Voici une première lueur d'espoir, toute petite mais tout de même encourageante. Je note, en particulier, la grande sensiblité des opérateurs industriels algériens qui ont su mesurer la part des choses, entre les IDE et l'auto-invesstissement...
Espérons que ces premières recommandations soient appliquées convenablement sur le terrain.
Dossier à suivre de très près, et il serait dommage de laisser passer l'occasion tant que l'argent "fait nenni" dans les coffres.
Espérons que ces premières recommandations soient appliquées convenablement sur le terrain.
Le ministre des Participations n’a pas caché sa satisfaction à l’issue des travaux des Assises nationales de l'industrie, ouvertes lundi dernier au Palais des nations à Alger, et qui se sont achevées hier dans la soirée sur une série de recommandations devant servir de plate-forme à une stratégie industrielle pour les 10 à 15 prochaines années. “Ces assises ont dépassé toutes nos attentes, avec la participation de 900 personnes parmi elles plus de 600 ont travaillé au niveau des commissions pendant trois jours d’affilée”, a souligné Temmar lors d’une conférence. Trois jours au
cours desquels des opérateurs économiques, des syndicalistes, des économistes ont débattu “parfois avec patience” de l’entreprises algérienne et de son environnement.
Sur la question des investissements étrangers, le ministre des Participations prend à témoin les journalistes sur le fait que ce sont les hommes d’affaires eux-mêmes qui les réclament. “S’ils sont partie prenante dans la mobilisation des IDE et que ces derniers ne viennent pas ainsi envahir, s’installer et engendrer un phénomène d’expulsion des entreprises nationales”. Hamid Temmar rappelle que dans le rapport qu’il a présenté, il a été indiqué que faire appel à l’investissement direct étranger sans qu’il y ait une intensification du tissu industriel, notamment privé, serait une grande erreur. “On ne peut pas penser à l’investissement direct étranger sans que, par ailleurs, nous ne puissions renforcer nos entreprises, par le code d’investissement mais surtout par un grand programme de mise à niveau que nous souhaitons mettre en œuvre”, explique le ministre des Participations et de la Promotion des investissements. Le ministre estime que la plate-forme proposée, qualifiée de “cohérente” a quelque peu facilité les débats. M. Temmar, sans avancer de montant, affirme qu’une première estimation du coût de cette stratégie a été élaborée, estimant que celui-ci “pouvait être bouleversé par les propositions des assises”.
Dans les trois semaines au plus tard, l’évaluation sera faite, précisant “qu’il y a des actions qui seront prises en charge par l’État, d’autres sont l’affaire de l’entreprise”.
cours desquels des opérateurs économiques, des syndicalistes, des économistes ont débattu “parfois avec patience” de l’entreprises algérienne et de son environnement.
Sur la question des investissements étrangers, le ministre des Participations prend à témoin les journalistes sur le fait que ce sont les hommes d’affaires eux-mêmes qui les réclament. “S’ils sont partie prenante dans la mobilisation des IDE et que ces derniers ne viennent pas ainsi envahir, s’installer et engendrer un phénomène d’expulsion des entreprises nationales”. Hamid Temmar rappelle que dans le rapport qu’il a présenté, il a été indiqué que faire appel à l’investissement direct étranger sans qu’il y ait une intensification du tissu industriel, notamment privé, serait une grande erreur. “On ne peut pas penser à l’investissement direct étranger sans que, par ailleurs, nous ne puissions renforcer nos entreprises, par le code d’investissement mais surtout par un grand programme de mise à niveau que nous souhaitons mettre en œuvre”, explique le ministre des Participations et de la Promotion des investissements. Le ministre estime que la plate-forme proposée, qualifiée de “cohérente” a quelque peu facilité les débats. M. Temmar, sans avancer de montant, affirme qu’une première estimation du coût de cette stratégie a été élaborée, estimant que celui-ci “pouvait être bouleversé par les propositions des assises”.
Dans les trois semaines au plus tard, l’évaluation sera faite, précisant “qu’il y a des actions qui seront prises en charge par l’État, d’autres sont l’affaire de l’entreprise”.
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