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Le FMI renouvelle ses inquiétudes pour l’Algérie, la baisse de la production d’hydrocarbures pèse sur l’économie

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  • Le FMI renouvelle ses inquiétudes pour l’Algérie, la baisse de la production d’hydrocarbures pèse sur l’économie

    Quatre ans après le début de la crise provoquée par la chute des prix du pétrole, « l’Algérie reste confrontée à des problèmes importants », estime, ce vendredi 1er juin, le Fonds monétaire international (FMI).

    En plus des problèmes liés aux prix des hydrocarbures, le FMI évoque une baisse de la production d’hydrocarbures qui pèse sur la croissance du PIB réel.
    « La croissance du PIB réel a fortement ralenti, en raison principalement d’une contraction de la production d’hydrocarbures, même si la croissance du secteur hors hydrocarbures est restée stable », note le FMI. Régulièrement Sonatrach a démenti les informations et les rapports évoquant une baisse de la production algérienne d’hydrocarbures.
    Les autres indicateurs ne sont pas plus rassurants. « Le chômage s’est hissé à 11,7% en septembre 2017, contre 10,5% un an plus tôt, et reste particulièrement élevé chez les jeunes (28,3%) et chez les femmes (20,7%).

    Le taux d’inflation moyen s’est établi à 5,6%, contre 6,4% en 2016, du fait du ralentissement de l’inflation pour les produits manufacturés et les services, et il était de 3,4% en glissement annuel en avril 2018.

    Si les réserves restent abondantes, elles ont diminué de 17 milliards de dollars, pour s’établir à 96 milliards de dollars (hors DTS).

    La dette extérieure reste négligeable, mais la dette publique intérieure a considérablement augmenté depuis 2016, tout en demeurant modérée », souligne le FMI.
    Dans ce contexte, le FMI renouvelle les mêmes conseils aux autorités algériennes : « La poursuite de l’assainissement des finances publiques et l’application de réformes structurelles ambitieuses en vue de faciliter la diversification du modèle de croissance et de soutenir le développement du secteur privé ».


    Pour le FMI, les principales mesures pour financer les déficits (planche à billets) et enrayer la baisse des réserves de change (Restrictions aux importations) pourraient « certes offrir un répit à l’économie à court terme, mais également faire peser des risques considérables sur les perspectives économiques ».
    « Cette approche aura comme conséquence probable d’exacerber les déséquilibres budgétaires et extérieurs, d’alimenter l’inflation, d’accélérer la diminution des réserves de change, d’aggraver les risques pour la stabilité financière et, en fin de compte, de ralentir la croissance », affirme le FMI.


    Selon le FMI, il serait « possible de mener un assainissement progressif des finances publiques dès 2018 sans recourir au financement par la banque centrale, mais en s’appuyant sur une variété de mécanismes de financement, dont l’emprunt extérieur pour financer des projets d’investissement sélectionnés avec soin ».
    Par ailleurs, « une dépréciation progressive du taux de change, accompagnée de mesures visant à éliminer le marché des changes parallèle, favoriserait les mesures d’ajustement ».
    TSA

  • #2
    Les sages de chez nous appelle cela "dbaret el far aala moul edar", certe je me repete ces derniers temps mais reste c'est le fait de la redondance de ces papiers creux du FMI qui sonnent comme si leurs tours dans le sac s'epuisent

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    • #3
      Ne croyez pas que le FMI détient la science économique universelle pour aider et fabriquer de la concurences il roule pour leurs créateurs

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      • #4
        Le FMI est l'instrument par excellence du maintien des peuples miséreux dans l'asservissement . Il est à la solde des pays développés qui se nourrissent de cette misère.
        « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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        • #5
          Selon le FMI, il serait « possible de mener un assainissement progressif des finances publiques dès 2018 sans recourir au financement par la banque centrale, mais en s’appuyant sur une variété de mécanismes de financement, dont l’emprunt extérieur pour financer des projets d’investissement sélectionnés avec soin ».
          Bien sur!
          On emprunte a l’extérieur auprès de qui?Du FMI?
          Quelle seront les conditions?

          Maintenant il est de l’intérêt du pays de tenir comptes des avis d'institutions mondiales en mettant en place des reformes structurelles afin que le pays sorte de la crise.
          Une justice indépendante et une presse libre redonneront confiance u investisseurs,une reforme bancaire qui encourage l'investissement productif et non spéculatif,ces reformes demandent du courage politique qui manque aux incompétents qui nous gouvernent.

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          • #6
            Pour le FMI, les principales mesures pour financer les déficits (planche à billets) et enrayer la baisse des réserves de change (Restrictions aux importations) pourraient « certes offrir un répit à l’économie à court terme, mais également faire peser des risques considérables sur les perspectives économiques ».
            ben voyant !!! .....ça c'est du conseil
            tu tombe je tombe car mane e mane
            après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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            • #7
              La chute du dinar ne fait que se renforcer le dinar a atteint son plus bas historique face au dollar il s'echange un dollar pour 117.0039 dinars ! Pour l'Euro celui-ci s'echange à 135.38 dinars pour ce qui concerne les cours officielles. Pour les cours officieux on atteint 213 dinars pour un euro et 174 dinars pour un dollar.
              Dernière modification par LockDown, 04 juin 2018, 09h49.

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