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Le socialisme échoue partout dans le monde

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  • Le socialisme échoue partout dans le monde

    Venezuela, Angola, Brésil : partout le socialisme a été une catastrophe.


    Les idéologues ferment les yeux sur la réalité. Toujours et partout dans le monde, les socialismes ont été des échecs. Pire, ils ont trahi leurs promesses et leurs électeurs en appauvrissant la société au profit d’une petite caste corrompue. Ce fut le cas en URSS et dans ses satellites. Ça l’est à Cuba, en Corée du nord, au Venezuela… En Chine, la corruption a été le moteur vicié d’une économie incestueuse entre l’État, le Parti et les entreprises privées. C’est pourquoi la Chine est le pays au monde où le parlement compte le plus de milliardaires et de millionnaires.

    UNE SEULE IDÉOLOGIE SOCIALISTE ET DEUX ÉCHECS : ANGOLA ET BRÉSIL
    C’est encore le cas en Angola, dont 36,6% de la population était en dessous du seuil de pauvreté il y a dix ans et où le PIB par habitant ne décolle pas (de 5978 en 2008 à 5984 en 2016). Il est vrai que l’Angola est le parangon du communisme corrompu. José Eduardo dos Santos, formé en URSS et soviétique bon teint, a été désigné président du parti majoritaire, le MPLA, et de l’État angolais le 10 septembre 1979 et a régné sur ce pays sans partage jusqu’en 2017.

    Sa fille Isabel dos Santos est la femme la plus riche d’Afrique après avoir dirigé longtemps la Sonagol, la compagnie pétrolière du pays. Son fils Filomeno était dirigeant du fonds souverain doté de 5 milliards de dollars jusqu’à sa révocation et son inculpation pour détournement de 500 millions. Ses deux autres enfants bénéficiaient de contrats publics avantageux. Heureusement tous ont été suspendus cette année après le départ de leur père d’un pouvoir qu’il avait confisqué si longtemps.

    L’expérience brésilienne de ces quinze dernières années en est une autre illustration. Le 27 octobre 2002, l’ancien syndicaliste de gauche Luiz Inácio Lula da Silva remportait l’élection présidentielle en proposant un programme pour sortir les Brésiliens de la pauvreté. Mais au-delà de ses premières années de règne, la pauvreté a regagné le Brésil, en augmentation de 11,2% l’an dernier, et près de 15 millions de personnes vivent désormais avec moins de 1,90 $ par jour.

    Les données publiées par l’Institut brésilien de géographie et de statistique (IBGE) montrent qu’en 2017 plus de cinquante millions de Brésiliens, soit près de 25% de la population, sont en dessous du seuil de pauvreté et ont un revenu familial de 387,07 R$ par mois – environ 5,50 $US par jour.

    Le PIB par habitant stagne, de 13 806$ en 2008 à 14 023$ en 2016 (en PPA internationaux constants 2011 calculés par la Banque mondiale comme pour l’Angola ci-dessus). Le scandale Odebrecht a ravagé ce pays en gangrenant un grand nombre de ses politiciens, notamment à gauche. Dilma Roussef puis Michel Temer, qui ont succédé à Lula, ont été touchés. Mais celui-ci croupit désormais en prison aussi pour d’autres motifs de corruption.

    Comme le remarquait déjà au siècle dernier Lord Acton, dont les Belles Lettres ont eu l’heureuse idée de publier en français trois conférences (Le pouvoir corrompt, Les Belles Lettres, 2018, 134 pages)

    Le pouvoir corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument.

    Quand les hommes politiques s’arrogent tous les pouvoirs, leur tendance est toujours de vouloir le conserver ; quand ils collectivisent l’économie, la tentation est toujours de la mettre en coupe réglée au service de leur enrichissement personnel. C’est pourquoi il faut des checks and balances, des contrepouvoirs, une répartition du pouvoir et un équilibre entre les pouvoirs, ce que le socialisme récuse, qui veut le pouvoir unique du parti.

    LE SOCIALISME EST NATURELLEMENT ET INEXORABLEMENT VOUÉ À SE DÉLITER
    Lorsque le nombre de fonctionnaires croît, la probabilité est grande que les cas de concussion augmentent parallèlement mais de manière exponentielle. Car plus il faut obtenir d’accords politiques, de tampons administratifs, de délibérations favorables… pour obtenir une décision, plus le risque est grand que ces innombrables maillons d’une chaîne obscure de décisions soient approchés et soudoyés, surtout quand il est à peu près certain qu’à défaut la décision sera négative.

    Le phénomène est renforcé quand il est pratiqué à une large échelle et que le système ne saurait être dénoncé puisque chacun tient les autres ! Il existe aussi de la corruption et de la fraude dans les entreprises privées, mais beaucoup moins parce que ces entreprises ont un intérêt personnel à contrôler et empêcher ces déviances.

    Plus encore peut-être, la corruption envahit les sociétés où la liberté est jugulée parce qu’elle en devient le substitut honteux et pernicieux, le mode dégradé d’expression de l’initiative et de la volonté de faire qui demeurent au cœur de chaque homme et particulièrement des plus hardis.

    C’est pourquoi le socialisme est naturellement et inexorablement voué à se déliter en mode dépravé. Mais la dégradation peut être lente et ses effets durables comme en sont atteints encore aujourd’hui certains pays pervertis par des décennies de concussion communiste, tels la Roumanie ou la Bulgarie. Il est plus facile de détruire le vivier pour en faire une bouillabaisse que de recomposer le vivier à partir de la bouillabaisse sur les cendres du socialisme vaincu.

    contrepoints

  • #2
    Grâce au socialisme, l'URSS est devenue, en quelques années, la deuxième puissance mondiale. Sans la contribution fondamentale de l'URSS, le nazisme aurait conquis le monde entier.

    En URSS, le socialisme n'a pas échoué, bien au contraire, il nous a montré sa supériorité sur le capitalisme à résoudre les problèmes économiques principaux créés par le capitalisme qui sont le chômage, la pauvreté, la crise du logement, la santé pour tous, etc...

    En URSS, le socialisme a été renversé de l'intérieur par les alliés du capitalisme.

    "LE PROCESSUS DE RESTAURATION
    DU CAPITALISME EN URSS APRES LA PRISE DU POUVOIR
    PAR LES REVISIONNISTES KHROUCHTCHEVIENS"

    un livre écrit par Bill Bland

    Ce texte du camarade Bill BLAND a été publié en 1991 dans le
    journal COMPASS de la Ligue Communiste Marxiste Léniniste de Grande
    Bretagne.

    Il y démonte le mécanisme de la restauration du capitalisme en URSS qui,
    contrairement à certaines opinions encore répandues dans le mouvement
    se réclamant du communisme en France, n’a pas commencé dans les
    années 1990 avec Gorbatchev mais dès les années 1960 après la mort de
    Staline et la prise du pouvoir par les révisionnistes khrouchtchéviens.

    Ce fut une véritable contre révolution politique 1 qui ouvrit la période de
    transition du socialisme au capitalisme qui s’acheva par le retour à la
    forme « classique » du capitalisme avec la fin de l’URSS.

    A partir de documents écrits par les économistes soviétiques chargés de
    mettre en œuvre la « réforme économique » et ceux du Parti Communiste
    il démontre comment ils ont ouvert la boite de pandore et donné libre
    cours aux lois fondamentales du capitalisme.

    On y voit le profit, le marché, l’offre et la demande dominer la vie économique. On y voit la formation de la bourgeoisie capitaliste, l’exploitation du prolétariat, le chômage se développer.

    Bill BLAND tire les conclusions qui s’imposent, le prolétariat ayant perdu le
    pouvoir politique : l’Etat soviétique est devenu dans son essence un Etat
    bourgeois, le Parti communiste le Parti de la nouvelle bourgeoisie et ce,
    même s’ils conservent encore un certain temps les apparences de l’Etat
    et du parti prolétarien.

    l’Union Soviétique ne s’est jamais effondrée. Elle a été démantelée depuis en haut par les dirigeants du Parti communiste d’Union Soviétique (PCUS), qui ont décidé que la nomenklatura découperait le « gâteau » soviétique en 15 parts plus petites. Ce qui est arrivé ensuite n’était rien d’autre que le résultat d’une lutte interne entre ces factions. Puisque personne n’a jamais autorisé ces bandes d’apparatchiks du parti à dissoudre l’URSS ou, en fait, à la réformer d’une manière ou d’une autre, leurs actions ne peuvent être qualifiées que de coup d’État complètement illégal. Tous, à commencer par les bandes de Gorbatchev et de Eltsine, étaient des traîtres à leur parti, à leur peuple et à leur pays. Quant au peuple, on ne lui a donné qu’une fois le droit d’exprimer son opinion, le 17 mars 1991, où un énorme 77.85% a voté pour maintenir « l’URSS comme une fédération renouvelée de républiques également souveraines dans lesquelles les droits et la liberté de tout individu, quelle que soit sa nationalité, sera pleinement garantie ».
    Dernière modification par Elghifari, 15 juin 2018, 04h53.

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    • #3
      @Bezef78

      Allah aime le socialisme ?
      Les principes économiques du socialisme marxiste sont identiques à ceux de l'Islam. Donc, "Allah aime le socialisme" !!

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      • #4
        En France en 1981, les socialistes aidés par les communistes ont pris le pouvoir, 14 années de gestion déplorable!
        Aujourd'hui, les Français doivent se serrer la ceinture pour rembourser les dettes socialistes!
        Les deux grands fléaux sont le socialisme et la religion et le pire c'est un pays ou les deux sont au pouvoir!!! Suivez mon regard.
        Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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        • #5
          L'athéisme est une négation de Dieu, et par cette négation, il pose l'existence de l'homme.
          la religion c'est l'opium du poulpe

          vladimir ilitch lénine



          comme quoi les juifs ne sont pas tous sionistes ni chiites :=)
          Dernière modification par tawenza, 17 juin 2018, 09h05.

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          • #6
            haddou le libre échange aussi a partout échoué

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            • #7
              Théoriquement le socialisme est bon mais pour son application ,il est contre la liberté individuelle qui est le propre de l'homme ,c'est ce qui l'a fait échoué

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              • #8
                le libéralisme se fiche pas mal de l'égalité, de la communauté et des libertés collectives, c pour cela qu'il a échoué.

                les Hommes on besoin d'être libres et égaux

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                • #9
                  les Hommes on besoin d'être libres et égaux
                  Ca n'existe pas même dans les pays nordiques, il y aura toujours des riches et des pauvres, il y aura toujours des cerveaux brillants et des cerveaux endormis.
                  Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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                  • #10
                    sacré chouan
                    soyez réalistes demandez l'impossible
                    c la nature de l'Homme

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                    • #11
                      il y aura toujours des cerveaux brillants et des cerveaux endormis.
                      le cerveau de l'Homme n'est pas plus libre qu'il est égal oeilfermé

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                      • #12
                        @haddou

                        Théoriquement le socialisme est bon mais pour son application ,il est contre la liberté individuelle qui est le propre de l'homme ,c'est ce qui l'a fait échoué
                        Le capitalisme a lamentablement échoué : nos sociétés au nord comme au sud souffrent de chômage, de suicides, de sous-développement chronique, d'inégalités scandaleuses, de guerres "terroristes" capitalistes qui massacrent des milliers de gens, de recul, au nord, des acquis socio-économiques des travailleurs gagnés de hautes luttes, d'agressions du capitalisme contre des pays souverains, etc... tout cela n'a pas existé sous le socialisme.
                        L'échec est bel et bien celui du capitalisme et non pas du socialisme.

                        La propagande capitaliste veut cacher ses échecs en les attribuant aux autres.

                        Pourquoi Cuba est sous blocus par le capitalisme US depuis plus de 50 années si ce n'est la peur de ce dernier du socialisme cubain et de son extension au reste du monde ?
                        Dernière modification par Elghifari, 17 juin 2018, 16h00.

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