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Pourquoi l'Algérie est si décriée par la presse internationale?

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  • Pourquoi l'Algérie est si décriée par la presse internationale?

    Est-ce dû au fait que la diplomatie algérienne soit devenue aphone ou bien qu'elle ait "d'autres chats à fouetter"?

    Cela dit, on est obligé de reconnaître que le "charme algérien" s'est estompé et ceci même auprès de la presse africaine.

  • #2
    Le quatrieme pouvoir est devenu une arme de destabilisation et l'algerie a goute pendant la decennie noire à ses coup de boutoir et comme le desir de cette presse orientée ne s'est pas realisé alors des que l'occasion se presente elle griffe.
    Comme dit l'autre la caravane ......

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    • #3
      @Danube: " Le quatrieme pouvoir est devenu une arme de destabilisation et l'algerie a goute pendant la decennie noire à ses coup de boutoir et comme le desir de cette presse orientée ne s'est pas realisé alors des que l'occasion se presente elle griffe."

      Et si c'était pour cause de l'immobilisme de Boutef que la diplomatie algérienne soit devenue amorphe?

      Sinon, aucun pays digne de ce nom ne saurait tolérer d'être ainsi traîné dans la boue par la presse.

      A moins d'atteindre la sagacité merveilleuse du Marocain feu Mohamed Choukri:

      " Je me souviens de Mohamed Choukri, quelques mois avant sa mort, assis au milieu d’un petit cercle d’intellectuels et journalistes. L’un d’eux demanda à l’écrivain: «N’avez-vous pas peur de donner (à travers vos livres) une mauvaise image du Maroc?». Choukri haussa les épaules et répondit quelque chose comme: «Je m’en fous !».

      Karim Boukhari in le 360.ma

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      • #4
        @rago

        Est-ce dû au fait que la diplomatie algérienne soit devenue aphone ou bien qu'elle ait "d'autres chats à fouetter"?

        Cela dit, on est obligé de reconnaître que le "charme algérien" s'est estompé et ceci même auprès de la presse africaine.
        La dite "presse internationale" est dirigée par les sionistes, elle n'est pas indépendante. L'Algérie est dans son viseur. Cette presse déforme la réalité. Elle n'est pas crédible. Il n'y a qu'à voir sa "couverture" sur les massacres des Palestiniens à Gaza par "l'armée la plus morale".

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        • #5
          L'Algérie n'a qu'un minou.
          Elle le dorlote bien toujours avec elle à travers le monde elle en est fière et le présente à tous les diplomates.

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          • #6
            @Elguifari" " La dite "presse internationale" est dirigée par les sionistes, elle n'est pas indépendante. L'Algérie est dans son viseur. "

            Mais cela n'explique pas la raison pour laquelle la diplomatie algérienne ou ses médias laissent "trainer dans la boue" le pays par les presses algériennes.

            Faut-il en admettre que le symbole "algérien" soit en fin de cycle?

            A l'inverse, la diplomatie marocaine et sa presse montent au front lorsque leur pays est souillé et ceci même à juste titre.

            - Quand Jeune Afrique crache dans « la soupe marocaine »

            La Une de Jeune Afrique (JA) avec les portraits de 10 djihadistes d’origine Marocaine comme illustration à but purement commercial et non éditorial, n’est autre chose qu’une extrapolation de faits afin de montrer en filigrane du doigt le Maroc, suite à la découverte de l’implication de 15 Marocains dans les attentats en Catalogne.

            La question qui se pose : pourquoi ce magazine parisien dirigé par des Maghrébins, et qui était jusque-là « le chouchou » du Makhzen bénéficiant de ses largesses et souvent de ses « scoops », a changé soudainement son fusil d’épaule et carrément craché dans la soupe ?-.

            http://article19.ma/accueil/archives/79569

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            • #7
              @Elguifari: il 'y a pas si longtemps le Monde diplomatique (journal de gauche) se permettait une petite pique sympathique envers le Maroc mais tel n'est plus cas dorénavant.

              - Même en Algérie, l’investissement privé dans ce secteur croît rapidement. Tout cela contraste avec un volume d’échanges interrégionaux très bas — à moins que l’on ne considère le cannabis comme un produit agroalimentaire ! Les entrepreneurs privés maghrébins se trouvent tiraillés entre leur désir inassouvi de construire des partenariats, tant à l’échelle de la région qu’à l’international, et les défis qu’ils ont à relever pour y parvenir-.

              Source: signalée

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