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Vidéo. Polisario: nouvelles protestations devant la maison de Brahim Ghali Par Abdelkader El-Aine le 17/06/2018 à 10h18

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  • Vidéo. Polisario: nouvelles protestations devant la maison de Brahim Ghali Par Abdelkader El-Aine le 17/06/2018 à 10h18

    Vidéo. Polisario: nouvelles protestations devant la maison de Brahim Ghali

    Par Abdelkader El-Aine le 17/06/2018 à 10h18 (mise à jour le 17/06/2018 à 10h36)

    Des dizaines de Sahraouis dans les camps de Tindouf ont protesté énergiquement, hier samedi 16 juin, devant la maison de Brahim Ghali, chef du Polisario. Demandant une enquête sur l’assassinat d’un opposant, ils ont essuyé des tirs de milices armées.

    Un nouveau soulèvement dans les camps de Tindouf. Des dizaines de Sahraouis se dont dirigés, samedi, vers la maison du chef du Polisario, Brahim Ghali. Ils scandaient des slogans hostiles à la direction du front séparatiste et demandaient la vérité sur l’assassinat d’un activiste politique du Mouvement du 5 mars.

    Selon des témoins sur place, les milices polisariennes ont eu recours à des balles réelles pour disperser les protestataires, encerclant la maison de Brahim Ghali. Ce dernier aurait fui par la porte de derrière.




    La famille de l’opposant sahraoui affirme détenir des preuves sur l’assassinat de son fils à la prison de Dheibya, crime que la direction du Polisario a maquillé en suicide.

    La tribu Yagout à laquelle appartient le défunt avait adressé une lettre au secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, demandant que les responsables de ce crime soient déférés devant la Cour pénale internationale à La Haye.


    https://youtu.be/Lf41WBxiC3A

  • #2
    Le courage n'est pas une vertu chez les serviles des caporaux Brahime elghali qui se sauve par la porte du derrière.
    Des escrocs des allocations doublé d'assassins.

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    • #3
      Donc, les Sahraouis sont autorisés à se révolter devant la résidence de leur Président, ce qui serait impossible pour les Marocains envers le narcotrafiquant et addictif à la coke M6?

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      • #4
        @ANZOUL

        Une vidéo-toc ..
        N a rien a voir avec le titre ??

        Fakou
        , il ne reste au Maroc que la propagande à deux sous pour pleurnicher ...???
        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

        Commentaire


        • #5
          Avec internet ils ne peuvent plus cacher leurs méfaits les escrocs,professionnels des détournements des aides au détriments de leur population.
          Tu m'étonne que les cadres se sauvent de l'enfer de Tindouf comme Mohamed Hassana Abdelwaheb.

          Commentaire


          • #6
            FAKOU dans les camps les fausses promesses ils n'ont veulent plus.
            Les escrocs trafiquants de la cocaïne el ghali et sa bande sont perdu.

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            • #7
              Ils scandaient des slogans hostiles à la direction du front séparatiste et demandaient la vérité sur l’assassinat d’un activiste politique
              Où ça ? Rien vu dans cette vidéo.

              les milices polisariennes ont eu recours à des balles réelles pour disperser les protestataires
              C'est le titre même de cette vidéo. On attend toujours de voir.

              Brahim Ghali. Ce dernier aurait fui par la porte de derrière.
              Bon là, l'auteur de cette tartufferie, qui doit être un accro à des séries B de mauvais goût, a probablement forcé sur sa dose quotidienne de teuchi !

              Allah ychafi w safi...
              Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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              • #8
                @ANZOUL



                Je lavais dit ; pendant "" ces (6 ) mois décrété par l ONU "" qu on va lire que la propagande marocaine : MAP et le 360.ma ???
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                Commentaire


                • #9
                  Brahim Ghali. Ce dernier aurait fui par la porte de derrière.
                  Pour être plus crédible le scénario devait être comme suit:

                  Après avoir quitter avec précipitation son tepee, Brahim Ghali le grand sachem de la tribu des indiens sahraouis enjamba, dans mouvement acrobatique, son mustang pour aller, au triple galop, se réfugier dans les Rocheuses (l'Erg) ; par lâcheté celui-ci abandonna dans sa fuite squaw et papoose.
                  ثروة الشعب في سكانه ’المحبين للعمل’المتقنين له و المبدعين فيه. ابن خلدون

                  Commentaire


                  • #10
                    Envoyé par delci Voir le message
                    Pour être plus crédible le scénario devait être comme suit:

                    Après avoir quitter avec précipitation son tepee, Brahim Ghali le grand sachem de la tribu des indiens sahraouis enjamba, dans mouvement acrobatique, son mustang pour aller, au triple galop, se réfugier dans les Rocheuses (l'Erg) ; par lâcheté celui-ci abandonna dans sa fuite squaw et papoose.
                    ton scénario n'est pas aussi incrédible que tu le suggères ...

                    Commentaire


                    • #11
                      laissons Jhon Bolton faire son travail:

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                      • #12
                        laissons Horst Köhler

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                        • #13
                          Tindouf: la mort suspecte d'un opposant du Polisario suscite l'émoi

                          Par
                          Hassan Manyani -

                          17 juin 2018 à 13:00





                          L’opposant sahraouie Brahim Ould Salek Ould Breika, 30 ans, est mort dans des conditions suspectes dans la prison D'Heibya, située à proximité de Rabouni, en Algérie.

                          Dans des enregistrements relayés par de nombreux médias, un proche parent de Brahim Ould Salek Ould Breika raconte que, après son assassinat par les «gendarmes» du Polisario, les geôliers de la prison D'Heibya ont appelé sa famille pour les informer qu'il s’est suicidé dans sa cellule.
                          Pour ce proche parent de la victime, ce n'est pas la première fois que des responsables séparatistes assassinent leurs prisonniers et prétendent qu'ils se sont suicidés. Dans le cas de Brahim, il se demande comment un détenu attaché à une chaise avec ses pieds et ses mains attachés peut réussir à se pendre.

                          Ces mêmes sécuritaires du Polisario sont soupçonnés d'avoir torturé à mort Ahmed Ould Mohamed Radi, affirmant qu'il s'était pendu avec les fils d'un ventilateur.
                          A la suite de ce nouveau décès, l'Association sahraouie pour la défense des droits de l'Homme (ASDDH) a dénoncé, dans un communiqué, les "pratiques barbares de torture que les dirigeants du Polisario et les tortionnaires infligent aux détenus sahraouis et les prisonniers de guerre marocains, dont certains ont été tués".
                          La ASDDH demande l'ouverture d'une enquête indépendante pour porter la lumière sur les conditions de détention dans les prisons du Polisario et sur les circonstances exactes de l'assassinat de Brahim Ould Breika.
                          Des dizaines de Sahraouis ont également manifesté, samedi, dans les camps de Tindouf pour réclamer la vérité sur la mort de Ould Breika.
                          Ould Breika était un opposant à la direction du Polisario et un membre très actif du mouvement du 5 mars et du mouvement des jeunes pour le changement dans les camps de Tindouf, a indiqué l'association.
                          h24

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                          • #14
                            Depuis trois jours, des dizaines de Sahraouis manifestent devant le camp Rabouni, le siège de l’administration du Polisario. Issus de la tribu des Teknas, ils réclament la vérité sur les circonstances de la mort de l’un des leurs, Brahim Ould Salek Ould Breika, un jeune commerçant, dans sa cellule à la prison de Dhaibia.
                            Officiellement, la direction du Front a avancé la thèse du «suicide» comme cause du décès. Une version qui n’a pas convaincu la famille de la victime qui réclame une autopsie, arguant que leur fils aurait succombé à la torture.
                            En janvier dernier, le Polisario avait également prétendu qu’un autre Sahraoui, Ahmed Mohamed Radi, s’était pendu dans sa cellule.
                            Le père de Brahim Ould Salek Ould Breika et sa femme vivent à Laâyoune. Les enfants de la tribu des Teknas sont marginalisés par le Front. La contrebande est la seule voie qui leur reste pour survivre.

                            ya biladil

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                            • #15
                              Tindouf: Des Sahraouis manifestent à Rabbouni contre la mort suspecte d’un opposant du Polisario

                              Plus d’une centaine de Sahraouis des camps de Tindouf ont fait ce samedi 16 juin, une descente dans le camp de Rabouni, pour exiger une enquête sur la mort suspecte dans la prison DHeibya, de l’opposant sahraoui Brahim Ould Salek Ould Breika, 30 ans, qui aurait été torturé jusqu’à la mort par les miliciens du Polisario.
                              Les manifestants très remontés, comme le montre une vidéo relayée par plusieurs médias , s’étaient rassemblés en face du domicile du chef du Front Polisario, Brahim Ghali avant d’être forcés de décamper suite à une intervention musclée des miliciens armés du Front qui ont fait usage de leurs armes en tirant en l’air plusieurs coups de feu pour ensuite disperser à coup de matraques, les protestataires.
                              Les manifestants sahraouis qui mettent en doute la version du suicide avancée par les tortionnaires de la prison Dheibya située à Rabouni, exigent l’ouverture d’une enquête indépendante pour élucider les circonstances exactes de la mort de Salek Ould Breika, un militant très actif du Mouvement du 5 mars.
                              La famille de l’opposant sahraoui issu de la tribu Yagout, affirme détenir des preuves sur l’assassinat le samedi 13 janvier dernier de son fils à la prison de Dheibya, contrairement à la thèse du suicide avancée par la direction du Polisario.
                              La famille de Salek Ould Breika qui avait également exigé une autopsie avant de l’enterrer trois jours après son décès, a adressé par ailleurs, une lettre à ce sujet au secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, demandant que les responsables de ce crime soient déférés devant la Cour pénale internationale à La Haye.
                              Breika qui purgeait une peine carcérale pour sa présumée « appartenance à une bande de malfaiteurs spécialisée dans le vol», se serait pendu à l’aide du «fil d’un climatiseur de la cellule individuelle», selon ses geôliers.
                              Sauf que selon les témoins sur place, les cellules de la prison Dheibya ne sont pas équipées de climatiseurs contrairement aux allégations des dirigeants du Polisario. En plus les proches de Breika se demandent comment un détenu attaché à une chaise avec les pieds et les mains ligotés peut-il réussir à se pendre ?
                              D’ailleurs, ce n’est pas la première fois que les tortionnaires du Polisario assassinent des prisonniers et prétendent qu’ils se sont suicidés comme se fût le cas d’un autre opposant Ahmed Ould Mohamed Radi, qui lui aussi, avait été torturé jusqu’à mort s’en suive dans sa cellule, alors que ses geôliers affirmaient qu’il s’était pendu lui aussi, avec les fils d’un ventilateur.


                              droits-humains.org

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