Drôle de conte d'une épopée si lointaine. En tout état de cause cela n'est pas la version de feu ABB ( Ahmed Ben Bella).
- Se croyant rusé jusqu’au bout des ongles, il a laissé “el âassima” entre les mains d’un "quarteron de putschistes à la manœuvre" !
Il y a exactement 53 ans jour pour jour -le 17 juin 1965- la sélection Auriverde arrivait à Oran, auréolée -trois ans plus tôt- d’une couronne mondiale glanée de fort belle manière à Santiago du Chili.
En chef de file de la Seleçao foulant le tarmac de l’aéroport de Senia, le Roi Pelé mais aussi le “damné de la terre” Garrincha, l’artisan du sacre de 1962 en l’absence de Pelé blessé dès le 2e match contre la Tchécoslovaquie. Passionné du ″Noble art″ et du foot, Ben Bella a porté, une petite saison, le maillot de l’Olympique de Marseille.
En dépit d’une relation en chute libre avec son ministre de la Défense et sa garde rapprochée de la ″bande à Oujda″, le Raïs ne résiste pas à l’envie d’un aller-retour au stade d’Oran. Il n’a pas peur de s’éloigner d’Alger qu’il avait conquise au soir de l’été 1962 sur fond de luttes fratricides entre “frères d’armes” et sur fond de “sabâa s’nine barakat”, sept ans ça suffit.
Depuis la victoire du ″Groupe de Tlemcen (Bureau politique/état-major) en septembre 1962, la ″Mecque des révolutionnaires″ est habituée à recevoir les icones anti-impérialistes, anti-Apartheid ou des figures rétives à la tutelle soviétique : Che Guevara, Josip Broz Tito, Mandela, entre autres. Mais le séjour de sa Majesté Pelé tient de l’opportunité qui ne se renouvelle pas souvent.
Pour H”mimed Ben Bella, une affiche pareille vaut le déplacement et mérite un cliché mémorable, consultable sur la Toile : le Raïs encadré par la Légende du foot et Garrincha-.
All Maghreb
- Se croyant rusé jusqu’au bout des ongles, il a laissé “el âassima” entre les mains d’un "quarteron de putschistes à la manœuvre" !
Il y a exactement 53 ans jour pour jour -le 17 juin 1965- la sélection Auriverde arrivait à Oran, auréolée -trois ans plus tôt- d’une couronne mondiale glanée de fort belle manière à Santiago du Chili.
En chef de file de la Seleçao foulant le tarmac de l’aéroport de Senia, le Roi Pelé mais aussi le “damné de la terre” Garrincha, l’artisan du sacre de 1962 en l’absence de Pelé blessé dès le 2e match contre la Tchécoslovaquie. Passionné du ″Noble art″ et du foot, Ben Bella a porté, une petite saison, le maillot de l’Olympique de Marseille.
En dépit d’une relation en chute libre avec son ministre de la Défense et sa garde rapprochée de la ″bande à Oujda″, le Raïs ne résiste pas à l’envie d’un aller-retour au stade d’Oran. Il n’a pas peur de s’éloigner d’Alger qu’il avait conquise au soir de l’été 1962 sur fond de luttes fratricides entre “frères d’armes” et sur fond de “sabâa s’nine barakat”, sept ans ça suffit.
Depuis la victoire du ″Groupe de Tlemcen (Bureau politique/état-major) en septembre 1962, la ″Mecque des révolutionnaires″ est habituée à recevoir les icones anti-impérialistes, anti-Apartheid ou des figures rétives à la tutelle soviétique : Che Guevara, Josip Broz Tito, Mandela, entre autres. Mais le séjour de sa Majesté Pelé tient de l’opportunité qui ne se renouvelle pas souvent.
Pour H”mimed Ben Bella, une affiche pareille vaut le déplacement et mérite un cliché mémorable, consultable sur la Toile : le Raïs encadré par la Légende du foot et Garrincha-.
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