13 AVRIL 2018
Le Parti communiste portugais, on le voit est très à la pointe de la dénonciation de la manoeuvre occidentale supposée, et si la majorité des forces politiques portugaises a refusé toute implication militaire, elle n’a pas renoncé à toute implication en matière de négociation. Le PCP a aussi proposé une piqure de rappel sur l’intervention en irak il y a 15 ans (note et traduction de danielle Bleitrach)
PS, PSD et CDS-PP ont voté ce vendredi à l’Assemblée de la République, le seul vote qui a exigé la non-implication du Portugal, « nullement dans l’agression contre la Syrie » présentée par le PCP.
Les trois groupes parlementaires ont rejeté la proposition de vote du PCP «condamnant l’escalade actuelle des menaces contre la Syrie». En plus du vote des communistes, d’autres initiatives (BE et membres de la commission parlementaire des Affaires étrangères) se sont réunis en plénière, mais c’était la seule prooposition qui exigeait que le gouvernement ne soit pas impliqué.
Le texte de la BE a appelé à l’implication du Portugal dans une « solution politique », bien qu’il ait exclu toute participation à des opérations militaires, a été approuvé. Le vote des députés de la commission des affaires étrangères, qui a été approuvé avec les votes en sa faveur du PSD, PS, BE et CDS-PP, a supposé comme factuel l’attaque chimique alléguée du week-end passé, alors qu’il est Nié par ceux qui sont sur le terrain et dans l’ attente d’une enquête de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques, dont la mission est déjà sur le territoire syrien.
Une proposition de vote du PCP a également été approuvé, dénonçant l’entrée à Bagdad il y a15 ans des forces américaines, dans un processus dans lequel le Premier ministre, Durão Barroso, et le ministre portugais de la Défense, Paulo Portas, avaient joué un rôle de premier plan. Sans surprise, leurs partis – le PSD et le CDS-PP – ont été les seuls à voter contre; le député PAN s’est abstenu.
histoire et société
Le Parti communiste portugais, on le voit est très à la pointe de la dénonciation de la manoeuvre occidentale supposée, et si la majorité des forces politiques portugaises a refusé toute implication militaire, elle n’a pas renoncé à toute implication en matière de négociation. Le PCP a aussi proposé une piqure de rappel sur l’intervention en irak il y a 15 ans (note et traduction de danielle Bleitrach)
PS, PSD et CDS-PP ont voté ce vendredi à l’Assemblée de la République, le seul vote qui a exigé la non-implication du Portugal, « nullement dans l’agression contre la Syrie » présentée par le PCP.
Les trois groupes parlementaires ont rejeté la proposition de vote du PCP «condamnant l’escalade actuelle des menaces contre la Syrie». En plus du vote des communistes, d’autres initiatives (BE et membres de la commission parlementaire des Affaires étrangères) se sont réunis en plénière, mais c’était la seule prooposition qui exigeait que le gouvernement ne soit pas impliqué.
Le texte de la BE a appelé à l’implication du Portugal dans une « solution politique », bien qu’il ait exclu toute participation à des opérations militaires, a été approuvé. Le vote des députés de la commission des affaires étrangères, qui a été approuvé avec les votes en sa faveur du PSD, PS, BE et CDS-PP, a supposé comme factuel l’attaque chimique alléguée du week-end passé, alors qu’il est Nié par ceux qui sont sur le terrain et dans l’ attente d’une enquête de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques, dont la mission est déjà sur le territoire syrien.
Une proposition de vote du PCP a également été approuvé, dénonçant l’entrée à Bagdad il y a15 ans des forces américaines, dans un processus dans lequel le Premier ministre, Durão Barroso, et le ministre portugais de la Défense, Paulo Portas, avaient joué un rôle de premier plan. Sans surprise, leurs partis – le PSD et le CDS-PP – ont été les seuls à voter contre; le député PAN s’est abstenu.
histoire et société
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