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Hilale: "Le développement du Sahara marocain ne doit pas être l’otage du processus politique"

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  • Hilale: "Le développement du Sahara marocain ne doit pas être l’otage du processus politique"

    Hilale: "Le développement du Sahara marocain ne doit pas être l’otage du processus politique"
    Hilale:

    Intervenant lors du séminaire régional du C24 à Grenade, l’Ambassadeur, représentant permanent du Maroc auprès de l'ONU, Omar Hilale a mis en exergue les efforts et les réalisations du Maroc pour le développement économique et social des provinces du sud, affirmant que le développement socio-économique du Sahara marocain ne doit pas être l’otage du processus politique.



    Ce séminaire, qui a été marqué par la participation historique pour la première fois de deux élus représentant les deux régions du Sahara marocain, s’est tenu du 9 au 11 mai 2018 à St Georges, Grenade. Il avait pour thème: "les problèmes sociaux économiques et environnementaux liés à la réalisation des objectifs de développement durable".

    Tout en réaffirmant que pour le peuple marocain, l’affaire du Sahara est une question d’unité nationale et d’intégrité territoriale, M. Hilale a rappelé qu’alors que cette région avait été laissée à la marge de tout développement économique avant son retour à la mère patrie en 1975, le Maroc y a consenti des investissements publics colossaux dans tous les domaines notamment les infrastructures, l’industrie, les services, l’agriculture, la santé, l’éducation, le tourisme et la promotion de la culture Hassanie.

    Le développement du Sahara marocain progresse sous les instructions du Roi Mohamed VI avec l’objectif de répondre aux attentes de la population locale, a ajouté M. Hilale.

    L'Ambassadeur a souligné que les indicateurs du développement humain au Sahara marocain sont supérieurs à la moyenne nationale et ont permis le désenclavement et la mise à niveau des provinces sahariennes, rappelant, dans ce contexte, le lancement par le Roi Mohamed VI, en 2015, du nouveau modèle de développement des provinces du sud avec une enveloppe budgétaire de près de 8 milliards de dollars.

    La régionalisation avancée est désormais une réalité tangible avec ses institutions et leurs attributions respectives, permettant aux habitants du Sahara de gérer leurs propres affaires locales dans le cadre d’une démarche démocratique, participative et inclusive, a insisté M. Hilale.

    Abordant le processus politique, l’Ambassadeur Hilale a rappelé que le Maroc reste attaché au processus politique mené sous les auspices exclusives des Nations Unies et ce, sur la base des résolutions du Conseil de Sécurité depuis 2007.

    A cet égard, il a indiqué que la dernière résolution du Conseil de Sécurité, 2414, adoptée le 27 avril 2018, a réaffirmé les paramètres de la solution politique qui doit impérativement être pragmatique, réaliste et de compromis.

    Le Conseil a en outre réitéré la prééminence de l’Initiative Marocaine d’Autonomie considérée comme solution sérieuse et crédible de ce différend régional.

    (Avec MAP)

  • #2
    Pour équilibrer...

    Séminaire des Nations unies sur les territoires non autonomes : Revers de Rabat au Comité des 24


    Pour la première fois, deux « élus » sahraouis devaient prendre part pour le compte du Maroc aux travaux du séminaire régional du Comité des 24 relevant de la Commission de décolonisation de l’ONU, qui s’est tenu à Grenade dans les Caraïbes du 9 au 11 mai 2018. Leur participation en tant que représentants de Laayoune et Dakhla a fait suite à l’invitation du président du C24, l’ambassadeur Walton A. Webson, représentant permanent d’Antigua-et-Barbuda auprès des Nations unies, au nom de l’ensemble des membres du comité.

    Pour Rabat, et selon l’agence de presse MAP vendredi dernier, la présence de ses élus sahraouis «consacre la reconnaissance par la communauté internationale du caractère démocratique et représentatif des élections qui ont eu lieu au Sahara», mais l’enjeu véritable est de chercher à saper la légitimité du Front Polisario en tant qu’unique représentant des Sahraouis ; et fournir sur les tribunes internationales une audience aux Sahraouis des territoires occupés et favorables aux thèses marocaines sur le Sahara occidental.

    En vérité, la participation de ces personnes a tourné au fiasco, car le Maroc, selon une source sahraouie, n’a pas réussi à donner à leur présence un cachet officiel. La réponse des membres du Comité qui ont participé au séminaire a été de rappeler la décision historique des Nations unies depuis son Assemblée générale en 1979 : le Front Polisario est et demeure le seul représentant légitime du Sahara occidental. D’après l’APS, dès l’ouverture des travaux du séminaire, nombre de pays membres et participants ont exigé du président du Comité, l’ambassadeur d’Antigua-et-Barbuda, de définir la qualité de la présence des deux personnes en question à cette rencontre.

    Selon la même source, le président du Comité a fini par admettre publiquement que les personnes présentées par le Maroc sont présentes au séminaire en qualité « d’invités personnels » et non au titre de représentants du peuple du Sahara occidental « ni en une quelconque présumée qualité de représentant élu». Aucune des deux personnes, ajoute l’APS, n’a pu prendre place aux côtés des représentants des territoires non autonomes, lieux réservés aux seuls représentants reconnus des 17 territoires non autonomes. Et c’est bien la délégation du Front Polisario, conduite par le diplomate sahraoui, le docteur Sidi Omar, qui a pris part à ce séminaire en tant que seul et unique représentant légitime du peuple sahraoui.

    La délégation marocaine a tenté de consigner leur participation dans les documents du séminaire, comme « élus locaux de Dakhla et de Laâyoune », villes sahraouies occupées, mais en vain. Les membres du Comité ont décidé d’établir un rapport de séminaire très court et de rejeter les noms de tous les intervenants sur toutes les questions inscrites à l’ordre du jour dans le seul but d’éviter que le nom de l’un des deux individus, ayant lu une déclaration à l’invitation personnelle du président, ne figure dans le rapport officiel du séminaire », précise l’APS.

    Reporters.dz
    ..............................
    Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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    • #3
      " "Le développement du Sahara marocain ne doit pas être l’otage du processus politique"

      Mais le Sahara "marocain" n'existe pas. Pa d'avantage que l'ilot à chèvre de Persil (ilot de Leïla selon le mensonge marocain). Pourquoi, l'inintelligent Hilale ment à ce point?:22:

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      • #4
        .
        Jamais vue ..

        le royaume alaouite colon et colonisé
        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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        • #5
          @houari16: " le royaume alaouite colon et colonisé "

          Et seul pays au monde à pouvoir se targuer d'avoir 2 murs de la honte sur "son" sol! A Ceuta et au Sahara Occidental colonisé.:22:

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          • #6
            séminaire régional du C24 à Grenade

            Ce séminaire, qui a été marqué par la participation historique pour la première fois de deux élus représentant les deux régions du Sahara marocain,
            *Décolonisation : Le Maroc essuie un cuisant échec au séminaire du Comité des 24


            Grenade, 12 mai 2018 (SPS) Le Maroc vient d’essuyer un nouvel échec au sein du Comité spécial de décolonisation de l’ONU, dit Comité des 24, qui vient de conclure les travaux de son séminaire annuel de décolonisation à Grenade, dans les Caraïbes.

            *la délégation du Front Polisario, conduite par le brillant diplomate sahraoui, le docteur Sidi Omar qui a pris part à ce séminaire en tant que seul et unique représentant légitime du peuple sahraoui.

            Malgré une mobilisation inégalée de son appareil diplomatique et une débauche de moyens considérables dans tous les pays de la région, le Maroc n’a pas réussi à donner un cachet reconnu à la participation des soit-disant élus locaux de Dakhla et d’el Aaiun, villes occupées du Sahara occidental.

            N’ayant pas atteint les objectifs qu’elle croyait pouvoir obtenir, la très nombreuse délégation marocaine a tenté en vain de consigner la participation de ces individus dans les documents du séminaire, comme "élus locaux de Dakhla et d’El Aaiun", villes sahraouies occupées.

            Les membres du Comité, malgré la forte mobilisation des alliés du Maroc, ont décidé d’établir un rapport de séminaire très court et de rejeter les noms de tous les intervenants sur toutes les questions inscrites à l’ordre du jour dans le seul but d’éviter que le nom de l’un des deux individus, ayant lu une déclaration à l’invitation personnelle du président, ne figure dans le rapport officiel du séminaire.
            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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