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Provocations marocaines
Il a clairement signifié également que le Front Polisario ne renoncera pas à son droit de disposer comme il l'entend des territoires libérés. C'est d'ailleurs à Tifariti, a annoncé Brahim Ghali, que la RASD a décidé de commémorer, le 20 mai prochain, le 45e anniversaire du déclenchement de la lutte contre le colonialisme espagnol.
La précision est adressée particulièrement au Maroc qui a récemment engagé une bataille pour limiter l'accès aux Sahraouis aux territoires libérés au prétexte que leur présence dans certaines localités viole les accords militaires signés entre les deux parties.
Ce qui est absurde, selon les Sahraouis et les spécialistes du dossier du conflit du Sahara occidental.
Il est à signaler au passage qu'il s'agit du même prétexte avancé par les Marocains pour menacer d'attaquer des positions du Front Polisario.
Pour autant, le président de la RASD a dit refuser de répondre aux «mensonges» du Maroc sur de prétendus liens entre le Front Polisario et le Hezbollah.
Pas question non plus de se laisser entraîner dans sa logique d'escalade.
« Nous connaissons les objectifs que le makhzen recherche à travers ses infâmes campagnes de dénigrements », a indiqué Brahim Ghali, qui s'est dit persuadé que le Maroc est pris de panique après avoir perdu de nombreux bras de fer diplomatiques et juridiques avec le Front Polisario. Sa plus grande défaite, ces deux dernières années, aura été l'annulation par la Cour de justice de l'Union européenne des accords agricole et de pêche liant Bruxelles et Rabat.
Et pour le leader du Front Polisario, il s'agit là d'une bonne raison pour ne pas changer de stratégie de lutte. Du moins pas tant qu'elle donne d'aussi bons résultats.
El Watan
Provocations marocaines
Il a clairement signifié également que le Front Polisario ne renoncera pas à son droit de disposer comme il l'entend des territoires libérés. C'est d'ailleurs à Tifariti, a annoncé Brahim Ghali, que la RASD a décidé de commémorer, le 20 mai prochain, le 45e anniversaire du déclenchement de la lutte contre le colonialisme espagnol.
La précision est adressée particulièrement au Maroc qui a récemment engagé une bataille pour limiter l'accès aux Sahraouis aux territoires libérés au prétexte que leur présence dans certaines localités viole les accords militaires signés entre les deux parties.
Ce qui est absurde, selon les Sahraouis et les spécialistes du dossier du conflit du Sahara occidental.
Il est à signaler au passage qu'il s'agit du même prétexte avancé par les Marocains pour menacer d'attaquer des positions du Front Polisario.
Pour autant, le président de la RASD a dit refuser de répondre aux «mensonges» du Maroc sur de prétendus liens entre le Front Polisario et le Hezbollah.
Pas question non plus de se laisser entraîner dans sa logique d'escalade.
« Nous connaissons les objectifs que le makhzen recherche à travers ses infâmes campagnes de dénigrements », a indiqué Brahim Ghali, qui s'est dit persuadé que le Maroc est pris de panique après avoir perdu de nombreux bras de fer diplomatiques et juridiques avec le Front Polisario. Sa plus grande défaite, ces deux dernières années, aura été l'annulation par la Cour de justice de l'Union européenne des accords agricole et de pêche liant Bruxelles et Rabat.
Et pour le leader du Front Polisario, il s'agit là d'une bonne raison pour ne pas changer de stratégie de lutte. Du moins pas tant qu'elle donne d'aussi bons résultats.
El Watan
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