Afrique du Sud que coûte que coute, Algérie neutre et Angola dont on sait pas pourquoi, ne constituent-ils pas un trio infranchissable au dessein marocain d'expulser la RASD de l'Union africaine?
Si à ce trio, on joint le Nigéria qui s'oppose à l'adhésion du Maroc à la CEDAO; il est légitime de poser la question de savoir pourquoi le Maroc a adhéré à l'Union africaine, organisation panafricaine que le royaume chérifien considérait en tant qu'organisation TAM-TAM de suite à son exclusion en 1986 pour incapacité de paiement de sa contribution.
- Après l'Afrique du sud, le Polisario a mis le cap sur Angola-.
Si l'Angola reconnait toujours la «RASD», il commence lentement à prendre ses distances avec le Polisario. Il y a deux jours, son «ministre des Affaires étrangères» n'a pas eu droit à la traditionnelle audience avec le président Lourenço comme ce fut le cas en Afrique du sud et en Namibie.
Si à ce trio, on joint le Nigéria qui s'oppose à l'adhésion du Maroc à la CEDAO; il est légitime de poser la question de savoir pourquoi le Maroc a adhéré à l'Union africaine, organisation panafricaine que le royaume chérifien considérait en tant qu'organisation TAM-TAM de suite à son exclusion en 1986 pour incapacité de paiement de sa contribution.
- Après l'Afrique du sud, le Polisario a mis le cap sur Angola-.
Si l'Angola reconnait toujours la «RASD», il commence lentement à prendre ses distances avec le Polisario. Il y a deux jours, son «ministre des Affaires étrangères» n'a pas eu droit à la traditionnelle audience avec le président Lourenço comme ce fut le cas en Afrique du sud et en Namibie.
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