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Les milliers de scientifiques irakiens de l'épopée Saddam, ne sont pas étrangers à cet exploit rapide iranien.
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L’Iran rejoint les puissances spatiales avant d’intégrer le club atomique. C’est en tout ce qu’affirme la télévision d’état. « La première fusée spatiale a été envoyée avec succès dans l'espace », a-t-elle assuré. « Cette fusée est porteuse de matériels de recherche fabriqués par les ministères de la Défense et de la Science », a ajouté Mohsen Bahrami, chef du Centre de recherche aérospatiale. « L’investissement spatial est très sérieux et réclame du temps, mais nous essayons d’accélérer », a simplement commenté le ministre des Sciences et Technologies.
Les détails sur ce l’engin et son lancement restent minces. « Tous les tests ont été menés dans les unités industrielles du pays selon les normes internationales », assurent pourtant Téhéran. L'Iran avait annoncé en septembre avoir réussi à fabriquer un moteur à plasma pour le guidage de satellite dans l'espace.
Le premier satellite iranien, Sina-1, fabriqué en Russie, a été mis en orbite en octobre 2005 avec une fusée russe Kosmos-3M depuis le pas de tir russe de Plessetsk. Le gouvernement de Téhéran a depuis annoncé sa volonté de disposer de capacité de lancement propres, notamment pour mettre en orbite des satellites commerciaux. Objectif : favoriser le développement de la téléphonie mobile et d’internet.
25 février 2007. Le Figaro
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L’Iran rejoint les puissances spatiales avant d’intégrer le club atomique. C’est en tout ce qu’affirme la télévision d’état. « La première fusée spatiale a été envoyée avec succès dans l'espace », a-t-elle assuré. « Cette fusée est porteuse de matériels de recherche fabriqués par les ministères de la Défense et de la Science », a ajouté Mohsen Bahrami, chef du Centre de recherche aérospatiale. « L’investissement spatial est très sérieux et réclame du temps, mais nous essayons d’accélérer », a simplement commenté le ministre des Sciences et Technologies.
Les détails sur ce l’engin et son lancement restent minces. « Tous les tests ont été menés dans les unités industrielles du pays selon les normes internationales », assurent pourtant Téhéran. L'Iran avait annoncé en septembre avoir réussi à fabriquer un moteur à plasma pour le guidage de satellite dans l'espace.
Le premier satellite iranien, Sina-1, fabriqué en Russie, a été mis en orbite en octobre 2005 avec une fusée russe Kosmos-3M depuis le pas de tir russe de Plessetsk. Le gouvernement de Téhéran a depuis annoncé sa volonté de disposer de capacité de lancement propres, notamment pour mettre en orbite des satellites commerciaux. Objectif : favoriser le développement de la téléphonie mobile et d’internet.
25 février 2007. Le Figaro
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