Les signataires de la lettre adressée au président Bouteflika fin mai dernier, lui demandant de renoncer à un cinquième mandat, ont lancé un mouvement dénommé «Mouwatana» sensé «assurer la continuité de l’action», en vue de mobiliser les forces vives de la nation pour un véritable changement.
«À la suite de nombreuses sollicitations, les signataires de cette lettre ont décidé de conjuguer leurs efforts en mettant en place un espace de concertation et d’initiatives pratiques, dénommé « Mouwatana » dont l’objectif final est de contribuer au véritable changement dont à besoin le pays», lit-on dans un communiqué rendu public ce dimanche.
Les fondateurs de ce mouvement citoyen ont tracé des objectifs qui consistent essentiellement à « rassembler le maximum d’Algériens pour faire hâter le départ de ce régime et de préparer les véritables conditions d’une transition pacifique».
«Le départ réclamé du Président ne signifie pas à lui seul un changement de système de gouvernance», estiment-ils, ajoutant que «l’Algérie a besoin de réformes politiques et institutionnelles de grande ampleur». Et c’est pour ce, qu’ils défendent l’idée selon laquelle «les élections présidentielles de 2019, bien que cruciales, ne peuvent-être qu’une étape».
«C’est à l’issu de cette épreuve que s’établiront les nouveaux rapports de force qui pèseront sur l’avenir du pays», ont-ils encore souligné dans le même communiqué.
La mission que ce fixe ce nouveau mouvement ne se résume donc pas à essayer de mobiliser la population contre un cinquième mandat de Bouteflika, mais plutôt à accompagner le pays dans sa transition vers un modèle démocratique.
Rappelons que ce mouvement composé de personnalité de premier plan à l’image de Zoubida Assoul, présidente de l’Union pour le changement et le progrès (UCP), Fatiha Benabbou, universitaire et constitutionnaliste, Ahmed Benbitour, ancien chef du gouvernement, Ali Benouari, président de Nida El-Watan, Soufiane Djilali, président de Jil Jadid, Nacer Djabi, universitaire et sociologue et Yasmina Khadra, écrivain, ont adressé une lettre ouverte dans laquelle il ont demandé au président Bouteflika de ne pas briguer un cinquième mandat.
Algérie Focus
«À la suite de nombreuses sollicitations, les signataires de cette lettre ont décidé de conjuguer leurs efforts en mettant en place un espace de concertation et d’initiatives pratiques, dénommé « Mouwatana » dont l’objectif final est de contribuer au véritable changement dont à besoin le pays», lit-on dans un communiqué rendu public ce dimanche.
Les fondateurs de ce mouvement citoyen ont tracé des objectifs qui consistent essentiellement à « rassembler le maximum d’Algériens pour faire hâter le départ de ce régime et de préparer les véritables conditions d’une transition pacifique».
«Le départ réclamé du Président ne signifie pas à lui seul un changement de système de gouvernance», estiment-ils, ajoutant que «l’Algérie a besoin de réformes politiques et institutionnelles de grande ampleur». Et c’est pour ce, qu’ils défendent l’idée selon laquelle «les élections présidentielles de 2019, bien que cruciales, ne peuvent-être qu’une étape».
«C’est à l’issu de cette épreuve que s’établiront les nouveaux rapports de force qui pèseront sur l’avenir du pays», ont-ils encore souligné dans le même communiqué.
La mission que ce fixe ce nouveau mouvement ne se résume donc pas à essayer de mobiliser la population contre un cinquième mandat de Bouteflika, mais plutôt à accompagner le pays dans sa transition vers un modèle démocratique.
Rappelons que ce mouvement composé de personnalité de premier plan à l’image de Zoubida Assoul, présidente de l’Union pour le changement et le progrès (UCP), Fatiha Benabbou, universitaire et constitutionnaliste, Ahmed Benbitour, ancien chef du gouvernement, Ali Benouari, président de Nida El-Watan, Soufiane Djilali, président de Jil Jadid, Nacer Djabi, universitaire et sociologue et Yasmina Khadra, écrivain, ont adressé une lettre ouverte dans laquelle il ont demandé au président Bouteflika de ne pas briguer un cinquième mandat.
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