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Ce topic me fait penser à la chanson du grand artiste Ait Menguellet' la page blanche' (thawriqth thachevhant)
Je suis tombée sur une traduction du texte, la voici, c'est un certain
Ameziane qui l'a traduite
La feuille blanche (traduction de la chanson d’Ait Menguellet)
Un matin je me réveillai à l’aube
Afin d’écrire de la poésie.
La feuille expectative
Attendait ce que j’allais lui confier.
J’appréhendais de me mettre à écrire.
L’esprit participera-t-il au projet ?
Peut-être espère-t-il un arbre
Pour s’adosser à son tronc.
La feuille blanche restait immuable
Le stylo refusait de la noircir.
Ce jour désavoué par le jour d’hier
Ne sait plus quoi dire
Ce jour ayant désavoué le jour précédent
Ne sait plus quoi dire.
Quand midi sonna
Je repris mon stylo de nouveau.
Je vis une partition pour guitare ;
Contient-t-elle des paroles ou de la musique ?
Les fils refusèrent de me donner
Le son que j’espérais.
Les murs ne me renvoyèrent
Qu’un son ancien et familier.
La feuille blanche restait immuable.
Nous ne sûmes pas quoi écrire
Le stylo triste pleura.
Les fils chagrinés pleurèrent
La guitare chanteuse.
Le soir en retrouvant
La feuille qui m’attendait
J’ai cherché où trouver
Les mots qui m’avaient abandonné ;
Je les fis appeler par ma guitare
Ils firent les sourds et me dédaignèrent.
La nuit tombait déjà sur moi,
Une longue veille m’attendait.
La feuille blanche restait immuable.
Le stylo refusait de la noircir.
Pourquoi veiller ?
La poésie me rejette !
Mais j’affronterai la veille
Bien que l’inspiration me boude.
Je crois avoir décelé enfin
Ce qui n’allait pas.
A chaque fois que je m’apprêtais à écrire
Mon esprit partait en voyage.
Il allait vers ce qui le préoccupait :
La pièce manquante du jeu.
Pénible est le travail d’écriture
Quand la main souffre d’un doigt malade.
La feuille blanche est restée immuable,
Le stylo refusait de la noircir.
L’époque t’a trahie
O bouche boudée par la parole !
Le temps t’a trahi,
Attends donc des jours meilleurs.
Au moment où j’allais sortir
Et laisser mon esprit à son mutisme
J’ai voulu, une dernière fois,
Revoir la fameuse feuille blanche.
Je l’ai trouvée joliment écrite,
Contenant tout ce que j’ai relaté !
Elle ressemblait à un fil
Devenu perchoir d’hirondelles.
La feuille blanche est quadrillée
Toute noircie de l’encre du stylo.
Quand nous ne savons plus quoi dire
Le poème nous le rappelle.
A chaque fois que nous frôlons l’oubli
Le poème vient stimuler notre mémoire.
(Bon...depuis quelques jours, et nuits, dans leurs respects et leurs reflets infinis, bon ramadan à celles et ceux qui, comme tant d'autres se poursuivent à leurs vies, s'entendent à leurs moments recueillis, et donc, à tout le monde, comme un rappel entier constant et uni des secondes des fleurs et des fruits, la paix est une nature que seul le partage rend, longtemps encore et toujours, unique au cœur d'une même "énergie" réfléchie...
[QUOTE]
je dis " a table "
car un butin me fait penser à un méchoui
la patience n'est pas une guerre, elle est au contraire l'acceptation de ce qui n'est pas; or cela demande de l'energie pour ne pas tomber dans le défaitisme.
__________________
La patience n'a l'air de rien, c'est tout de même une énergie.
[QUOTE]
(Il y a pourtant une "citation" au pied de chaque horizon...
essayez, si vous/tu le voulez/veux, en joignant l'acceptation sous la forme positive, ou tout du moins objective, avec ce qui est autrement... ...pourquoi autrement... ce qui n'est pas ne peut être autrement tout...
merci...
...Rester Humainpourle devenir de l'Homme... K.H.R.
je l'avoue ma plume enfume…son encre est l'écume de mon gros ego ça bave....me gave
j'apostrophe cette plume qui vête d'une fausse étoffe
un coeur-leurre
sans teneur
luisant
de soi-disant
embaumé
de guillemets
qui orchestrent
le paraitre
qui sou(s)ligne
signes
qui narrent
fard
et trahissent
narcisse
Bonjour nedjmala
Le texte a debattre n est pas ma citation
Bien que ce soit gentil de votre. Ta .part
Salam merci
__________________
La patience n'a l'air de rien, c'est tout de même une énergie.
Et bien Bonsoir Joyna
C'est bien de fermer la parenthèse autant qu'il n' y a rien à avouer, ni même
reprocher, c'est juste que le sujet s'y prêtait lisiblement complètement et simplement par la suite du commentaire, autant que certaines coïncidences ne meurent de la tolérance tant par leurs émergences que par leurs évidences...
celui ci
la patience n'est pas une guerre, elle est au contraire l'acceptation de ce qui n'est pas; or cela demande de l'energie pour ne pas tomber dans le défaitisme.
de celle ci
essayez, si vous/tu le voulez/veux, en joignant l'acceptation sous la forme positive, ou tout du moins objective, avec ce qui est autrement... ...pourquoi autrement... ce qui n'est pas ne peut être autrement tout...
Mais la patience n'est pas un tissu que l'on coud ou découd, ou une idée que l'on vit ou survit selon la convenance ou l'humeur faite aux goûts des odes et des modes bien trop approximatives lorsque vouées à toutes mesures privatives...
Des êtres égaux seront toujours patient)e)s face aux tracas innommables et interminables mais, pour cause autrement énigmatiques, toujours si "joueurs" quand surgit, entre les tables ou les fables, plus que mine aux cellules du pourquoi...
La corbeille et la souris ou le commun de l'ordinaire...
merci...
...Rester Humainpourle devenir de l'Homme... K.H.R.
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