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  • #46
    ...

    Eh bien dites donc, chapeau, ça coiffe intensément sur le poteau ou ça brosse à gogo sur le tableau tout ça...

    Pour le côté raser, soyons clair)e dès à présent et dès que possible, car c'est sans doute le manque d'humanité qui se profile, et se profilera, à tire-larigot et dans toutes leurs matières, au plus près des murs, comme tout autre sens ou toute autre raison qui donne ou pousse ou délègue à l'ambiance ou l'atmosphère de ne cesser de s'élever contre les bons partages des cimes intellectuelles, d'où qu'elles soient,... et personne ici dans les commentaires ne devrait déjà ou encore se sentir concerné)e)s...

    Revenons en à "notre" salon... avec ou sans miroir, à qui de voir, dans son couloir Madame Retard se réduit de Monsieur Bizarre, dans le choix de Monsieur Lettre sourit de joie Madame Pâle... ... et des écriteaux, en pagaille sur les panneaux, sur le comptoir cette couronne faite en bataille par des trombones, sans oublier quelques parfums que rien n'arrête ou que tout n'empêche, du plus frais au plus vert, du plus bleu au plus cher, du plus rouge au plus terre,... allez, sans croire que chaque jour elle migre, la nuit ne fait que commencer

    merci...
    ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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    • #47
      ...

      Ah ouI...une bonne fIne mais géante pause à 3600... autant le degré des chIffres parmI celuI des lettres sera toujours cette dIfférence approprIée, sans casquette nI bonnet, qu'Ils ne peuvent mInImalement ou décImalement amoIndrIr...

      merci...
      ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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      • #48
        hihihi.. joli ce salon.. avec pignon sur rue

        je veux bien
        qu'on me cisaille
        les poils du crane..
        mais pas question
        de vous le présenter
        durant le ramadane

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        • #49
          hihihi.. joli ce salon.. avec pignon sur rue

          je veux bien
          qu'on me cisaille
          les poils du crane..
          mais pas question
          de vous le présenter
          durant le ramadane
          Messire!
          il me plaît de vous lire
          et laissez moi vous dire
          que pour cette pudeur crânienne requise
          mon assistance vous est acquise
          et pour votre plume en coiffe de crâne
          donnant lieu à un certain arcane
          d'un cœur qui raisonne
          dont la beauté vous couronne
          je vous tire mon chapeau
          sir capo

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          • #50
            Donnons moult tournures à notre salon de coiffure et amenons nos imaginaires féconds à d'abondantes moissons…et pourquoi pas sous d'autres métaphores pour plus d'essor...pourvu que nous ayons de goûteuses lectures
            mes hommages
            Dernière modification par AdamHamza, 06 juin 2018, 11h53.

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            • #51
              Après leftour, je ramène du pop-corn et vous lirai...

              Chghol el mouallaqates

              Au suivant! Faites comme si je n'étais pas là

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              • #52
                en parlant de coiffeur

                Des mains d'un habile figaro,
                dansant la valse avec ses ciseaux,
                je laisse mon précieux casque.

                Faisant fi de la bourrasque ...
                La patience n'a l'air de rien, c'est tout de même une énergie.

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                • #53
                  Hamza

                  Trop d'honneur
                  Monseigneur..
                  Je passe demain..
                  Remette de l'ordre
                  Dans ce toupet
                  Que tu me colles
                  Malgré moi..

                  C'est une chenille
                  Que tu vois
                  Se gambader
                  Sur mon crane
                  Non pas une coupe
                  De mohican

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                  • #54
                    cher Capo proposons ta coupe de chenille aux mains valseuses du figaro de notre amie Joyna. avec son coup de ciseaux papillon.. il en fera assurément un beau calot

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                    • #55
                      Hamza

                      Que Joyna l'amie
                      Ne perde patience
                      Si elle s'est endormie
                      On requiert ses dents
                      Sa violence
                      Et ses ongles vernis

                      Qu'on en finisse
                      De ce parleur
                      Aux poils mineurs
                      Qui se ragaillardissent

                      Un coup de sécateur
                      Une gifle
                      Et elle s'en retourne
                      Au lit

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                      • #56
                        Pardon ?
                        Qu' Oui Je, qu' entende je ?
                        L autre distribue ses tartes à la creme à la face ...
                        Peu Charmant !


                        Pourquoi cela ne m étonne t il guere

                        Pour un mot dit d esprit une tournure une rime.. exprimer du petit
                        La patience n'a l'air de rien, c'est tout de même une énergie.

                        Commentaire


                        • #57
                          N'importe quoi
                          Mes termes sont d'une gentillesse extrême...
                          Que de sensibilité et d'humour !
                          Et aussi petit que suis-je.. on ne se refait pas oeilfermé

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                          • #58
                            Joyna ! notre ami Capo t'adresse plume toute en humour qui ne s'inspire aucunement de pensées malveillantes. du tout du tout
                            l'esprit ici se veut théâtral pour une joute lyrique. c'est tout !

                            peace

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                            • #59
                              Hamza

                              Je te l'avais dit,
                              Mon crane ne vaut pas cher !
                              Le voilà au pied de la guillotine..
                              Et son bourreau se nomme Joséphine

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                              • #60
                                Sur un grand lit médicalisé
                                Y avait une page allongée
                                Nue, blottie contre un oreiller
                                Dévisageant discrètement son chéri
                                Revêtir poétiquement ses écrits
                                "Oh ! non, il ne va pas me mâchurer
                                Me noircir de vers et de couplets !
                                Et moi qui rêve de brûler des calories,
                                Domestiquer mes épis,
                                Elargir mes côtés,
                                Lisser les bouts brûlés,
                                Arrondir ma taille quadrillée
                                Pour attendrir mon bien-aimé,
                                Assujettir les mots et leurs dérivés,
                                Garantir une place à l'Académie,
                                Etre à la une et devenir un papier certifié !"

                                ... se dit la vierge blanche sur son lit médicalisé.
                                « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

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