>Sports>Coupe du monde 2018|S.N.| 19 juin 2018, 7h22 |0
De gauche à droite, Wilmar Barrios, James Rodriguez, Carlos Bacca et Radamel Falcao, à l’entraînement à Kazan lundi (Russie). AFP/Luis Costa
Dans l’un des groupes les plus incertains du Mondial russe, la Colombie et le Japon se retrouvent ce mardi à 17 heures.
Le hasard a de nouveau placé la Colombie et le Japon dans le même groupe au premier tour de la Coupe du monde. En 2014, les Sud-Américains n’avaient fait qu’une bouchée des Nippons (4-1). Une raison de plus pour regarder le match à 17 heures ce mardi (beIN SPORT).
Parce que Falcao va enfin disputer la Coupe du monde
C’est l’une des anomalies du football moderne : le meilleur buteur de l’histoire de la Colombie n’a pas encore joué un match en Coupe du monde. Radamel Falcao (29 buts, 73 sélections) va donc découvrir la grande compétition ce mardi.
En 2010, sa sélection n’était pas qualifiée pour l’Afrique du Sud. En 2014, le 2 juin précisément, son sélectionneur José Pekerman annonçait le forfait du « Tigre », victime d’une rupture du ligament croisé antérieur du genou gauche cinq mois plus tôt lors d’un match de Coupe de France contre Chasselay, modeste équipe de CFA.
Parce que la Colombie est ambitieuse
Quart-de-finalistes en 2014, éliminés par l’hôte brésilien (1-2), les « Cafeteros » se sont fixé comme objectif « de faire mieux » cette année en Russie. Un programme ambitieux pour une sélection qui a eu bien du mal à se qualifier pour ce Mondial (4e des qualifications, une place obtenue lors de la dernière journée).
Mais les atouts colombiens sont bien là : Cuadrado (Juventus), Bacca (Villarreal), Falcao (Monaco), Muriel (Séville) et, bien sûr, James Rodriguez (Bayern Munich), meilleur buteur de l’édition 2014 (6 buts).
Parce que le Japon a tout changé
Si José Pekerman est le sélectionneur de la Colombie depuis 2012, Akira Nishino n’occupe le poste au Japon que depuis quelques semaines. Vahid Halilhodzic, qui a qualifié la sélection nippone pour ce Mondial, a été licencié début avril et remplacé au pied levé.
« On ne s’éternise pas là-dessus mais c’était une situation un peu difficile », concède le capitaine Makoto Hasebe. Selon l’ancien sélectionneur Philippe Troussier, qui avait conduit le Japon en 8es de finale de « son » Mondial en 2002, les Asiatiques n’ont « aucune chance sur le papier » dans un groupe H où la Colombie, le Sénégal et la Pologne semblent au-dessus.
De gauche à droite, Wilmar Barrios, James Rodriguez, Carlos Bacca et Radamel Falcao, à l’entraînement à Kazan lundi (Russie). AFP/Luis Costa
Dans l’un des groupes les plus incertains du Mondial russe, la Colombie et le Japon se retrouvent ce mardi à 17 heures.
Le hasard a de nouveau placé la Colombie et le Japon dans le même groupe au premier tour de la Coupe du monde. En 2014, les Sud-Américains n’avaient fait qu’une bouchée des Nippons (4-1). Une raison de plus pour regarder le match à 17 heures ce mardi (beIN SPORT).
Parce que Falcao va enfin disputer la Coupe du monde
C’est l’une des anomalies du football moderne : le meilleur buteur de l’histoire de la Colombie n’a pas encore joué un match en Coupe du monde. Radamel Falcao (29 buts, 73 sélections) va donc découvrir la grande compétition ce mardi.
En 2010, sa sélection n’était pas qualifiée pour l’Afrique du Sud. En 2014, le 2 juin précisément, son sélectionneur José Pekerman annonçait le forfait du « Tigre », victime d’une rupture du ligament croisé antérieur du genou gauche cinq mois plus tôt lors d’un match de Coupe de France contre Chasselay, modeste équipe de CFA.
Parce que la Colombie est ambitieuse
Quart-de-finalistes en 2014, éliminés par l’hôte brésilien (1-2), les « Cafeteros » se sont fixé comme objectif « de faire mieux » cette année en Russie. Un programme ambitieux pour une sélection qui a eu bien du mal à se qualifier pour ce Mondial (4e des qualifications, une place obtenue lors de la dernière journée).
Mais les atouts colombiens sont bien là : Cuadrado (Juventus), Bacca (Villarreal), Falcao (Monaco), Muriel (Séville) et, bien sûr, James Rodriguez (Bayern Munich), meilleur buteur de l’édition 2014 (6 buts).
Parce que le Japon a tout changé
Si José Pekerman est le sélectionneur de la Colombie depuis 2012, Akira Nishino n’occupe le poste au Japon que depuis quelques semaines. Vahid Halilhodzic, qui a qualifié la sélection nippone pour ce Mondial, a été licencié début avril et remplacé au pied levé.
« On ne s’éternise pas là-dessus mais c’était une situation un peu difficile », concède le capitaine Makoto Hasebe. Selon l’ancien sélectionneur Philippe Troussier, qui avait conduit le Japon en 8es de finale de « son » Mondial en 2002, les Asiatiques n’ont « aucune chance sur le papier » dans un groupe H où la Colombie, le Sénégal et la Pologne semblent au-dessus.
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