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Ould Abbès, en tant que grand «chef» du plus grand parti politique, ne compte plus cacher son désir de voir l’actuel président de la République briguer un 5 ème mandat.
C’est normal, tant que le président est en même temps le chef suprême du FLN… Il y a ceux qui aspirent pour le changement par le changement et d’autres en revanche aspirent au changement dans la continuité… et le statu quo.
Même, s’il y a pas mal d’Algériens qui souhaitent voir du changement dans le pays, d’autres par contre ne voient guère d’inconvenéants que la situation perdure avec ce rythme.
Chacun des deux camps doit sûrement avoir les raisons qui expliquent ses positions et renforcent ses convictions.
Toutefois, la plupart des Algériens non versés dans les méandres de la politique, ses analyses compliquées et ses complots difficiles à saisir par les profanes, prend plutôt partie avec la stabilité et la sécurité du pays…
Tant que nous ne sommes pas comme tel ou tel pays où le chaos est maître de la situation, nous sommes déjà bien», estime la majorité des Algériens…
Tout en reconnaissant que beaucoup de choses manquent, à leur tête, viennent l’ordre et l’organisation…
Ils souhaitent cependant que l’Etat soit appelé à s’y impliquer plus sérieusement, afin de maintenir l’ordre.
D’ailleurs, expliquent-ils, l’Etat ne fera pas grand-chose sauf qu’appliquer de façon rigoureuse les lois de la République, existant déjà.
La grande populace n’est pas trop subjuguée par les feux multicolores des grandes questions politiques, la présidence de la République, entre autres…
C’est un terrain de luttes, de complots, de manigances laissés pour ceux qui en savent appréhender les tenants et les aboutissants de la chose.
Le chômeur cherche du boulot, le non ou le mal logé cherche un toit.
L’homme d’affaires cherche des opportunités juteuses et ainsi de suite…
Pour la petite catégorie de têtes brûlées qui aiment s’immiscer dans les affaires politiques sans toutefois, en faire réellement partie, elle est plutôt encline à vivre une expérience d’élections présidentielles qui se déroule dans le respect des lois et la transparence, sans pour autant s’intéresser qui serait vraiment le futur président…
Il faut également rappeler dans ce sens que la question de l’élection d’un président de la République n’est pas uniquement et purement une affaire nationale.
La sagesse donc, serait de concilier la volonté et le désir nationaux avec ceux de l’Ordre Mondial..
Ce dernier aurait un droit de regard, même si officiellement «la souveraineté nationale» et tout ce baratin ne le permettent jamais…
Avec ces Etats «immatures» du tiers-monde, c’est comme çà… que ça a toujours été.
La souveraineté, l’indépendance, l’emblème national, l’hymne national, tout cela, c’est du fourrage médiatique pour alimenter les esprits égarés des populaces.
[email protected]
© Le Carrefour d'Algérie
C’est normal, tant que le président est en même temps le chef suprême du FLN… Il y a ceux qui aspirent pour le changement par le changement et d’autres en revanche aspirent au changement dans la continuité… et le statu quo.
Même, s’il y a pas mal d’Algériens qui souhaitent voir du changement dans le pays, d’autres par contre ne voient guère d’inconvenéants que la situation perdure avec ce rythme.
Chacun des deux camps doit sûrement avoir les raisons qui expliquent ses positions et renforcent ses convictions.
Toutefois, la plupart des Algériens non versés dans les méandres de la politique, ses analyses compliquées et ses complots difficiles à saisir par les profanes, prend plutôt partie avec la stabilité et la sécurité du pays…
Tant que nous ne sommes pas comme tel ou tel pays où le chaos est maître de la situation, nous sommes déjà bien», estime la majorité des Algériens…
Tout en reconnaissant que beaucoup de choses manquent, à leur tête, viennent l’ordre et l’organisation…
Ils souhaitent cependant que l’Etat soit appelé à s’y impliquer plus sérieusement, afin de maintenir l’ordre.
D’ailleurs, expliquent-ils, l’Etat ne fera pas grand-chose sauf qu’appliquer de façon rigoureuse les lois de la République, existant déjà.
La grande populace n’est pas trop subjuguée par les feux multicolores des grandes questions politiques, la présidence de la République, entre autres…
C’est un terrain de luttes, de complots, de manigances laissés pour ceux qui en savent appréhender les tenants et les aboutissants de la chose.
Le chômeur cherche du boulot, le non ou le mal logé cherche un toit.
L’homme d’affaires cherche des opportunités juteuses et ainsi de suite…
Pour la petite catégorie de têtes brûlées qui aiment s’immiscer dans les affaires politiques sans toutefois, en faire réellement partie, elle est plutôt encline à vivre une expérience d’élections présidentielles qui se déroule dans le respect des lois et la transparence, sans pour autant s’intéresser qui serait vraiment le futur président…
Il faut également rappeler dans ce sens que la question de l’élection d’un président de la République n’est pas uniquement et purement une affaire nationale.
La sagesse donc, serait de concilier la volonté et le désir nationaux avec ceux de l’Ordre Mondial..
Ce dernier aurait un droit de regard, même si officiellement «la souveraineté nationale» et tout ce baratin ne le permettent jamais…
Avec ces Etats «immatures» du tiers-monde, c’est comme çà… que ça a toujours été.
La souveraineté, l’indépendance, l’emblème national, l’hymne national, tout cela, c’est du fourrage médiatique pour alimenter les esprits égarés des populaces.
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