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A plus d’un mois des affrontements violents à l’armes légère et lourde, qui ont émaillés les alentours et l’intérieur du Palais d’Ouja, dans le quartier de Khuzami de la capitale saoudienne Riyad, le 21 avril dernier, le fait que le prince héritier Mohammed ben Salman n’ait toujours pas réapparu publiquement attise les spéculations concernant son décès ou ses blessures sérieuses.
Les médias saoudiens sont dans l’expectative depuis ce qu’ils ont estimé n’être qu’un « incident » ayant été provoqué par la présence d’un petit avion-drone près du palais royal.
Évidemment, l’argument n’a pas convaincu grand monde sachant que mettre hors d’état de nuire ce genre d’engin ne nécessite pas une heure d’affrontements armés…
La question qui se pose est surtout la suivante: qui a autorisé le lancement de ce drone près du palais royal?
Les rapports et les journaux qui ont parlé de la mort du prince héritier se sont appuyés sur de nombreuses preuves. La plus importante d’entre elles est qu’il n’a pas reçu le secrétaire d’État américain Michael Pompéo, qui s’est rendu en Arabie saoudite le 29 avril 2018, où il a rencontré le Roi Salman ben Abdul Aziz, le ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel Al-Jubeir, ainsi que l’Ambassadeur aux États-Unis, le prince Khalid ben Salman.
L’hebdomadaire britannique « The Observer » a rejoint les journaux iraniens et russes pour poser la question que tout le monde se pose : « Est-ce que le jeune prince héritier Mohammed ben Salman est mort ? ».
Le journal anglais a ajouté que les médias saoudiens avaient tenté de dissiper les spéculations sur le décès de MBS avec la publication de nouvelles photos du prince héritier.
Mais après enquête, il s’avère que ces photos sont antérieures à l’incident du « quartier Khuzami », ce qui renforce l’hypothèse de sa mort ou de blessures graves.
L’attrait habituel de Mohammed ben Salman pour les médias contraste avec son absence médiatique prolongée, ce qui soulève de nombreux doutes et spéculations.
Au moment de la rédaction de cet article, le prince héritier Mohammed ben Salman n’apparaissait toujours pas sur les écrans saoudiens, se contentant seulement de publier sa photographie le montrant entrain de participer à des événements officiels et populaires sur les réseaux sociaux, augmentant l’hypothèse d’un destin inconnu.
Il est fort possible que Khalid ben Salman, frère cadet de Mohammed ben Salman, soit nommé prince héritier au cas ou les rumeurs et les spéculations sur la mort ou la grave blessure de Mohammed ben Salman se révèlent fondées, car il sera alors dans l’incapacité d’exercer ses fonctions.
Il faut savoir que Khalid ben Salman, de par sa fonction d’ambassadeur aux USA, est l’homme qui gère directement les relations entre Riyad et Washington. Cet ancien pilote de chasse, fier d’avoir participé à l’agression saoudienne contre le peuple yéménite, est également très proche des réseaux pro-israéliens aux États-Unis.
Cette nomination risque d’arriver très prochainement dans la mesure où le Roi actuel, Salman, souffre de démence sénile et n’est plus apte à exercer le pouvoir.
Mais cette succession s’avère difficile en raison de l’aggravation des conflits au sein de la famille royale, notamment entre les fils de Salman et ceux du défunt Roi Abdullah ben Abdelaziz.
Une lutte pour le pouvoir qui a atteint son paroxysme lors de la grande purge effectuée par Mohammed ben Salan, durant laquelle de nombreux princes ont été humiliés et emprisonnés à l’hôtel Ritz Carlton de Riyad. Un véritable braquage financier digne des parrains de la mafia, où MBS a exercé sur eux un chantage pour leur extorquer leur argent afin de financer sa guerre agressive contre le Yémen et le financement de tous les projets contre les iraniens, qui sont le fer de lance de l’Axe de la Résistance contre l’hégémonie américaine et israélienne dans la région arabe et islamique.
Parti Anti Sioniste
Les médias saoudiens sont dans l’expectative depuis ce qu’ils ont estimé n’être qu’un « incident » ayant été provoqué par la présence d’un petit avion-drone près du palais royal.
Évidemment, l’argument n’a pas convaincu grand monde sachant que mettre hors d’état de nuire ce genre d’engin ne nécessite pas une heure d’affrontements armés…
La question qui se pose est surtout la suivante: qui a autorisé le lancement de ce drone près du palais royal?
Les rapports et les journaux qui ont parlé de la mort du prince héritier se sont appuyés sur de nombreuses preuves. La plus importante d’entre elles est qu’il n’a pas reçu le secrétaire d’État américain Michael Pompéo, qui s’est rendu en Arabie saoudite le 29 avril 2018, où il a rencontré le Roi Salman ben Abdul Aziz, le ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel Al-Jubeir, ainsi que l’Ambassadeur aux États-Unis, le prince Khalid ben Salman.
L’hebdomadaire britannique « The Observer » a rejoint les journaux iraniens et russes pour poser la question que tout le monde se pose : « Est-ce que le jeune prince héritier Mohammed ben Salman est mort ? ».
Le journal anglais a ajouté que les médias saoudiens avaient tenté de dissiper les spéculations sur le décès de MBS avec la publication de nouvelles photos du prince héritier.
Mais après enquête, il s’avère que ces photos sont antérieures à l’incident du « quartier Khuzami », ce qui renforce l’hypothèse de sa mort ou de blessures graves.
L’attrait habituel de Mohammed ben Salman pour les médias contraste avec son absence médiatique prolongée, ce qui soulève de nombreux doutes et spéculations.
Au moment de la rédaction de cet article, le prince héritier Mohammed ben Salman n’apparaissait toujours pas sur les écrans saoudiens, se contentant seulement de publier sa photographie le montrant entrain de participer à des événements officiels et populaires sur les réseaux sociaux, augmentant l’hypothèse d’un destin inconnu.
Il est fort possible que Khalid ben Salman, frère cadet de Mohammed ben Salman, soit nommé prince héritier au cas ou les rumeurs et les spéculations sur la mort ou la grave blessure de Mohammed ben Salman se révèlent fondées, car il sera alors dans l’incapacité d’exercer ses fonctions.
Il faut savoir que Khalid ben Salman, de par sa fonction d’ambassadeur aux USA, est l’homme qui gère directement les relations entre Riyad et Washington. Cet ancien pilote de chasse, fier d’avoir participé à l’agression saoudienne contre le peuple yéménite, est également très proche des réseaux pro-israéliens aux États-Unis.
Cette nomination risque d’arriver très prochainement dans la mesure où le Roi actuel, Salman, souffre de démence sénile et n’est plus apte à exercer le pouvoir.
Mais cette succession s’avère difficile en raison de l’aggravation des conflits au sein de la famille royale, notamment entre les fils de Salman et ceux du défunt Roi Abdullah ben Abdelaziz.
Une lutte pour le pouvoir qui a atteint son paroxysme lors de la grande purge effectuée par Mohammed ben Salan, durant laquelle de nombreux princes ont été humiliés et emprisonnés à l’hôtel Ritz Carlton de Riyad. Un véritable braquage financier digne des parrains de la mafia, où MBS a exercé sur eux un chantage pour leur extorquer leur argent afin de financer sa guerre agressive contre le Yémen et le financement de tous les projets contre les iraniens, qui sont le fer de lance de l’Axe de la Résistance contre l’hégémonie américaine et israélienne dans la région arabe et islamique.
Parti Anti Sioniste