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Rebecca Zeni est morte dans des circonstances atroces dans sa maison de retraite de Géorgie.
Hébergée dans une maison de retraite de l'état de Géorgie, une ex-mannequin américaine est morte à petit feu à l'âge de 93 ans. Rebecca Zeni a été laissé agonisante et à l'abandon par les équipes soignantes durant de longs mois.
Sa mort longue et douloureuse, comme le rapporte le Washington Post, date d'il y a plusieurs années, en 2015, mais est particulièrement terrible.
Infectée sous la peau et dans le sang
L'ancienne mannequin est morte des suites de la gale, maladie pourtant désormais bien soignée, alors qu'une épidémie avait touché sa maison de retraite en 2013. Une information qui n'est jamais remontée jusqu'aux familles des pensionnaires de l'établissement.
La vieille femme a été contaminée par des milliers de mites ayant proliféré et pondu sous sa peau qui se décomposait peu à peu...
Au moment de sa mort, sa main droite était presque noire et ses doigts menaçaient de tomber.
"Les six derniers mois de sa vie, elle souffrait constamment", a déclaré Mike Prieto, l'avocat de la famille, "elle était littéralement dévorée de l'intérieur."
Sa fille, qui la visitait régulièrement, n'a pu que "regarder désespérément" sa mère mourir, tout en étant "incapable de toucher ou de serrer dans ses bras la femme qu'elle aimait et admirait", souligne son avocat.
La maison de retraite n'a pas stoppé l'épidémie
Une autre épidémie similaire a touché l'établissement de Rebecca Zeni en 2014, mais les gérants n'ont pas réagi.
La société PruittHealth, une société à but lucratif qui possède des dizaines de maisons de retraite, dont Shepherd Hills qui accueillait la défunte depuis 2010, est désormais poursuivie par sa famille.
En 2016, l'établissement avait déjà été pénalisé pour plusieurs erreurs de médication du personnel, dont certaines ont entraîné des situations ayant mis la vie des patients en danger.
Le BP
Hébergée dans une maison de retraite de l'état de Géorgie, une ex-mannequin américaine est morte à petit feu à l'âge de 93 ans. Rebecca Zeni a été laissé agonisante et à l'abandon par les équipes soignantes durant de longs mois.
Sa mort longue et douloureuse, comme le rapporte le Washington Post, date d'il y a plusieurs années, en 2015, mais est particulièrement terrible.
Infectée sous la peau et dans le sang
L'ancienne mannequin est morte des suites de la gale, maladie pourtant désormais bien soignée, alors qu'une épidémie avait touché sa maison de retraite en 2013. Une information qui n'est jamais remontée jusqu'aux familles des pensionnaires de l'établissement.
La vieille femme a été contaminée par des milliers de mites ayant proliféré et pondu sous sa peau qui se décomposait peu à peu...
Au moment de sa mort, sa main droite était presque noire et ses doigts menaçaient de tomber.
"Les six derniers mois de sa vie, elle souffrait constamment", a déclaré Mike Prieto, l'avocat de la famille, "elle était littéralement dévorée de l'intérieur."
Sa fille, qui la visitait régulièrement, n'a pu que "regarder désespérément" sa mère mourir, tout en étant "incapable de toucher ou de serrer dans ses bras la femme qu'elle aimait et admirait", souligne son avocat.
La maison de retraite n'a pas stoppé l'épidémie
Une autre épidémie similaire a touché l'établissement de Rebecca Zeni en 2014, mais les gérants n'ont pas réagi.
La société PruittHealth, une société à but lucratif qui possède des dizaines de maisons de retraite, dont Shepherd Hills qui accueillait la défunte depuis 2010, est désormais poursuivie par sa famille.
En 2016, l'établissement avait déjà été pénalisé pour plusieurs erreurs de médication du personnel, dont certaines ont entraîné des situations ayant mis la vie des patients en danger.
Le BP
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