personnes. Ces textes sont contraires à la fermeture actuelle des frontières entre les deux géants du Maghreb.
Ce 21 mars est un jour historique à en croire Ciryl Ramaphosa qui, dans son discours, a estimé que les chefs d’Etat et de gouvernement présents à Kigali pourraient dire à leurs enfants «J’y étais et j’ai participé à l’élaboration du libre-échange africain».
Ahmed Ouyahia, le Premier ministre algérien, était dans la salle, il a également signé. Mais en voilà un qui a dû se retenir d’exprimer sa joie. Sans doute pensait-il à la frontière qui sépare son pays du Maroc, se posant la question quasi existentielle de savoir si elle serait bientôt ouverte.
En effet, les trois actes du sommet de Kigali excluent toute fermeture des frontières terrestres entre pays membres. Car, faut-il le rappeler, à Kigali les 44 pays signataires ont adopté la Zone de libre-échange continentale, mais aussi les textes relatifs à la libre circulation des biens et personnes, et enfin le protocole de Kigali-.
Le 360 (extraits).
- Union Africaine. La ZLECA forcera-t-elle l'Algérie à ouvrir sa frontière avec le Maroc?
L'Algérie fait partie des 44 pays africains à avoir signé, ce mercredi à Kigali, les textes fondateurs de la Zone de libre-échange continentale (ZLECA) et de la libre circulation des personnes. Ces textes sont contraires à la fermeture actuelle des frontières entre les deux géants du Maghreb.
Ce 21 mars est un jour historique à en croire Ciryl Ramaphosa qui, dans son discours, a estimé que les chefs d’Etat et de gouvernement présents à Kigali pourraient dire à leurs enfants «J’y étais et j’ai participé à l’élaboration du libre-échange africain».
Ahmed Ouyahia, le Premier ministre algérien, était dans la salle, il a également signé. Mais en voilà un qui a dû se retenir d’exprimer sa joie. Sans doute pensait-il à la frontière qui sépare son pays du Maroc, se posant la question quasi existentielle de savoir si elle serait bientôt ouverte.
En effet, les trois actes du sommet de Kigali excluent toute fermeture des frontières terrestres entre pays membres. Car, faut-il le rappeler, à Kigali les 44 pays signataires ont adopté la Zone de libre-échange continentale, mais aussi les textes relatifs à la libre circulation des biens et personnes, et enfin le protocole de Kigali-.
Le 360 (extraits).
Commentaire