Effectivement la diplomatie algérienne a fait son travaille selon les normes.
Par Karim B 07-06-2018
Karim B a appris de source sûre que la journaliste belge Lila Lefèvre n’est plus autorisée à utiliser le plateau de télévision du Parlement européen. En effet, au terme de l’enquête diligentée par l’instance législative de l’Union européenne, elle n’est plus habilitée à présenter l’émission qu’elle réalise pour le compte de la chaîne El-Hiwar – à la ligne éditoriale foncièrement anti-algérienne – pour avoir «violé les règles et les procédures en vigueur».
Lila Lefèvre, qui se prend pour une Algérienne lorsqu’elle s’adresse au président Bouteflika et pour une Belge lors de ses déplacements en Israël, est sanctionnée pour avoir fait d’une installation du Parlement européen une tribune pour attenter à la dignité et à l’honneur d’un chef d’Etat étranger.
L’ancienne correspondante de l’ENTV a «abusé de la confiance des personnels de la direction des communications du Parlement européen en prétextant un enregistrement lié aux activités de cette institution» Un avertissement écrit lui a été infligé, en attendant de statuer sur son accréditation.
L’ambassadeur de l’Union européenne à Alger, John O’Rourke, avait été convoqué au siège du ministère des Affaires étrangères par le Secrétaire général du ministère, Noureddine Ayadi, suite à la diffusion à Bruxelles d’une vidéo attentatoire aux symboles de l’Etat algérien réalisée par Lila Lefèvre.
Le haut responsable algérien avait «relevé avec indignation et réprobation que l’enregistrement par la dénommée Mme Lefèvre, née Haddad, ressortissante belge d’origine algérienne, a été réalisé dans des installations officielles du Parlement européen, utilisant ainsi et détournant abusivement des symboles de l’Union européenne pour porter gravement atteinte à l’honneur et à la dignité des institutions de la République algérienne».
L’Algérie avait, en conséquence, exprimé «le vœu que l’Union européenne se démarque publiquement de cette manœuvre» et demandé que «des actions concrètes soient prises contre les agissements irresponsables de la contrevenante».
L’ambassadeur de l’Union européenne à Alger avait réagi dans un tweet en affirmant que cela relevait de la «liberté d’expression», avant de rectifier le tir après que le ministère des Affaires étrangères eut affirmé que les propos de John O’Rourke n’engageaient que sa personne.
Par Karim B 07-06-2018
Karim B a appris de source sûre que la journaliste belge Lila Lefèvre n’est plus autorisée à utiliser le plateau de télévision du Parlement européen. En effet, au terme de l’enquête diligentée par l’instance législative de l’Union européenne, elle n’est plus habilitée à présenter l’émission qu’elle réalise pour le compte de la chaîne El-Hiwar – à la ligne éditoriale foncièrement anti-algérienne – pour avoir «violé les règles et les procédures en vigueur».
Lila Lefèvre, qui se prend pour une Algérienne lorsqu’elle s’adresse au président Bouteflika et pour une Belge lors de ses déplacements en Israël, est sanctionnée pour avoir fait d’une installation du Parlement européen une tribune pour attenter à la dignité et à l’honneur d’un chef d’Etat étranger.
L’ancienne correspondante de l’ENTV a «abusé de la confiance des personnels de la direction des communications du Parlement européen en prétextant un enregistrement lié aux activités de cette institution» Un avertissement écrit lui a été infligé, en attendant de statuer sur son accréditation.
L’ambassadeur de l’Union européenne à Alger, John O’Rourke, avait été convoqué au siège du ministère des Affaires étrangères par le Secrétaire général du ministère, Noureddine Ayadi, suite à la diffusion à Bruxelles d’une vidéo attentatoire aux symboles de l’Etat algérien réalisée par Lila Lefèvre.
Le haut responsable algérien avait «relevé avec indignation et réprobation que l’enregistrement par la dénommée Mme Lefèvre, née Haddad, ressortissante belge d’origine algérienne, a été réalisé dans des installations officielles du Parlement européen, utilisant ainsi et détournant abusivement des symboles de l’Union européenne pour porter gravement atteinte à l’honneur et à la dignité des institutions de la République algérienne».
L’Algérie avait, en conséquence, exprimé «le vœu que l’Union européenne se démarque publiquement de cette manœuvre» et demandé que «des actions concrètes soient prises contre les agissements irresponsables de la contrevenante».
L’ambassadeur de l’Union européenne à Alger avait réagi dans un tweet en affirmant que cela relevait de la «liberté d’expression», avant de rectifier le tir après que le ministère des Affaires étrangères eut affirmé que les propos de John O’Rourke n’engageaient que sa personne.
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