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45 compagnies étrangères s’intéressent à Algérie Télécom
Le ministre de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication, Boudjemaâ Haïchour, a démenti les informations selon lesquelles le gouvernement aurait revenu sur sa décision de privatiser une partie du capital de l’entreprise publique Algérie Télécom (AT). 45 compagnies étrangères ont exprimé leur intention d’acquérir une part du capital de cette entreprise, révèle le ministre.
Le dossier est « fin prêt » et il a été transmis au secrétariat général du gouvernement pour être soumis au conseil du gouvernement, indiquera le ministre, dans une déclaration à El Khabar, en soulignant que le secteur de la communication en Algérie vient en deuxième position après celui des hydrocarbures. Cependant, « notre objectif n’est pas d’ouvrir le capital de AT pour attirer les investissements, mais plutôt d’acquérir de l’expérience, l’expertise et les technologies en matière de gestion », insistera le ministre. Il a, par ailleurs, affirmé que l’expérience de l’Algérie dans ce domaine est complètement différente de celles de la Tunisie et du Maroc. Le premier a cédé 35% des actions de Tunisie Télécom à Tecom-Dig de Dubaï Holding, pour la somme de 2,66 milliards de dollars, et le deuxième a vendu 51% de Maroc Télécom à la française Vivendi Universal pour un montant de 2,5 milliards de dollars.
Algérie Télécom compte actuellement 3 million d’abonnés pour le téléphone fixe, 7,4 million d’abonnés pour le portable et 1,5 million pour internet. Les investissements réalisés dans le domaine des télécommunications se chiffrent à environs 4 millions de dollars, et ce, dans le cadre des réformes. En outre, la compagnie a annoncé avoir l’intention d’investir pas moins de 700 millions d’euro.
Pour superviser l’opération de privatisation d’une partie de son capital, AT a choisi la Banque espagnole Santander. Selon Haïchour, l’ouverture du capital passera par deux phases : le choix d’un partenaire de réputation mondiale, avant la fin de l’année prochaine. Puis, l’ouverture de négociations sur les objectifs à atteindre.
2007-02-28
Le ministre de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication, Boudjemaâ Haïchour, a démenti les informations selon lesquelles le gouvernement aurait revenu sur sa décision de privatiser une partie du capital de l’entreprise publique Algérie Télécom (AT). 45 compagnies étrangères ont exprimé leur intention d’acquérir une part du capital de cette entreprise, révèle le ministre.
Le dossier est « fin prêt » et il a été transmis au secrétariat général du gouvernement pour être soumis au conseil du gouvernement, indiquera le ministre, dans une déclaration à El Khabar, en soulignant que le secteur de la communication en Algérie vient en deuxième position après celui des hydrocarbures. Cependant, « notre objectif n’est pas d’ouvrir le capital de AT pour attirer les investissements, mais plutôt d’acquérir de l’expérience, l’expertise et les technologies en matière de gestion », insistera le ministre. Il a, par ailleurs, affirmé que l’expérience de l’Algérie dans ce domaine est complètement différente de celles de la Tunisie et du Maroc. Le premier a cédé 35% des actions de Tunisie Télécom à Tecom-Dig de Dubaï Holding, pour la somme de 2,66 milliards de dollars, et le deuxième a vendu 51% de Maroc Télécom à la française Vivendi Universal pour un montant de 2,5 milliards de dollars.
Algérie Télécom compte actuellement 3 million d’abonnés pour le téléphone fixe, 7,4 million d’abonnés pour le portable et 1,5 million pour internet. Les investissements réalisés dans le domaine des télécommunications se chiffrent à environs 4 millions de dollars, et ce, dans le cadre des réformes. En outre, la compagnie a annoncé avoir l’intention d’investir pas moins de 700 millions d’euro.
Pour superviser l’opération de privatisation d’une partie de son capital, AT a choisi la Banque espagnole Santander. Selon Haïchour, l’ouverture du capital passera par deux phases : le choix d’un partenaire de réputation mondiale, avant la fin de l’année prochaine. Puis, l’ouverture de négociations sur les objectifs à atteindre.
2007-02-28