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Quels sont les journaux les plus lus par les Marocains

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  • Quels sont les journaux les plus lus par les Marocains

    Les ventes de la presse papier au Maroc continuent de sombrer. Selon les derniers chiffres de l’Office de justification de la diffusion), les quotidiens arabophones étaient toujours en tête des journaux les plus achetés dans les kiosques en 2017, malgré une baisse de leur diffusion d’année en année.

    S’il est toujours en première place des journaux les plus lus par les Marocains, le quotidien Alakhbar a accusé une baisse du nombre de ses ventes, passant de 45.240 exemplaires en 2016 à 37.320 exemplaires en 2017.

    Assabah conserve sa deuxième place, mais là aussi ses ventes ont chuté, passant de 32.558 en 2016 à 28.928 en 2017. Al Massae se maintient à la troisième place, mais a enregistré une diminution de ses ventes d’une année à l’autre, enregistrant 27.432 numéros diffusés en 2017 contre 33.362 en 2016.

    Le top 5 est complété par le journal Le Matin, premier quotidien francophone à figurer dans la liste, dont les ventes ont très légèrement augmenté, passant de 20.092 exemplaires en 2016 à 20.290 en 2017. L’hebdomadaire La Vie Eco ferme la marche avec lui aussi une petite hausse de ses ventes, passant de 16.022 exemplaires vendus en 2016 à 17.497 en 2017.

    Les quotidiens Akhbar Al Youm Al Maghribiya (15.963) et L’Economiste (15.001) se talonnent de près, suivis par le mensuel Santé+ Magazine (13.406), l’hebdomadaire Al Ayam (10.763) et le quotidien L’Opinion (10.227).

    En dessous de la barre des 10.000 exemplaires vendus figurent plusieurs titres francophones, tels que La Nouvelle Tribune, TelQuel, Les Inspirations Eco, Aujourd’hui Le Maroc, Zamane et Maisons du Maroc, et arabophones Nissae Min Al Maghrib et Al Michaal Hebdo. Quatorze autres titres, quotidiens, hebdomadaires ou mensuels, figurent en bas du classement avec moins de 7.000 exemplaires vendus.
    Concernant la presse gratuite, le mensuel féminin Plurielle enregistre 16.964 exemplaires diffusés, et le mensuel Cinenews 9.950.

    Quotidiens arabophones (2017)
    - ALAKHBAR: 37 320
    - ASSABAH: 28 928
    - AL MASSAE: 27 432
    - AKHBAR AL YOUM AL MAGHRIBIYA: 15 963
    - AL AHDATH AL MAGHRIBIA: 6 787
    - AL ALAM: 6 476
    - AL ITTIHAD AL ICHTIRAKI: 4 477
    - AL HARAKA: 1 126
    - ANNAHAR AL MAGHRIBIA: 541

    Quotidiens francophones (2017
    - LE MATIN DU SAHARA ET MAGHREB: 20 290
    - L'ECONOMISTE: 14 949
    - L'OPINION: 10 227
    - AUJOURD'HUI LE MAROC: 8 693
    - LES INSPIRATIONS ECO: 8 701
    - LIBERATION: 1 699

  • #2
    Avec internet les jounaux papiers sont condamnés ,Hespres électronique fait mieux que l'ensemble des quotidiens en papiers

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    • #3
      Les ventes de la presse papier au Maroc continuent de sombrer.
      qu'ils sombrent tous inchALLAH, une presse qui n'est pas du coté du citoyen n'est pas une presse, une presse qui ne dépend que des pages de pub des grandes boites et des grands voleurs du pays, n'est pas une presse...


      pas d'investigations, pas de recherches, pas de travail, juste des pseudo articles écrits à la va vite....

      l'audio visuel, j'en parle même pas...

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      • #4
        S’il est toujours en première place des journaux les plus lus par les Marocains, le quotidien Alakhbar a accusé une baisse du nombre de ses ventes, passant de 45.240 exemplaires en 2016 à 37.320 exemplaires en 2017.
        Il étaient déjà peu nombreux en 2016.
        45 000 lecteurs seulement du journal le plus lu. On ne lit pas au Maroc, on dirait.

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        • #5
          Ils lisent les marocains ? On append des choses.

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          • #6
            En 2013, la presse marocaine pouvait escompter sur 300 '000 lecteurs potentiels par jour.

            L'érosion de la presse papier est générale partout dans le monde car d'autres moyens de s'informer sont apparus (internet notamment).

            Plus grave est que le Maghreb ne produit plus d'écrivains de haut rang.

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            • #7
              Ils lisent les marocains ? On append des choses.

              ya weddi, on vous a laissé la lecture et l'écriture et les sciences et même boutef au passage ghir montrez nous quelques lumières

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              • #8
                @overclocker: " on vous a laissé la lecture et l'écriture et les sciences et même boutef au passage"

                Boutef est né auparavant de l'existence du Maroc (12 novembre 1956), donc il ne saurait être déclaré Marocain.

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                • #9
                  Plus grave est que le Maghreb ne produit plus d'écrivains de haut rang.
                  comme s'il en produisait plus avant !
                  Les écrivains maghrébins francophones, surtout expatriés, sont fort nombreux.

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                  • #10
                    @Bachi: " Les écrivains maghrébins francophones, surtout expatriés, sont fort nombreux. "

                    Lesquels? La majorité des écrivains maghrébins expatriés ont connu la scolarité française.

                    Sinon que Sansal, Kadhra (entre autres) sont des écrivains à grands succès, mais sont-ils vraiment des écrivains de la trempe de Rachid Mimoumi, Boudjedra, Katem Yacine, etc?

                    Relevons un fait merveilleux, le cinéma maghrébin (celui marocain notamment) réussit une résurrection exemplaire.

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                    • #11
                      Notons aussi le manque de qualité de la presse électronique du Maroc qui élude-régulièrement la vérité- et preuve:

                      Primaires LR : Fillon sur les traces de Sarkozy dans le révisionnisme de l'histoire coloniale de la France

                      Un discours tendancieux qui n’est pas sans rappeler celui de l’ancien président français, Nicolas Sarkozy. En 2005, il avait suscité un tollé en soulignant le «rôle positif» de la colonisation, tel que mentionné dans l'article 4 de la loi du 23 février 2005.

                      Christian Vanneste, à l’époque député UMP (Union pour un mouvement populaire - aujourd’hui Les Républicains) et auteur de l'article avait tenté de noyer le poisson en expliquant que le texte n'employait pas le terme de «colonisation» mais de «présence française».

                      D’après lui, le terme engagé était «beaucoup plus large» car il visait le «rôle dans les domaines de l'éducation et de la santé, à travers les Instituts Pasteur par exemple». Et de conclure : «la formulation de cet article n'impose rien mais rappelle qu'il y a eu aussi un rôle positif qu'il ne faut pas oublier»-.

                      Ya...bi

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