Les services de sécurité ont, récemment, réussi à démanteler à Alger, une cellule en lien avec la nébuleuse Daech. Activant dans la région de Baraki et des Eucalyptus, la cellule en question collectait de l’argent en vue d’envoyer de jeunes algériens combattre dans les rangs de l’organisation de l’Etat Islamique (EI) en Syrie et en Irak.
Selon des sources sécuritaires, citées par le quotidien arabophone El Bilad, la cellule a réussi à envoyer au moins 16 jeunes issus des deux communes, alors que onze autres ont été arrêtés avant de quitter le territoire national.
Cette cellule était, selon la même source, dirigée par un jeune repris de justice. Arrêté, ce jeune natif de Baraki a avoué ses liens, qui durent depuis 2011, avec l’organisation terroriste au Moyen-Orient. En contact avec un autre jeune de son quartier qui avait rejoint Daech en Syrie, l’accusé a été chargé de recruter des combattants dans la région et de les envoyer « au front ».
Il s’occupait ainsi du financement de leur voyage grâce à l’argent collecté auprès des citoyens sous prétexte d’aider les familles des personnes emprisonnées pour leurs liens avec le terrorisme. L’accusé a également affirme aux policiers qu’il profitait de la prédisposition des jeunes recrutés qui avaient des « convictions djihadistes ».
Boualem M.
Algérie monde infos
Selon des sources sécuritaires, citées par le quotidien arabophone El Bilad, la cellule a réussi à envoyer au moins 16 jeunes issus des deux communes, alors que onze autres ont été arrêtés avant de quitter le territoire national.
Cette cellule était, selon la même source, dirigée par un jeune repris de justice. Arrêté, ce jeune natif de Baraki a avoué ses liens, qui durent depuis 2011, avec l’organisation terroriste au Moyen-Orient. En contact avec un autre jeune de son quartier qui avait rejoint Daech en Syrie, l’accusé a été chargé de recruter des combattants dans la région et de les envoyer « au front ».
Il s’occupait ainsi du financement de leur voyage grâce à l’argent collecté auprès des citoyens sous prétexte d’aider les familles des personnes emprisonnées pour leurs liens avec le terrorisme. L’accusé a également affirme aux policiers qu’il profitait de la prédisposition des jeunes recrutés qui avaient des « convictions djihadistes ».
Boualem M.
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