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Le projet de la Loi de finances complémentaire de 2018 prévoit un ajout de 4,3 milliards de dollars en autorisations de programme pour le financement notamment de projets sociaux et d'infrastructures, a indiqué un communiqué rendu public à l'issue de la réunion du Conseil des ministres tenue mardi à Algér sous la présidence du Président de la République, Abdelaziz Bouteflika.
Pour rappel, les autorisations de programmes sont les montants maximum des dépenses budgétaires qui sont autorisées à être engagées pour l'exécution des projets pendant les années à venir et sont effectuées au rythme de la réalisation des travaux. Quant aux Crédits de paiements, ce sont les dépenses qui sont effectuées pendant l’année pour la couverture des engagements contractés dans le cadre de ces autorisations de programme.
Quant à l'affectation de cette nouvelle dotation de 4,3 milliards de dollars, cela "permettra de relancer une série de projets, notamment sociaux, gelés ces dernières années du fait de la tension financière sur le budget de l'Etat", explique le communiqué. Elle servira aussi à "engager de nouvelles réalisations d'infrastructures qui seront financées en concours temporaires par le Fonds national d'investissement (FNI)".
Commentant ce projet de loi après son adoption, le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, a souligné que "si le gouvernement doit maintenir une gestion prudente des ressources financières du pays, cela ne doit pas empêcher la relance des projets sociaux gelés ces dernières années, ainsi que la consolidation du réseau des infrastructures de base, surtout lorsque celle-ci sont liées à des projets économiques dont la rentabilité est établie".
Africanews
Pour rappel, les autorisations de programmes sont les montants maximum des dépenses budgétaires qui sont autorisées à être engagées pour l'exécution des projets pendant les années à venir et sont effectuées au rythme de la réalisation des travaux. Quant aux Crédits de paiements, ce sont les dépenses qui sont effectuées pendant l’année pour la couverture des engagements contractés dans le cadre de ces autorisations de programme.
Quant à l'affectation de cette nouvelle dotation de 4,3 milliards de dollars, cela "permettra de relancer une série de projets, notamment sociaux, gelés ces dernières années du fait de la tension financière sur le budget de l'Etat", explique le communiqué. Elle servira aussi à "engager de nouvelles réalisations d'infrastructures qui seront financées en concours temporaires par le Fonds national d'investissement (FNI)".
Commentant ce projet de loi après son adoption, le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, a souligné que "si le gouvernement doit maintenir une gestion prudente des ressources financières du pays, cela ne doit pas empêcher la relance des projets sociaux gelés ces dernières années, ainsi que la consolidation du réseau des infrastructures de base, surtout lorsque celle-ci sont liées à des projets économiques dont la rentabilité est établie".
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