19:30 24.05.2018(mis à jour 19:35 24.05.2018)
La majorité des acteurs de la crise en Libye ont des positions «quasi convergentes» avec la démarche algérienne quant à la résolution de la crise que traverse ce pays, en évitant l’ingérence étrangère. C’est ce qu’a déclaré le 23 mai à Alger le Président du Haut Conseil d’État libyen.
Lors de sa visite du 23 mai à Alger, Khaled al-Mechri, Président du Haut Conseil d'État libyen, a fait savoir que la majorité des parties au conflit en Libye ont des avis «quasi convergents» avec la démarche algérienne concernant la*résolution de la crise*libyenne, sans ingérence étrangère, selon l'Agence Presse*Algérie*(APS).
Ma rencontre avec le ministre algérien des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, avait permis de «souligner la nécessité de renforcer le dialogue entre les différentes parties libyennes en veillant à le mettre à l'abri des ingérences étrangères», a déclaré le responsable libyen.
© AFP 2018 MAHMUD TURKIA
Libye: l’Algérie, l’Égypte et la Tunisie remettent les pendules à l'heure
M. al-Mechri affirme avoir défendu la démarche algérienne devant la Chambre des représentants libyenne et entrepris des consultations avec le Conseil présidentiel «en vue de trouver une issue à la crise politique et économique». Il a souligné que la plupart des acteurs de la crise en Libye avaient des positions «quasi-convergentes» avec celles de l'Algérie.
Le 21 mai, à Alger, le ministre algérien des Affaires étrangères*Abdelkader Messahel*a présidé une réunion avec ses homologues égyptien, Sameh Chokri, et tunisien, Khémis Jhenaoui, consacrée à la question libyenne.
La Libye part à la
A l'issue de cette rencontre, les trois ministres ont réaffirmé dans un communiqué que la solution à la crise que traverse leur voisin doit être politique, impliquer toutes les parties prenantes et exclure toute forme d'ingérence étrangère.
L'Algérie, l'Égypte et la Tunisie s'opposent fermement à «toute forme d'ingérence étrangère en*Libye*qui mènerait à une escalade interne susceptible de contrecarrer le processus politique et de [faire] perdurer la crise qui menacera, dans ce cas, non seulement la sécurité et la stabilité en Libye mais aussi celles des pays voisins», est-il précisé dans le communiqué officiel.
La majorité des acteurs de la crise en Libye ont des positions «quasi convergentes» avec la démarche algérienne quant à la résolution de la crise que traverse ce pays, en évitant l’ingérence étrangère. C’est ce qu’a déclaré le 23 mai à Alger le Président du Haut Conseil d’État libyen.
Lors de sa visite du 23 mai à Alger, Khaled al-Mechri, Président du Haut Conseil d'État libyen, a fait savoir que la majorité des parties au conflit en Libye ont des avis «quasi convergents» avec la démarche algérienne concernant la*résolution de la crise*libyenne, sans ingérence étrangère, selon l'Agence Presse*Algérie*(APS).
Ma rencontre avec le ministre algérien des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, avait permis de «souligner la nécessité de renforcer le dialogue entre les différentes parties libyennes en veillant à le mettre à l'abri des ingérences étrangères», a déclaré le responsable libyen.
© AFP 2018 MAHMUD TURKIA
Libye: l’Algérie, l’Égypte et la Tunisie remettent les pendules à l'heure
M. al-Mechri affirme avoir défendu la démarche algérienne devant la Chambre des représentants libyenne et entrepris des consultations avec le Conseil présidentiel «en vue de trouver une issue à la crise politique et économique». Il a souligné que la plupart des acteurs de la crise en Libye avaient des positions «quasi-convergentes» avec celles de l'Algérie.
Le 21 mai, à Alger, le ministre algérien des Affaires étrangères*Abdelkader Messahel*a présidé une réunion avec ses homologues égyptien, Sameh Chokri, et tunisien, Khémis Jhenaoui, consacrée à la question libyenne.
La Libye part à la
A l'issue de cette rencontre, les trois ministres ont réaffirmé dans un communiqué que la solution à la crise que traverse leur voisin doit être politique, impliquer toutes les parties prenantes et exclure toute forme d'ingérence étrangère.
L'Algérie, l'Égypte et la Tunisie s'opposent fermement à «toute forme d'ingérence étrangère en*Libye*qui mènerait à une escalade interne susceptible de contrecarrer le processus politique et de [faire] perdurer la crise qui menacera, dans ce cas, non seulement la sécurité et la stabilité en Libye mais aussi celles des pays voisins», est-il précisé dans le communiqué officiel.
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