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Bonsoir
La Dépêche de Kabylie
Présentés le 24 février 2007 devant le procureur d’Azazga, le magistrat a retenu à leur encontre les chefs d’inculpation d’adhésion à groupe de terroriste, participation à la fabrication d’engins explosifs, assassinats et tentatives d’assassinat, destructions volontaires d’édifices de l’Etat et biens d’autrui en utilisant des explosifs.
Huit personnes accusées de complicité dans les attentats sanglants du 13 février dernier en Kabylie ont été arrêtées. Il s’agit de S. M.(41 ans), D. H. (28 ans), C. A. (24 ans) originaires de Bordj Menaïel, M. R. (32 ans), R. S. (26 ans) originaires d’Alger, A. K. (45 ans) originaire des Issers et A. M. (26 ans) originaire de Tizi-Ouzou.
Présentés le 24 février 2007 devant le procureur d’Azazga, le magistrat a retenu à leur encontre les chefs d’inculpation d’adhésion à groupe de terroriste, participation à la fabrication d’engins explosifs, assassinats et tentatives d’assassinat, destructions volontaires d’édifices de l’Etat et biens d’autrui en utilisant des explosifs. Les huit mis en cause ont été placés sous mandat de dépôt.
Ces arrestations ont pu avoir lieu suite à des investigations que les services de sécurité ont mené dans la région de Boubehir, près d’Azazga, particulièrement auprès des personnes ayant fait l’objet de vol de leurs véhicules. Parmi les accusés arrêtés, les deux de Bordj Menaïl étaient déjà fichés auprès des services de sécurité l’un d’eux avait bénéficié des dispositions de la charte pour la paix et la réconciliation nationale et auparavant, il activait au maquis. Les autres par contre ne sont pas connus de services.
Rappelons que sept attentats à la bombe ont simultanément eu lieu à l’aube de la journée du 13 février dernier à plusieurs endroits, Si Mustapha, Souk El Had, Boumerdès, Mekla, Draâ Ben Khedda et Boubehir.
Le bilan de ces opérations terroristes synchronisées a été de sept morts et de plusieurs blessés. Parmi les victimes, figurent deux policiers exerçant au commissariat de Mekla. La septième victime est morte, rappelons-le une fois admise à l’hôpital. Il s’agit d’un citoyen de passage au moment où la Renault 4 bourrée d’explosifs a explosé à Boubehir.
Les quatre autres victimes ont été enregistrée à Si-Mustapha.
Depuis ces attentats, le dispositif sécuritaire a été renforcé en Kabylie et les services de sécurité ont doublé leur vigilance.
La Dépêche de Kabylie
Présentés le 24 février 2007 devant le procureur d’Azazga, le magistrat a retenu à leur encontre les chefs d’inculpation d’adhésion à groupe de terroriste, participation à la fabrication d’engins explosifs, assassinats et tentatives d’assassinat, destructions volontaires d’édifices de l’Etat et biens d’autrui en utilisant des explosifs.
Huit personnes accusées de complicité dans les attentats sanglants du 13 février dernier en Kabylie ont été arrêtées. Il s’agit de S. M.(41 ans), D. H. (28 ans), C. A. (24 ans) originaires de Bordj Menaïel, M. R. (32 ans), R. S. (26 ans) originaires d’Alger, A. K. (45 ans) originaire des Issers et A. M. (26 ans) originaire de Tizi-Ouzou.
Présentés le 24 février 2007 devant le procureur d’Azazga, le magistrat a retenu à leur encontre les chefs d’inculpation d’adhésion à groupe de terroriste, participation à la fabrication d’engins explosifs, assassinats et tentatives d’assassinat, destructions volontaires d’édifices de l’Etat et biens d’autrui en utilisant des explosifs. Les huit mis en cause ont été placés sous mandat de dépôt.
Ces arrestations ont pu avoir lieu suite à des investigations que les services de sécurité ont mené dans la région de Boubehir, près d’Azazga, particulièrement auprès des personnes ayant fait l’objet de vol de leurs véhicules. Parmi les accusés arrêtés, les deux de Bordj Menaïl étaient déjà fichés auprès des services de sécurité l’un d’eux avait bénéficié des dispositions de la charte pour la paix et la réconciliation nationale et auparavant, il activait au maquis. Les autres par contre ne sont pas connus de services.
Rappelons que sept attentats à la bombe ont simultanément eu lieu à l’aube de la journée du 13 février dernier à plusieurs endroits, Si Mustapha, Souk El Had, Boumerdès, Mekla, Draâ Ben Khedda et Boubehir.
Le bilan de ces opérations terroristes synchronisées a été de sept morts et de plusieurs blessés. Parmi les victimes, figurent deux policiers exerçant au commissariat de Mekla. La septième victime est morte, rappelons-le une fois admise à l’hôpital. Il s’agit d’un citoyen de passage au moment où la Renault 4 bourrée d’explosifs a explosé à Boubehir.
Les quatre autres victimes ont été enregistrée à Si-Mustapha.
Depuis ces attentats, le dispositif sécuritaire a été renforcé en Kabylie et les services de sécurité ont doublé leur vigilance.
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