L’Arabie Saoudite du MbS n'est pas loin d'un génocide.
Source:RT 24- 04- 2018
Les images d'un enfant préférant rester auprès de son père mort dans des frappes de la coalition saoudienne au Yémen pourraient devenir le symbole d'un peuple martyr. Pourtant, médiatiquement, tous les enfants victimes de la guerre ne sont pas égaux.
La scène est terrible, mais elle s'est produite au Yémen et non pas en Syrie. Les frappes de la coalition arabe dirigée par l'Arabie saoudite le 23 avril 2018, ont fait des dizaines de victimes civiles en pleine célébration d'un mariage. Parmi les décombres, un enfant, miraculeusement indemne, se blottit contre le corps son père, mort dans le bombardement. «Je reste là, c'est mon père», explique calmement l'enfant dans des images diffusées par l'agence vidéo Ruptly, alors que des adultes tentent de le faire venir.
Les images d'un enfant préférant rester auprès de son père mort dans des frappes de la coalition saoudienne au Yémen pourraient devenir le symbole d'un peuple martyr. Pourtant, médiatiquement, tous les enfants victimes de la guerre ne sont pas égaux.
Une image qui n'a pas fait la Une des médias traditionnels, contrairement par exemple à celle du petit syrien Omran Daqneesh, qui était alors mis en scène par un photographe, posé sur le siège d'une ambulance lors du siège d'Alep en 2016. L'enfant, couvert de poussière, choqué par les bombardements, avait dû se prêter à la séance avant de recevoir les premiers soins et d'être évacué, comme l'avait révélé le père du jeune garçon.
Source:RT 24- 04- 2018
Les images d'un enfant préférant rester auprès de son père mort dans des frappes de la coalition saoudienne au Yémen pourraient devenir le symbole d'un peuple martyr. Pourtant, médiatiquement, tous les enfants victimes de la guerre ne sont pas égaux.
La scène est terrible, mais elle s'est produite au Yémen et non pas en Syrie. Les frappes de la coalition arabe dirigée par l'Arabie saoudite le 23 avril 2018, ont fait des dizaines de victimes civiles en pleine célébration d'un mariage. Parmi les décombres, un enfant, miraculeusement indemne, se blottit contre le corps son père, mort dans le bombardement. «Je reste là, c'est mon père», explique calmement l'enfant dans des images diffusées par l'agence vidéo Ruptly, alors que des adultes tentent de le faire venir.
Les images d'un enfant préférant rester auprès de son père mort dans des frappes de la coalition saoudienne au Yémen pourraient devenir le symbole d'un peuple martyr. Pourtant, médiatiquement, tous les enfants victimes de la guerre ne sont pas égaux.
Une image qui n'a pas fait la Une des médias traditionnels, contrairement par exemple à celle du petit syrien Omran Daqneesh, qui était alors mis en scène par un photographe, posé sur le siège d'une ambulance lors du siège d'Alep en 2016. L'enfant, couvert de poussière, choqué par les bombardements, avait dû se prêter à la séance avant de recevoir les premiers soins et d'être évacué, comme l'avait révélé le père du jeune garçon.
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