Voici encore une fois la preuve qu’il n’y a plus de gouvernement ni d’autorité sur terre et plus spécialement dans les pays occidentaux puisqu’une entreprise puissante qui n’a rien à voir avec ce domaine précis va se permettre un acte totalement fou, celui de lâcher 40 millions de moustiques génétiquement modifiés dans la nature. Comme s’ils savaient quel serait le résultat d’une telle folie dans le futur !!! Ce jeu dangereux de l’apprenti sorcier aura des conséquences funestes soyez-en certains…
Objectif : modifier le patrimoine génétique des moustiques
Lancée en octobre dernier, cette initiative baptisée « Debug Project » consiste à créer des moustiques mâles infectés par la bactérie Wolbachia. Ces derniers iront féconder les oeufs des femelles et les rendront stériles. « On introduit un gène qui rend les moustiques dépendants à un antibiotique. Ces mâles sont porteurs du gène et lorsqu’ils s’accoupleront aux femelles, les larves développeront cette dépendance« , ajoute Frédéric Jourdain, ingénieur au Centre National d’Expertise sur les Vecteurs (CNEV).
Cette expérience, qui a déjà été développée aux Îles Caïmans, en Malaisie et au Brésil, est surveillée de près par l’Agence américaine de protection de l’environnement. Frédéric Jourdain rappelle cependant qu’il faut rester vigilant : « Si on arrive à supprimer une espèce, cela libérera une niche écologique qui pourrait favoriser l’arrivée de nouveaux vecteurs ».
libre penseur
Objectif : modifier le patrimoine génétique des moustiques
Lancée en octobre dernier, cette initiative baptisée « Debug Project » consiste à créer des moustiques mâles infectés par la bactérie Wolbachia. Ces derniers iront féconder les oeufs des femelles et les rendront stériles. « On introduit un gène qui rend les moustiques dépendants à un antibiotique. Ces mâles sont porteurs du gène et lorsqu’ils s’accoupleront aux femelles, les larves développeront cette dépendance« , ajoute Frédéric Jourdain, ingénieur au Centre National d’Expertise sur les Vecteurs (CNEV).
Cette expérience, qui a déjà été développée aux Îles Caïmans, en Malaisie et au Brésil, est surveillée de près par l’Agence américaine de protection de l’environnement. Frédéric Jourdain rappelle cependant qu’il faut rester vigilant : « Si on arrive à supprimer une espèce, cela libérera une niche écologique qui pourrait favoriser l’arrivée de nouveaux vecteurs ».
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