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Abdelmoumen Rafik KHALIFA recherché par Interpol

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  • Abdelmoumen Rafik KHALIFA recherché par Interpol

    L'avis de recherche du goldenboy déchu Abdelmoumen Rafik KHALIFA lancé par Interpol est toujours en ligne dans son site et pourtant, on sait où se trouve l'escroc né à Béjaia : il vit dans un deux pièces dans le quartier le plus chic de Londres!

    Pourquoi les british ne veulent pas nous le livrer? Il parraît que la justice britannique s'inquiète de son sort en Algérie où il risque d'être "fouetté" par notre poulet en chef, Yazid Zerhouni en personne!

    - http://www.interpol.int/public/Data/...2003_13596.asp


  • #2


    Wanted !

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    • #3
      Abdelmoumen Rafik KHALIFA recherché par Interpol
      Pourquoi les british ne veulent pas nous le livrer

      .................................................. .................................................. ..


      peut être que le gouvernement à passer d'autres accords en douce pour que cet homme génant pour le pouvoir ne soit pas extradé .
      Mr NOUBAT

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      • #4
        A ce stade le niveau est elevé de part et d'autre, on ne fait pas dans le commerce d'épicier car il s'agit du respect de la procédure internationale qui ne fait pas l'objet de marchandage. Il y va de la crédibilité de l'Algérie. Si il y avait une autre intention de la part du du pouvoir en place , l'affaire aurait été étouffée bien avant sa médiatisation et bien avant que la justice ne soit saisie.

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        • #5
          haw el ra3i nta3na lol

          avant




          après



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          • #6
            far solitaire moi je crois plutôt qu'il faut inverser.

            avant : on a khalifa en golden boy sûr de lui.

            après : on a khalifa ayant sombré dans l'alcool et la dépression dixit son ami gérard Depardieu
            ne dépense pas deux mots, si un seul te suffit.

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            • #7
              En tout cas, s'il va au cachot, j'espère que ses voisins seront certains anciens ministres et d'autres haut cadres de la Banque Centrale, des douanes, de la police, de la justice, etc....
              La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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              • #8
                Les britishs ne veulent pas le livrer parcequ'ils n'ont pas encore de quoi justifier son extradition et peut être qu'ils ne font pas confiance dans la justice algérienne.

                Je pense que le principal effort du pouvoir est de se protéger lui même, le reste en comparaison est accessoire, il est inutile de rappeler le nombre de personnalités cités, dont certaines sont mouillés jusqu'à la moelle.

                Commentaire


                • #9
                  Les britishs ne veulent pas le livrer parcequ'ils n'ont pas encore de quoi justifier son extradition

                  qu'est ce qui justifie une extradition ??
                  ne dépense pas deux mots, si un seul te suffit.

                  Commentaire


                  • #10
                    >>>qu'est ce qui justifie une extradition ??

                    Une accusation avec des preuves, ensuite une garantie d'équitabilité du procès...
                    Khalifa est un guignol, mais bête au point de ne pas utiliser la faille : la réputation de la justice algérienne dans ce type d'affaires...

                    Qu'ils commenecent déjà par le mettre au frais on ne sait jamais ce qu'il peut lui arriver. De cette façon, si extradition il arrivera en bon état et pleinement maître de ses capacités mentales.

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                    • #11
                      ok, donc effectivement vu la justice algérienne c'est assez facile de jouer sur le manque d'équitabilité du procès.

                      De cette façon, si extradition il arrivera en bon état et pleinement maître de ses capacités mentales.

                      non ça je crois que c'est déjà foutu pour lui
                      ne dépense pas deux mots, si un seul te suffit.

                      Commentaire


                      • #12
                        Nos amis anglais ont mis des années pour éxtrader un islamiste vers la France sous prétexte qu'il pourrait etre gifflé lors de sa garde à vue, alors pour Moumen, on peut toujours attendre.

                        Commentaire


                        • #13
                          >>>Nos amis anglais ont mis des années pour éxtrader un islamiste vers la France sous prétexte qu'il pourrait etre gifflé lors de sa garde à vue, alors pour Moumen, on peut toujours attendre.

                          Oui mais lui il l'ont mis au frigo pendant 10 ans, la justice française à apporter de quoi le coffrer. Maalich qu'il soit coffré et que la justice algérienne dévoile tous les dessous de l'affaire.

                          Si on se met à la place d'un juge british, il va certainement demander comment ce dindon déguisé en mec a pu rouler l'état algérien. Si on lui présente rien que le dossier des OPGI, il chutera de sa chaise et risquera un arrêt cardiaque ou un AVC.

                          Commentaire


                          • #14
                            Je ne pense pas que le juge British pense et se demande comment Abdelmoumen a pu rouler L'Etat Algérien, cela ne le regarde pas. Le Juge British consulte le dossier et les faits reprochés selon la loi Algérienne. Le juge British statut uniquement sur l'extradiction pour voir si elle est recevable et surtout si elle est conforme au droit de l'homme et si la peine de mort est requise dans ce genre d'infraction car le juge British ne fait pas le procés de Albdelmoumen, ce n'est pas son rôle.Et, c'est normale que le Juge British n'a pas la même appréciation de la justice Algérienne où autres car même les Américains ont des difficultés avec la justice anglaise. Quant au scandale financier je ne crois pas que l'Algérie a des leçons a donner dans ce domaine. Les scandales financiers en Angleterre se compte par dizaine dans le Royaume et se sont passés maitres dans ce domaine qui sommes des enfants de coeur en terme de comparaison.

                            Commentaire


                            • #15
                              Sillas arrêtes de faire de la propagande pas vraie.

                              Une petite lecture sur le site de Interpol, permettra de revenir à la réalité et de ne pas boire automatiquement tout ce qui est blablaté par les défenseurs aveugles des responsables algériens, qui selon eux n'ont absoluement rien à se reprocher.

                              http://www.interpol.int/Public/ICPO/...s/FS11fr.asp#3
                              3. Les principes du droit de l'extradition

                              Il existe une multitude de dispositions relatives à l'extradition et chaque affaire doit être considérée comme un cas d'espèce selon les dispositions qui s'appliquent. Il existe cependant 6 principes fondamentaux que l'on retrouve généralement dans le droit de l'extradition.

                              3.1 L'influence de la nationalité sur l'extradition :

                              Dans de nombreux pays, le principe est que l'Etat peut refuser d'extrader ses propres ressortissants. Dans ce cas, il s'engage à juger lui-même son ressortissant dans les conditions fixées dans sa propre législation. Il s'agit de l'application de l'adage : "Aut tradere, aut judicare" (soit remettre, soit juger).

                              3.2 La nature de l'infraction extradable :

                              Il est admis dans le droit international de l'extradition que les infractions politiques ne peuvent donner lieu à extradition. Aucune définition précise de l'infraction politique n'étant donnée par le droit international, c'est à l'Etat requis d'apprécier s'il est en présence ou non d'une infraction politique. Pour les infractions complexes (infractions de droit commun par nature mais à motivation politique), la tendance actuelle est de restreindre la portée de la notion d'infraction politique afin de permettre l'extradition (cf. par exemple, la Convention européenne pour la répression du terrorisme qui dresse une liste d'infractions qui, aux fins d'extradition, ne seront pas considérées comme des infractions politiques). Par ailleurs, alors que les traités plus anciens dressaient une nomenclature des infractions donnant lieu à extradition, les traités plus récents définissent les infractions extradables en termes généraux en fonction de leur gravité et de la peine encourue (par exemple, durée minimale de la peine d'emprisonnement).

                              3.3 Le principe de double incrimination :

                              Selon ce principe, l'infraction extradable doit être punissable dans l'Etat requérant et devrait être punissable dans l'Etat requis si elle avait été commise dans cet Etat. En vertu de ce principe, si la prescription est acquise dans l'Etat requis, l'extradition peut être refusée. Ce principe s'affaiblit progressivement.

                              3.4 Le principe "ne bis in idem" :

                              En application de ce principe, l'extradition doit être refusée lorsque l'individu pour lequel l'extradition est demandée a déjà été jugé pour les mêmes faits. Cela dit, s'il a bénéficié d'une grâce, il peut, selon certains traités d'extradition récents, être rejugé.

                              3.5 Le principe de spécialité :

                              Ce principe signifie que l'individu pour lequel l'extradition a été demandée ne peut être poursuivi, jugé et détenu que pour les faits qui ont motivé l'extradition ou qui sont postérieurs à l'extradition. Si l'individu a été extradé en vertu d'une condamnation, seule peut être exécutée la peine prononcée par la décision pour laquelle l'extradition a été accordée. Le principe de spécialité veut que l'individu soit jugé pour les seuls faits visés dans la demande d'extradition et sous la qualification qui leur a été donnée. Si l'Etat requérant découvre postérieurement à l'extradition des agissements antérieurs à cette date qui paraissent devoir être poursuivis, il demande à l'Etat requis l'autorisation de poursuivre sur ces faits nouveaux (demande d'extension de l'extradition).

                              3.6 Le refus d'extrader en cas de peine capitale :

                              Si l'Etat requis n'inflige pas la peine capitale pour ses propres justiciables ou s'il n'exécute pas cette peine bien que l'ayant parmi les peines applicables, l'Etat requis peut refuser l'extradition lorsque l'individu pour lequel l'extradition est demandée encourt cette peine dans l'Etat requérant, sauf si ce dernier donne des assurances suffisantes que cette peine ne sera pas exécutée.



                              4. La procédure d'extradition

                              La procédure d'extradition dans l'Etat requis peut être de 3 sortes :

                              soit cette procédure est purement administrative ;
                              soit cette procédure est purement judiciaire ;
                              soit cette procédure allie le judiciaire et l'administratif : c'est le cas le plus répandu. Dans cette procédure, le refus de l'autorité judiciaire d'accorder l'extradition lie l'administration, tandis qu'en cas d'accord de l'autorité judiciaire, l'administration peut, au-delà de la simple question de légalité, examiner la question de la réciprocité ou de l'opportunité d'extrader.
                              Selon les législations sur l'extradition, on trouve 2 types d'examen :

                              un examen formel qui se fonde sur les pièces remises avec la demande d'extradition et qui a pour objet de vérifier si les conditions formelles de l'extradition sont réunies (système des pays de droit continental);
                              un examen matériel qui s'attache au fond de l'affaire et qui contrôle les preuves afin de vérifier si les soupçons sont suffisamment fondés (système anglo-saxon du "commitment for trial").
                              Avant de balancer n'importe quoi, il est recommandé de se documenter un peu avant...

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