Deux bombes désamorcées en 24 heures
Climat de terreur à Alger
Les services de sécurité de la capitale ont pu désamorcer avant-hier après midi une bombe placée sur la route à proximité de l’hôpital Mustapha Bacha à la place de la Concorde Civile, ce qui a provoqué un bruit sourd suivi par un nuage de fumée et une panique des passants et des conducteurs. Cela survient 24 heures après le désamorçage d’une bombe dissimulée dans un cartable d’écolier non loin du même hôpital.
Ce désamorçage s’est effectué vers 16h30 au milieu d’un grand embouteillage et une foule de passants au niveau de la place de la Concorde Civile, surtout que la bombe a été placée dans un coin de mur reliant le jardin et le tunnel de la place en question près de l’hôpital Mustapha Bacha. Ceci a provoqué l’inquiétude des piétons et des automobilistes qui ont pris la fuite vers plusieurs directions.
Il est à noter que depuis quelques jours les services de sécurité ont redoublé de vigilance concernant les agissements suspects à la capitale et aux abords de ses entrées, notamment celle de l’est. Les cibles des groupes armées apparaissent désormais clairement, des lieux choisis pour planter des bombes artisanales, comme ce fut le cas mercredi dernier lors d’une tentative avortée qui a ciblé le centre le plus important de la capitale, connu pour le nombre de passants considérables qui le fréquentent tous les jours notamment vers l’hôpital Mustapha Bacha. La première bombe, du mercredi, a été découverte le matin coïncidant ainsi avec le début des heures de travail.
Ces derniers temps les groupes terroristes font exprès de cibler des lieux précis avec une « campagne de propagande sur Internet », depuis le changement d’appellation du Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat, GSPC, et son affiliation à El Qaida, ils travaillent sur une nouvelle stratégie qui vise principalement à « frapper les intérêts étrangers en Algérie ».
2007-02-24
Par Atef Kedadra
Climat de terreur à Alger
Les services de sécurité de la capitale ont pu désamorcer avant-hier après midi une bombe placée sur la route à proximité de l’hôpital Mustapha Bacha à la place de la Concorde Civile, ce qui a provoqué un bruit sourd suivi par un nuage de fumée et une panique des passants et des conducteurs. Cela survient 24 heures après le désamorçage d’une bombe dissimulée dans un cartable d’écolier non loin du même hôpital.
Ce désamorçage s’est effectué vers 16h30 au milieu d’un grand embouteillage et une foule de passants au niveau de la place de la Concorde Civile, surtout que la bombe a été placée dans un coin de mur reliant le jardin et le tunnel de la place en question près de l’hôpital Mustapha Bacha. Ceci a provoqué l’inquiétude des piétons et des automobilistes qui ont pris la fuite vers plusieurs directions.
Il est à noter que depuis quelques jours les services de sécurité ont redoublé de vigilance concernant les agissements suspects à la capitale et aux abords de ses entrées, notamment celle de l’est. Les cibles des groupes armées apparaissent désormais clairement, des lieux choisis pour planter des bombes artisanales, comme ce fut le cas mercredi dernier lors d’une tentative avortée qui a ciblé le centre le plus important de la capitale, connu pour le nombre de passants considérables qui le fréquentent tous les jours notamment vers l’hôpital Mustapha Bacha. La première bombe, du mercredi, a été découverte le matin coïncidant ainsi avec le début des heures de travail.
Ces derniers temps les groupes terroristes font exprès de cibler des lieux précis avec une « campagne de propagande sur Internet », depuis le changement d’appellation du Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat, GSPC, et son affiliation à El Qaida, ils travaillent sur une nouvelle stratégie qui vise principalement à « frapper les intérêts étrangers en Algérie ».
2007-02-24
Par Atef Kedadra
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