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Algérie: les présidents algériens tous des nuls?

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  • Algérie: les présidents algériens tous des nuls?

    En considération de l'incroyable (inattendu?) exploit réalisé par le peuple algérien lors de son combat d'affranchissement, indéniablement que l'Algérie aurait pu espérer des présidents d'une autre valeur.

    Cependant, à l'époque, le pays possédait-il le " matériel" humain afin de parvenir à une démocratie digne de ce nom ( malgré le fait que l'Algérie- actuellement- est la moins pire dictature maghrébine)?

    Question?

    - Dans le maquis avec Amirouche

    Ben Bella, Boumediène, Bendjedid, tous des incompétents, des nullards, avec un traitement spécial à l’ombrageux Houari qui fut le patron de l’armée des frontières que Hamou exècre. Ses choix économiques ? De la poudre aux yeux ! Son amour du peuple ? Populisme ! Ne reste qu’un "planqué[/I]" (Boutef?) qui a attendu son heure pour éliminer, de la course au pouvoir, les vrais combattants-.

  • #2
    Amirouche à Krim : « Nous allons régler nos comptes »


    On apprend avec Hamou qu’Amirouche "manifestait déjà au début de 1958 une certaine amertume mêlée de colère contre l’armée des frontières qui n’a pu empêcher l’armée française d’ériger deux barrages électrifiés, planter des dizaines de milliers de mines et couper l’ALN de sa principale source d’approvisionnement en armes et en matériel de guerre."

    Pour lui, le crime est signé : Amirouche et Haoues ont été trahis par des taupes de l’état-major, car Amirouche était révolté par la passivité des "civils" qui ont laissé tomber leurs uniformes de combat.

    Amirouche qui ressassait sa colère contre "les planqués" était aussi convaincu que jamais Abane n’aurait été assassiné sans la complicité, fut-elle passive, de Krim.

    La conclusion à laquelle nous pousse Hamou fait froid dans le dos : Abane comme Amirouche ont été victimes de leurs frères de l’extérieur qui voulaient garder la primauté du politique "planqué" sur les combattants "pouilleux":22:.
    Dernière modification par rago, 28 mai 2018, 22h45.

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    • #3
      mon seul regret BOUDIAF Allah yalarmou AMINE

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      • #4
        @ben boulaid: " mon seul regret BOUDIAF Allah yalarmou AMINE "

        Mais est-ce que M. Boudiaf aurait-il été à même de résoudre la grave que traversait l'Algérie à l'époque?

        En Algérie, il faut être mort pour être encensé à tort.

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        • #5
          Allah yalarmou
          c'est quoi ca? "allah yelaghmo"
          ca ressemble a "allah
          yala3no"





          l'algerie ne pouvait tenir sans tout les dirigentsqui ont montrer qu'ils sont pas seulement des combattant farouche dans les champs de batails pas peur devant les armes mais aussi talentueux en ce qui concerne la strategie, politique,économique , militaire,,,

          gérer un pays trés faible sorti d'une guerre destructive, manque de moyens ,de cadres dans tout les domaines, danger d'ennemis interieur et exterieur, l'envie des pays de detruire l'algerie ,prendre ses territoire comme la france et leur maitresse marocaine

          et plein d'autre enjeux

          jouer dans tout ca et réussir a exister, faut avoir quelque chose plus que du talent
          المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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          • #6
            Je trouve que l'intitulé de votre topic est irrespectueux envers l'Algérie, en plus ca n'a rien a voir avec le contenu!

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            • #7
              Sujet poubelle.

              Circulez...
              Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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