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la nomination de John Bolton, une bonne nouvelle pour la cause sahraouie ?

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  • la nomination de John Bolton, une bonne nouvelle pour la cause sahraouie ?

    Inquiétude au Maroc

    John Bolton, le diplomate à la moustache, est loin d’être un inconnu pour Rabat. Bon connaisseur du dossier sahraoui, il a travaillé aux côtés d’un certain James Baker, ancien envoyé spécial de l’ex-secrétaire général des Nations unies (Koffi Annan) au Sahara occidental entre 2005 et 2006, à l’origine d’un plan de résolution du conflit avec le Maroc, accepté par le Front Polisario et l’Algérie comme base de négociations. L’initiative prévoyait la tenue d’un référendum d’autodétermination du peuple sahraoui, après une période d’auto-gouvernance sahraouie de cinq années.

    « L’ancien diplomate n’a jamais caché sa proximité avec l’Algérie et le Polisario. Cet ancien représentant des États-Unis à l’ONU, du 1er août 2005 au 9 décembre 2006, s’était montré hostile aux intérêts du royaume. Il avait notamment défendu un élargissement du mandat de la Minurso (Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental) à la surveillance des droits de l’Homme au Sahara occidental et l’organisation d’un référendum d’autodétermination », réagit, à cette nomination, le site marocain ********.

    L’année dernière, le nom de John Bolton avait circulé pour occuper le poste d’envoyé personnel du Secrétaire général de l’ONU pour le Sahara Occidental. « Le Polisario a toujours considéré la candidature de Bolton à l’ONU comme une lueur d’espoir pour leur cause. Ils ont été à ce titre déçus que le choix d’Antonio Guterres se fasse en faveur de l’Allemand Horst Köhler », note de son côté Le Desk. Pour rappel, Horst Köhler, ancien président allemand, a été nommé en août 2017 envoyé spécial pour le Sahara occidental par Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU-.

    TSA

  • #2
    l'espoir fait vivre,,

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    • #3
      Israeli ministers praise appointment of John Bolton

      Naftali Bennett, Ze'ev Elkin, Ayelet Shaked, Michael Oren welcome Trump's new national security adviser as 'a stalwart friend of Israel'

      By TOI staff 23 March 2018, 1:22 pm 9

      John Bolton (photo credit: Gage Skidmore)

      Two ministers from the right-wing Jewish Home party and another from the ruling Likud party congratulated former US ambassador to the UN John Bolton on Friday for his appointment as US President Donald Trump’s new national security adviser.
      Education Minister Naftali Bennett tweeted that it was a “great appointment” and that Bolton, considered a foreign policy hawk who is opposed to the Iran nuclear deal, was a “stalwart friend of Israel.”


      Environment Minister Ze’ev Elkin of Likud said Bolton was “not unknown to Israel.
      “He has been, unquestionably, a friend of Israel for many years, including in his position as US ambassador to the UN,” Elkin told Tel Aviv radio station 102 FM. “I have no doubt it will be comfortable for us to work with him.”
      Justice Minister Ayelet Shaked posted in Hebrew that “President Trump continues to appoint true friends of Israel to senior positions. John Bolton is one of the most outstanding.”
      She praised Bolton as an “excellent appointment” who brought to the job “great experience and original thinking.” She added that “the Trump administration is emerging as the most sympathetic administration toward Israel of all time.”
      Justice Minister Ayelet Shaked arrives for the weekly government meeting at the Prime Minister’s Office in Jerusalem, December 17, 2017. (Yonatan Sindel/Flash90)

      Deputy Minister for Diplomacy Michael Oren (Kulanu) also welcomed Bolton’s appointment, saying that it signalled the end of the Iran nuclear accord and a tougher US line toward the Palestinians.
      “The days of the nuclear agreement, which is terrible in its current form, are nearing an end,” he told Hebrew-language media.
      “From now on Abu Mazen will have to think twice before deciding to spit on President Trump or his representatives,” he said, referring to Palestinian Authority President Mahmoud Abbas.
      Trump announced in a tweet that Bolton, a former UN ambassador, was to replace General H.R. McMaster, in a move pundits said called the future of the Iran deal into serious doubt.
      McMaster had been expected to leave later this year, so his exit was no surprise. But Bolton’s nomination has stunned much of Washington.
      A vocal advocate of the Iraq war, he has also championed pre-emptive strikes against North Korea and regime change in Iran — making him an outlier even among Republicans.
      His appointment had been fiercely opposed by many within Trump’s inner circle, most notably the coterie of military officers surrounding the president.
      Bolton — a veteran of the George W. Bush administration — will now have a central role in crafting US foreign policy, including refereeing debates between America’s spooks, soldiers and diplomats.
      But his most potent role will be framing the security decisions that make it to Trump’s desk.
      His approach to American power matches neatly with Trump’s tough-talking rhetoric, although the two have not always agreed on overseas wars.

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      • #4
        Publié le 23 mars 2018 à 09h26 | Mis à jour le 23 mars 2018 à 09h26 John Bolton: «ami» d'Israël, adversaire des Palestiniens

        Agrandir
        John Bolton
        Photo Joshua Roberts, archives Reuters





        Agence France-Presse
        Jérusalem

        Plusieurs ministres israéliens ont salué vendredi la nomination de John Bolton, un «ami», comme conseiller américain à la sécurité nationale, tandis qu'une dirigeante palestinienne s'est alarmée du choix d'un vieil adversaire de la cause palestinienne pour ce poste influent.

        «Le président Trump continue de nommer de véritables amis d'Israël aux postes les plus hauts placés. John Bolton fait partie des plus éminents d'entre eux», a indiqué dans un communiqué la ministre de la Justice Ayelet Shaked.
        «L'administration Trump s'avère être la plus amicale qu'Israël ait jamais connue», a ajouté Mme Shaked, membre du Foyer juif, parti nationaliste religieux.
        Le ministre de l'Éducation Naftali Bennett, chef du Foyer juif, a qualifié sur Twitter de «formidable» la nomination de M. Bolton, «un spécialiste extraordinaire des questions de sécurité, un diplomate expérimenté et un ami fidèle d'Israël».
        «Il est sans conteste possible l'ami d'Israël depuis des années, il l'a montré au poste d'ambassadeur américain auprès des Nations unies», a abondé le ministre de l'Environnement Zeev Elkin, membre du Likoud, le parti de droite du Premier ministre Benyamin Nétanyahou.
        Les commentateurs israéliens mettent en exergue les positions intransigeantes de M. Bolton vis-à-vis de l'Iran, bête noire du gouvernement Nétanyahou, et en particulier son opposition farouche à l'accord sur le nucléaire iranien conclu en 2015 entre Téhéran et les grandes puissances. M. Nétanyahou est lui-même un grand pourfendeur de cet accord.
        «Solution à trois États»
        Les commentateurs relevaient aussi les propos passés de M. Bolton selon lesquels la solution dite à deux États, c'est-à-dire la création d'un État palestinien coexistant avec Israël, était «morte» ou «plus viable».
        Cette solution reste la référence de la communauté internationale.
        «La seule logique sous-tendant la demande d'un État palestinien, c'est l'impératif politique des adversaires d'Israël d'affaiblir et d'encercler l'État juif», disait M. Bolton en 2014, préconisant une «solution à trois États» dans laquelle la Cisjordanie serait rattachée à la Jordanie et la bande de Gaza à l'Égypte.
        La Cisjordanie, occupée par Israël depuis 1967, et bande de Gaza, des territoires palestiniens séparés géographiquement par le territoire israélien et politiquement par deux autorités rivales, sont supposées former un futur État palestinien.
        M. Bolton a aussi salué la décision du président Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme la capitale d'Israël, qui rompt avec des décennies de diplomatie américaine et de consensus international.
        Les Palestiniens, qui revendiquent Jérusalem-Est annexée par Israël comme capitale de l'État auquel ils aspirent, ont vu dans cette décision le comble du parti pris pro-israélien de l'administration Trump. Ils ont gelé tous les contacts avec les officiels américains.
        L'administration Trump est censée présenter prochainement son plan de paix entre Israéliens et Palestiniens. Mais l'état des relations entre Américains et Palestiniens suscitent des interrogations sur la possibilité que ce plan soit mort-né.
        Hanane Achraoui, haute dirigeante de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), a vu dans la nomination de M. Bolton une nouvelle manifestation de partialité américaine.
        «L'hostilité de cet homme envers les Palestiniens remonte à loin, à l'époque où il était aux Nations unies et défendait l'impunité israélienne», a-t-elle dit à l'AFP.
        En nommant M. Bolton, la Maison-Blanche «s'allie aux extrémistes sionistes, aux chrétiens fondamentalistes et aux racistes blancs», selon elle. «Tout ceci annonce une réalité désastreuse pour la Palestine et la région».
        lapresse.ca

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        • #5
          -Les USA accordent une enveloppe de 53.8 millions de dollars au Maroc

          L’administration américaine a requis pour le Maroc une enveloppe de 53,8 millions de dollars dans son budget de coopération extérieur au titre l’exercice 2005.

          Ainsi, 20 millions de dollars sont alloués au titre du Fonds de Soutien Economique et destinés au financement de programmes de micro-crédit pour les catégories nécessiteuses des zones urbaines, de projets de logement et d’amélioration de l’habitat ainsi que de programmes d’éducation et de santé de base dans les zones rurales.-.

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          • #6
            Nomination Bolton: Trump donne « des gages » à ‘Israël’ et à Ryad, selon Boroujerdi


            Depuis 9 heures 24 mars 2018



















            La nomination de John Bolton comme conseiller à la sécurité nationale prouve que le président américain Donald Trump « veut donner des gages aux sionistes (Israël) et à l’Arabie saoudite », a estimé samedi un responsable parlementaire iranien, appelant à renforcer les liens avec la Chine et la Russie.
            « L’utilisation d’éléments radicaux hostiles à la République islamique montre que les Américains cherchent à accentuer la pression contre l’Iran », a ajouté Allaeddine Boroujerdi, le président de la Commission des Affaires étrangères, cité par l’agence Isna.
            Selon ce responsable, Téhéran doit en réaction « renforcer (ses) relations avec (…) la Chine et la Russie, qui sont aussi visés par les sanctions américaines et font face à des défis importants de la part de ce pays, surtout après que le président Trump a ordonné l’imposition de taxes contre les produits chinois ».
            Il s’agit de la première réaction d’un responsable politique iranien à cette nouvelle nomination aux Etats-Unis, le ministère des Affaires étrangères et le gouvernement n’ayant pas encore pris position.
            La nomination de John Bolton, un faucon très hostile à Téhéran et à l’accord nucléaire conclu en 2015 entre l’Iran et les puissances du groupe 5+1 (Etats-Unis, Chine, Russie, France, Royaume-Uni et Allemagne), intervient dix jours après celle du directeur de la CIA Mike Pompeo à la tête de la diplomatie américaine. Celui-ci est également très hostile à l’Iran.
            Ces changements renforcent le camp des responsables hostiles à la République islamique alors que M. Trump menace de sortir, le 12 mai, les Etats-Unis de l’accord nucléaire et de réimposer des sanctions contre Téhéran à moins d’un durcissement du texte, ce que l’Iran exclut.
            « La Chine et la Russie sont deux membres importants du Conseil de sécurité et le renforcement des relations avec ces deux pays aidera à baisser l’effet des pressions américaines », a encore commenté samedi le président de la commission des Affaires étrangères du Parlement.
            L’Iran a développé ces dernières années ses relations avec Pékin et Moscou.
            La Chine est le premier partenaire économique et commercial de Téhéran, alors que la Russie et l’Iran ont fortement renforcé leurs relations, notamment dans la guerre contre les takfiristes en Syrie.

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            • #7
              John Bolton, nouveau conseiller à la Sécurité de Donald Trump

              Comme les rumeurs l’annonçaient depuis quelques semaines, le président américain Donald Trump a limogé son conseiller national à la Sécurité, Herbert R. McMaster, jugé trop “mou”, et a nommé à sa place John Bolton, ancien ambassadeur des Etats-Unis à l’ONU sous George W. Bush.
              Hormis le fait qu’il s’agit d’un nouveau signe clair quant à la direction que veut donner le président américain à sa politique envers l’Iran et la Corée du Nord la nomination de John Bolton à cette fonction hautement stratégique est une excellente nouvelle – une de plus – pour Israël.
              L’ancien ambassadeur ne croit pas du tout à l’efficacité de la diplomatie à l’occidentale envers les régimes totalitaires. Il est partisan de la manière forte envers ces pays ainsi que face aux organisations terroristes musulmanes. Mais il est aussi et surtout l’un des plus fervents pro-israéliens – et il y en a beaucoup – dans la classe politique américaine. John Bolton s’aligne pratiquement sur les positions du Likoud et de Habayit Hayehoudi. Il est opposé à la solution des deux Etats et à la créatio d’un Etat ‘palestinien’ indépendant. Il est favorable à une extension de la souveraineté israélienne sur une grande partie de la Judée-Samarie. Pour lui, “la seule logique de la revendication d’un Etat palestinien est leur désir politique d’affaiblir l’Etat juif pour pouvoir encore mieux l’attaquer”. Ce qui est vrai.
              En 2009, après la publication de l’infâme Rapport Goldstone, Bolton avait déclaré: “Il s’agit ni plus ni moins d’une criminalisation de la stratégie israélienne de neutralise le Hamas”. Et après la lâche décision de Barack Obama de ne pas opposer de veto à la résolution 2334 du Conseil de sécurité de l’ONU sur les localités juives, il avait dit: “Barack Obama n’a pas planté un couteau dans le dos d’Israël, mais en pleine poitrine!”
              La ministre de la Justice Ayalet Shaked ainsi que le député Dr. Michael Oren (Koulanou), ancien ambassadeur aux Etats-Unis se sont empressés de féliciter le président américain pour sa décision et souhaiter plein succès au nouveau conseiller. Dr. Michael Oren a écrit: “Cette nomination constitue un message très clair à l’intention de l’Iran car John Bolton est un adversaire déterminé de l’accord signé à Vienne. Et avec John Bolton, Abou Mazen devra réfléchir à deux fois avant de cracher sur le président Trump ou sur d’autres responsables américains”.
              lphinfo.com

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              • #8
                comment se réjouir de la nomination d'un tel personnage!!??oeilfermé

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                • #9
                  "" Baker "" I et II

                  @ANZOUL

                  la nomination de John Bolton,

                  le poste d’envoyé personnel du Secrétaire général de l’ONU pour le Sahara Occidental.
                  .

                  Connait à fond le plan "" Baker "" I et II

                  S annonce de bon augure et au bon moment
                  A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                  • #10
                    John Bolton, un faucon de plus à la Maison-Blanche

                    John Bolton, ancien ambassadeur des États-Unis auprès des Nations unies, prenant la parole à la Conférence d’action politique conservatrice (CPAC) à Oxon Hill, Maryland, États-Unis, le 24 février 2017. Reuters/Joshua Roberts

                    États-Unis La nomination est applaudie par Israël, attise la crainte des Palestiniens et suscite beaucoup d’attention de la part du Kremlin et des partenaires de Washington.



                    Élie SAÏKALI | OLJ
                    24/03/2018


                    La série de départs au sein de l’administration américaine se poursuit. Neuf jours après le limogeage de Rex Tillerson et son remplacement au poste de secrétaire d’État par l’ancien directeur de la CIA, Mike Pompeo, Donald Trump a opéré un nouveau remaniement. Le président américain a annoncé avoir révoqué son conseiller à la Sécurité nationale, le général Herbert Raymond McMaster (général trois étoiles), et l’avoir remplacé par John Bolton, ancien ambassadeur américain à l’ONU sous la présidence de George W. Bush.
                    Cet avocat sexagénaire à la moustache blanche est connu pour avoir été l’un des initiateurs et fervents défenseurs de la guerre en Irak en 2003. « Je suis heureux d’annoncer qu’à compter du 9 avril 2018, John Bolton sera mon nouveau conseiller à la Sécurité nationale », a tweeté Donald Trump. « Je ne m’attendais pas à cette annonce cet après-midi, mais c’est évidemment un grand honneur », a réagi John Bolton sur Fox News, peu après sa nomination. Classé dans la catégorie des va-t-en-guerre, John Bolton est partisan d’une ligne dure face à l’Iran et la Corée du Nord. Il prendra ses fonctions le 9 avril prochain.


                    Cette nomination intervient à la veille de discussions historiques avec la Corée du Nord et à l’approche de l’échéance cruciale sur l’avenir de l’accord sur le nucléaire iranien, dont les États-Unis se retireront le 12 mai si aucun règlement des « lacunes » du deal n’a été entre-temps effectué. Avec ce double remaniement en moins de dix jours, Donald Trump reprend le contrôle de son équipe diplomatique, qu’il veut à son image : opposée au multilatéralisme et dévouée à l’America First.



                    (Lire aussi : Les responsables menacés d'être débarqués par Donald Trump)


                    Escalades avec Téhéran ?
                    « Trump élimine les contradicteurs pour à la fin avoir un miroir de lui-même », confirme à L’Orient-Le Jour Nicolas Gachon, spécialiste de l’histoire et de la civilisation des États-Unis. « John Bolton a été nommé conseiller à la Sécurité nationale parce que c’est un poste qui ne nécessite pas de confirmation du Sénat (…). Compte tenu des positions très agressives et très interventionnistes de John Bolton, le Sénat n’aurait sans doute pas confirmé sa nomination », ajoute-t-il.
                    Cette remise à neuf de la ligne diplomatique américaine a été suivie de très près par la communauté internationale et a suscité de nombreuses réactions. « Le président Trump continue de nommer de véritables amis d’Israël aux postes les plus haut placés. John Bolton fait partie des plus éminents d’entre eux », a indiqué dans un communiqué Ayelet Shaked, la ministre israélienne de la Justice. « L’administration Trump s’avère être la plus amicale qu’Israël ait jamais connue », a-t-elle ajouté.
                    Hanane Achraoui, haute dirigeante de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP), a vu dans la nomination de M. Bolton à ce poste une nouvelle manifestation de la politique pro-israélienne de Donald Trump. « L’hostilité de cet homme envers les Palestiniens remonte à loin, à l’époque où il était aux Nations unies et défendait l’impunité israélienne », a-t-elle déclaré hier à l’AFP. John Bolton est un fervent critique de la solution dite à « deux États », et considère que la Cisjordanie devrait être rattachée à la Jordanie, et la bande de Gaza à l’Égypte.
                    Le Kremlin a lui aussi réagi à cette nomination en espérant voir la Maison-Blanche davantage entourée de personnes capables « de faire abstraction de la russophobie ».
                    Alors que le conseiller à la Sécurité nationale joue normalement le rôle de « chien de garde » afin de modérer les différentes positions, M. Bolton risque de renforcer le président dans ses convictions, ce qui, dans un contexte de fortes tensions au Moyen-Orient, pourrait provoquer de nouvelles escalades avec Téhéran. Derniers survivants de l’équipe diplomatique au sien de l’administration Trump, James Mattis, secrétaire d’État à la Défense, et John F. Kelly, chef de cabinet de la Maison-Blanche, apparaissent comme les ultimes garde-fous de cette équipe où les modérés sont en voie de disparition.
                    lorientlejour.com

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                    • #11
                      compter sur un type pareil pour soutenir les harkis traitres .
                      mais quelle stupidité de leur part!!oeilfermé

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                      • #12
                        S annonce de bon augure et au bon moment
                        pour les palestiniens aussi?!

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                        • #13
                          @ANZOUL

                          le plan "" Baker "" I et II va sortir du tiroirs ...il comporte aussi une autotomie de cinq ( 5 ) administré par le Polisario , après le referendum d autodétermination
                          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                          Commentaire


                          • #14
                            et pour les palestiniens?
                            tu t'en fiches?!

                            Commentaire


                            • #15
                              y en a qui pensent que trump l'a posté là ou il est pour leurs yeux...

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