Un citoyen de la commune de Ghassoul, âgé de plus de cinquante ans et ex-secrétaire d’administration de l’APC, a été destinataire, ces jours-ci, de son acte de décès dûment établi et signé par l’adjoint au maire.
Relisant à plusieurs reprises cette pièce d’état civil qui comportait son nom et sa filiation, il a failli s’écrouler en constatant qu’il s’agissait bel et bien de son acte de décès, avec le cachet humide, portant sa date de décès le 09 du mois de février de l’année 2003, et les ennuis ne faisaient que commencer pour lui, depuis la date de réception de son acte de décès.
Expulsé manu-militari du logement de fonction qu’il occupait à Ghassoul par l’APC, après 29 années de bons et loyaux services, il se trouve au chômage mais vivant et en parfaite santé. Aussi drôle qu’invraisemblable, sa mésaventure lui a fait perdre son latin en nous expliquant, pièces justificatives à l’appui, qu’il est déclaré décédé mais vivant et entier, tout en s’inquiétant que son avenir est totalement compromis et qu’il risque d’être privé de tous ses droits civiques et sociaux, mais ne perdant jamais l’espoir d’être réhabilité dans la vie active puisqu’il a déposé une plainte dans ce sens auprès de la gendarmerie de Ghassoul et une enquête a été aussitôt ouverte pour identifier l’auteur de cette mise à mort virtuelle.
- Le Quotidien d'Oran
Relisant à plusieurs reprises cette pièce d’état civil qui comportait son nom et sa filiation, il a failli s’écrouler en constatant qu’il s’agissait bel et bien de son acte de décès, avec le cachet humide, portant sa date de décès le 09 du mois de février de l’année 2003, et les ennuis ne faisaient que commencer pour lui, depuis la date de réception de son acte de décès.
Expulsé manu-militari du logement de fonction qu’il occupait à Ghassoul par l’APC, après 29 années de bons et loyaux services, il se trouve au chômage mais vivant et en parfaite santé. Aussi drôle qu’invraisemblable, sa mésaventure lui a fait perdre son latin en nous expliquant, pièces justificatives à l’appui, qu’il est déclaré décédé mais vivant et entier, tout en s’inquiétant que son avenir est totalement compromis et qu’il risque d’être privé de tous ses droits civiques et sociaux, mais ne perdant jamais l’espoir d’être réhabilité dans la vie active puisqu’il a déposé une plainte dans ce sens auprès de la gendarmerie de Ghassoul et une enquête a été aussitôt ouverte pour identifier l’auteur de cette mise à mort virtuelle.
- Le Quotidien d'Oran
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