L’instauration d’une TVA de 19% sur l’importation des kits CKD/SKD dans la loi de finances complémentaire 2018 commence à faire des remous. Le premier à se rebeller est Renault Algérie qui dénonce une violation des accords signés en 2012.
Le partenaire français au sein de la maison Renault Algérie commence à déployer son réseau d’influence. L’objectif : Convaincre le gouvernement de revenir sur sa décision d’instaurer une TVA de 19% sur l’importation des kits CKD/SKD.
Selon El Bilad.net, la partie française exerce des pressions sur le Conseil national de l’investissement et Société nationale des véhicules industriels qui sont ses partenaires dans ce projet. Les Français soutiennent que la mesure prise par le gouvernement s’inscrit en violation des termes de l’accord signé en 2012, cédant gracieusement une exemption de la TVA jusqu’en 2020.
El Bilad souligne que cet accord allait être renégocié en 2019 afin de faire prolonger les privilèges de Renault Algérie de cinq ans.
Rappelons qu’une enquête a été menée récemment par le ministère de l’Industrie à propos des prix pratiqués par ces usines. L’enquête a révélé un scandale retentissant. Ainsi, ces usines de montage, dont Renault Algérie, répercutaient la TVA sur le prix des voitures écoulées. Pourtant, la compagnie le reconnait volontiers, elle est exemptée de taxes jusqu’en 2020 !
Algérie Focus
Le partenaire français au sein de la maison Renault Algérie commence à déployer son réseau d’influence. L’objectif : Convaincre le gouvernement de revenir sur sa décision d’instaurer une TVA de 19% sur l’importation des kits CKD/SKD.
Selon El Bilad.net, la partie française exerce des pressions sur le Conseil national de l’investissement et Société nationale des véhicules industriels qui sont ses partenaires dans ce projet. Les Français soutiennent que la mesure prise par le gouvernement s’inscrit en violation des termes de l’accord signé en 2012, cédant gracieusement une exemption de la TVA jusqu’en 2020.
El Bilad souligne que cet accord allait être renégocié en 2019 afin de faire prolonger les privilèges de Renault Algérie de cinq ans.
Rappelons qu’une enquête a été menée récemment par le ministère de l’Industrie à propos des prix pratiqués par ces usines. L’enquête a révélé un scandale retentissant. Ainsi, ces usines de montage, dont Renault Algérie, répercutaient la TVA sur le prix des voitures écoulées. Pourtant, la compagnie le reconnait volontiers, elle est exemptée de taxes jusqu’en 2020 !
Algérie Focus
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