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>>>J'aimerai bien savoir à quoi rime cette invitation
Elle ne rime à rien. D'un côté un dictateur qui a attendu que les choses se calment (en palestine) pour rétablir ses rélations avec Sharon. Je parie 2 boîtes de Hrissa harra qu'il mourrait d'envie de rencontrer Sharon depuis qu'il était petit mais l'occasion ne s'est pas présentée. De l'autre un premier ministre élu démocratiquement qui vient dans l'intérêt de son pays. C'est tout.....
je crains que le sommet arabe se transforme en défouloir : une replique de celui où Boussoud a insulté kadafi...Boutef est sur les nerfs....
Je m'attends à une pluie d'insultes...
Dernière modification par citoyen, 25 février 2005, 17h02.
C'est ce qu'on appelle le "pragmatisme à outrance" d'un dictateur qui, à défaut d'instaurer la démocratie dans son pays, cire les pompes d'un criminel devenu indésirable dans plusieurs pays européens.
Après tout, même le président palestinien Abbas, s'y était exercé en déclarant que l'Intifada était une erreur (pour plaire aux cercles sionistes). On peut donc supposer que Ben Ali a appris la leçon de pragmatisme version Abbas!
Quand on est un peut ecarter, alors les grands scoupes pour les occidentaux,et les americains, il veut plaire a ses maitres et etre le premier de l histoire a inviter un boucher chez lui.
Il est sure de lui, car pas d opposition, le reste marche a la baguette, ce que les occidentaux le place comme un pays democrate et stable, chapeau a benali.
Quand on est un peut ecarter, alors les grands scoupes pour les occidentaux,et les americains, il veut plaire a ses maitres et etre le premier de l histoire a inviter un boucher chez lui.
Il est sure de lui, car pas d opposition, le reste marche a la baguette, ce que les occidentaux le place comme un pays democrate et stable, chapeau a benali.
Et voila le maghreb des abrutis, c est trop tard pour le monde du sud pour ce relever, la dominance va etre certaine des occidentaux, sur les races inferieurs, bien sur sans armes et sans moyen, nous sommes candamner a etre des hommes machines.
C'est ce qu'on appelle le "pragmatisme à outrance" d'un dictateur qui, à défaut d'instaurer la démocratie dans son pays, cire les pompes d'un criminel devenu indésirable dans plusieurs pays européens.
Après tout, même le président palestinien Abbas, s'y était exercé en déclarant que l'Intifada était une erreur (pour plaire aux cercles sionistes). On peut donc supposer que Ben Ali a appris la leçon de pragmatisme version Abbas!
Même Yasser Arafat a été l'invité de Barak, chez lui en Israél.
Juste après la mort de Arafat on nous a présenté un reportage (au Canada) qui montrait tout ce monde qui se montrait heureux qu'enfin il y avait une fin au conflit.
Arafat avait même dit à Barak et sa femme: J'ai hâte de vous recevoir chez moi, car nous les arabes savons rendre (la pareille) à nos hôtes (ceux qui nous ont reçus).
Le journaliste avait alors fait ce commentaire: Le destin avait fait que l'intifada (la deuxième) n'aura jamais permis la réalisation de son rêve de son vivant.
La Tunisie ? Si je ne me trompe, c'est aujourd'hui, avec le Maroc, le pays le plus ouvert officiellement à l'état d'Israél, alors il n'y a pas de quoi s'étonner.
Ce qui m'étonne, c'est Sharon qui ira en Tunisie et non BenAli...à Jérusalem!
L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!
Bien que je ne l'aime BenAli pas pour sa gestion des libertes internes, je trouve son geste courageux et dans l'interet de son peuple, idem pour Kadafi qui a laché les arabes. A quoi bon continuer à jouer avec des lâches qui n'hésitent pas à te poingnarder dans le dos à chaque tournant. Il est temps d'agir avec pragmatisme.
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