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L’Espagne devient «un refuge» pour Les homosexuals marocains

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  • L’Espagne devient «un refuge» pour Les homosexuals marocains


    FOCUS – L’Espagne devient «un refuge» pour les gays marocains qui fuient «l’homophobie» chez eux


    Un constat! En Espagne, terre de chrétienté et de tolérance, de nombreux homosexuels marocains y ont trouvé refuge au cours des dernières années, fuyant ainsi les lois qui les pénalisent et l’homophobie qui les terrorise dans leur propre pays; bien que l’obtention d’un droit d’asile ne soit pas aussi facile à obtenir à cause de la réticence de Madrid.

    Selon l’agence de presse espagnole Efe, qui cite des sources du Haut commissariat aux réfugiés (HCR), la grande majorité des marocains qui ont eu le statut de réfugié en Espagne au cours des 2 dernières années, l’ont obtenu sur la base de plaintes liées à des discriminations à caractère sexuel.

    L’augmentation des demandes d’asile à cause de « la persécution sexuelle » ne concerne pas uniquement les marocains mais aussi beaucoup d’autres pays et à leur tête le Venezuela, ajoute Efe.

    Les demandes d’asile provenant du Maroc ont significativement augmenté depuis 2005 en raison de la proximité géographique et le fait de voir en l’Espagne un pays « amis des gays » a affirmé Ibtissam Lachgar, conseillère légale de nombreux homosexuels marocains et du Mouvement alternatif des libertés individuelles (MALI) ».
    Pour sa part, Samir Bargachi, un des activistes du mouvement gay au Maroc et fondateur de l’Association «Kif Kif» qui réside actuellement à Madrid, a relevé la contradiction de l’Espagne en tant que pays accueillant les homosexuels, mais qui en même temps, évite que cela ne fasse tâche d’huile.

    Bargachi a ainsi mis en relief « les humiliations » dont font l’objet les marocains au centre d’hébergement des immigrés illégaux à Mellilia dans lequel ils passent plus de 6 mois pendant lesquels ils sont privés de la liberté de circulation.

    L’article 489 du code pénal marocain stipule qu’est « puni de l’emprisonnement de six mois à trois ans et d’une amende de 200 à 1.000 dirhams, à moins que le fait ne constitue une infraction plus grave, quiconque commet un acte impudique ou contre nature avec un individu de son sexe ».

    En d’autres termes, en terre d’Islam, les homosexuels risquent jusqu’à trois de prison ferme.

    Récemment, le Ministre des droits de l’homme, Mustapha Ramid, a répondu à la question d’un journaliste concernant les homosexuels par : « Qu’est-ce qu’il leur arrive maintenant ? Eux, des ordures ! ».

    Article19.ma
    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

  • #2
    Les marocains se font passer pour des homosexuels pour fuir le Maroc

    Tout est bon pour fuir le Maroc et obtenir un titre de séjour en Europe. La dernière des trouvailles des marocains qui ont réussi à traverser le Détroit en direction du vieux continent : se faire passer pour des homosexuels et demander le statut de refugié.

    Un sujet dont parle la presse espagnole qui rappelle que “les homosexuels marocains, qui vivent sous des lois qui les punissent et dans une société profondément homophobe, dans les dernières années ont trouvé refuge en Espagne même si l’accès au statut de réfugié est loin d’être facile”.

    Selon EFE, citant des sources du HCR, “dans les deux dernières années, la grande majorité des marocains qui ont obtenu le statut de réfugié en Espagne était pour des raisons sexuelles”.

    “Les demandes provenant du Maroc ont grimpé depuis 2015, pour deux raisons principales : la proximité géographique (une grande partie est arrivée à Melille) et le fait de voir en Espagne un pays “amis des gays”, affirme Betty Lachgar, conseillère légale de nombreux marocains à travers le Mouvement Alternatif de Libertés Individuelles (MALI)”, ajoute la même source.

    Les demandeurs d’asile marocains sont gardés au Centre d’Internement à Melille pendant plusieurs mois, les autorités espagnoles craignant la fraude, se sont montrées méfiantes.
    marocleaks
    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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    • #3
      les poubelles étaient pleines ce matin, c'est pour ça que oudjda s'occupe de les vider

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      • #4
        Conversion au christianisme et homosexualité : les motifs invoqués par les Algériens pour demander l’asile en Espagne

        rès de 800 Algériens ont demandé l’asile politique depuis 2015 et jusqu’au mois de mai dernier à Ceuta et Melilla, les deux villes espagnoles enclavées sur la côte nord-africaine, selon une statistique rendue publique par le ministère de l’Intérieur espagnol à la demande du sénateur basque Jon Iñarritu.
        Pour ce faire, la plupart des Algériens sont d’abord rentrés illégalement au Maroc, à travers une frontière terrestre théoriquement fermée. Ils se sont ensuite introduits dans les deux villes en se faisant probablement passer pour des Marocains résidant dans les provinces limitrophes de Nador ou de Tétouan. Ceux qui y habitent n’ont pas besoin d’un visa Schengen pour rentrer dans les enclaves espagnoles. Une simple pièce d’identité leur suffit.


        La majorité des Algériens ont déposé leur demande à Ceuta (549) bien que cette ville soit bien plus éloignée de la frontière algérienne que Melilla ou 237 ont sollicité l’asile depuis janvier 2015. Leur séjour dans un centre pour étrangers dans les deux villes se prolonge alors sept ou huit mois jusqu’à ce que les autorités se prononcent sur leur demande et, en général, la rejettent. Dans ce cas, ils sont conduits sous bonne escorte à la Péninsule et, de là, renvoyés en Algérie par le ferry qui relie Alicante à Oran.
        Les demandes d’asile, formulées par des Algériens, qui invoquent des raisons purement politiques n’ont aucune chance d’aboutir. La preuve c’est que le gouvernement espagnol a approuvé, le 8 septembre, l’extradition en Algérie de Salah Abbouna et Khoudir Sekkouti, militants du Mouvement pour l’Autonomie du M’zab appréhendés en juillet à Melilla. Alger considère que ces deux militants amazighs sont des terroristes, ce qu’ils nient de toutes leurs forces.
        Les demandeurs algériens invoquent donc souvent leur conversion au christianisme ou leur homosexualité. Les questions simples qui leur sont posées sur leur nouvelle religion, et auxquelles dans certains cas ils ne savent pas répondre, permettent aux enquêteurs de conclure qu’il s’agit d’un prétexte pour essayer d’obtenir l’asile, indiquent des sources qui connaissent de près le processus.
        Les tromperies sur l’orientation sexuelles sont plus difficiles à détecter. Par amour ou par supercherie, certains demandeurs d’asile sont allés jusqu’à annoncer à la presse leur intention de se marier en Espagne où l’union des couples homosexuels est permise par la loi depuis juillet 2005. Un couple formé par un Algérien de Kabylie et un Marocain du Rif a défrayé la chronique, en mai 2016, quand ils ont annoncé publiquement dans la presse de Melilla leur intention de se marier.
        Malgré cela, les rapports des enquêteurs préconisent souvent le rejet de ces demandes car, disent-ils, s’ils sont discrets ils peuvent avoir sans trop de problèmes des rapports homosexuels dans les pays du Maghreb où la loi punit, cependant, les relations intimes entre personnes du même sexe.
        La plupart des Algériens qui rentrent en Espagne de façon irrégulière ne le font cependant pas à travers Ceuta et Melilla. Ils débarquent sur les côtes d’Andalousie, de Murcie, d’Alicante et des Baléares. Ils ont été, jusqu’au 10 septembre, 1.244 à se faire appréhender par la police ou la Garde Civile (Gendarmerie) espagnoles, un chiffre record pour l’Espagne. Leur nombre est sans doute plus élevé mais certains ont réussi à se faufiler entre les mailles des forces de sécurité espagnoles pour ne pas se faire rapidement renvoyer en Algérie.
        ex TSA

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        • #5
          Mariages homosexuels en Algérie : voici comment on s’y prend

          Par
          Jugurta Nam -

          11 octobre 2017 à 14:52

          [IMG]https://i2.wp.com/observ************/wp-content/uploads/2017/10/lgbt.jpg?resize=696%2C392&ssl=1[/IMG]Mariages homosexuels en Algérie : voici comment on s'y prend




          L’homosexualité est encore un sujet tabou en Algérie, et est considérée dans les textes de loi comme un délit passible d’une peine d’emprisonnement et d’une forte amende. À l’occasion de la journée nationale de la solidarité de la communauté LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transsexuels) algérienne, célébrée le 10 octobre, des membres de cette communauté ont décidé de livrer leurs témoignages, et révèlent notamment comment ils s’y prennent pour se marier.
          « J’ai fini par trouver un gay. Je l’ai rencontré il y a deux ans grâce à un ami. Il a fait les présentations et le courant est très bien passé » déclare ainsi Amel (*), 31 ans, qui explique comment les mariages de convenance, appelés « mariages rainbow », servent d’alternative aux homosexuels en Algérie pour fuir la pression sociale à laquelle ils doivent faire face. « La première chose qui a été claire entre nous, c’est le désir d’enfant. Je lui ai dit que je cherchais un père pour mes enfants et que c’était le but de ce mariage. Être une femme en Algérie est déjà difficile, alors être mère célibataire est encore plus dur » explique-t-elle.



          « On va (…) faire une sorte de famille homoparentale. Rien ne m’oblige à avoir une sexualité, nous sommes d’accord là-dessus. Je compte faire une insémination artificielle. Ma gynécologue sait que je suis lesbienne et m’a dit qu’elle allait tout organiser. Elle connaît toute l’histoire » a-t-elle encore détaillé. Amel explique les raisons ce choix par son désir de diminuer la pression à laquelle elle doit faire face, notamment du côté de sa famille. « Quand je sortais avec des copines, elle (sa mère, ndlr) appelait tout le temps pour savoir où j’étais, avec qui, si elle les connaissait. Maintenant, elle ne me prend plus tête. D’ailleurs, à l’avenir quand je sortirai avec des filles, je lui dirai que je sors avec lui (son conjoint, ndlr) comme ça elle n’appellera plus ! » dit-elle. Farid (*), fiancé à Amel (*), est lui aussi homosexuel, mais le but de leur mariage, comme l’explique la jeune femme, est de permettre à chacun de mener sa vie avec moins de pression de la part de la société algérienne, où l’homosexualité fait partie des sujets les plus tabous. « Je n’ai pas peur. On est obligé de vivre dans le mensonge à cause de la société. Quand on ne peut pas avoir ce qu’on veut, on prend ce que l’on peut. » conclut la jeune femme.
          (*) Les prénoms ont été changés.






          observ************

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          • #6
            Un mariage homosexuel entre un Marocain et un Algérien à Melilla

            12 mai 2016 - 14h20 - Société
            [IMG]https://img.**********/IMG/local/cache-gd2/44/ebcc558564d0592de64365c2432df8.jpg?1488714547[/IMG] © Copyright : DR




            Ils sont tous les deux hébergés au centre pour les réfugiés de l’enclave espagnole au nord du Maroc, Melilla. L’un est Algérien, l’autre est Marocain et vont se dire oui pour le premier mariage homosexuel entre réfugiés.




            Anouar Damani n’a pas peur de montrer son visage aux journalistes du quotidien El Diario. Il est originaire d’Algérie et va se marier prochainement avec son ami marocain originaire du Rif. « J’ai déjà entamé les démarches pour contracter un mariage et ce, même si je n’ai pas encore obtenu le statut de réfugié », confie-t-il au journal
            « Ce sera un mariage auquel tout le monde pourra participer. Tous sauront que nous nous sommes mariés et comme ça nous encouragerons les homosexuels afin qu’ils changent leur mentalité », ajoute ce jeune originaire de Kabylie qui a abandonné l’islam pour se convertir au catholicisme.
            Une cinquantaine de jeunes, dont une majorité de Marocains, ont trouvé refuge à Melilla après avoir fui leur pays d’origine. Tous affirment avoir été persécutés par leurs proches à cause de leur homosexualité. C’est le cas du futur conjoint d’Anouar qui a été rejeté par sa famille après la découverte de ses contacts sur Facebook.
            Les deux jeunes se sont connus il y a plusieurs mois d’abord sur le réseau social avant que le Marocain ne le rejoigne à Melilla où il a fait une demande en janvier pour le statut de réfugié politique. Depuis, ils attendent la réponse des autorités pour pouvoir quitter l’enclave et rejoindre la péninsule.
            bladi

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            • #7
              Avec un tel alibi, le Maroc va se vider de son peuple mâle. Et son tourisme va en connaître des conséquences fâcheuses également.

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              • #8
                Avec un tel alibi, le Maroc va se vider de son peuple mâle.
                tant qu'il y aura des hommes...
                Dernière modification par Anzoul, 26 mars 2018, 17h25.

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