Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Guerre du Kippour en 1973 : engagement algérien, complot israélo-américain, trahison égyptienne

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Guerre du Kippour en 1973 : engagement algérien, complot israélo-américain, trahison égyptienne

    Le 7 octobre 1973, correspondant au 11e jour du mois de ramadhan, fut prise la décision d’envoyer 3.000 soldats algériens de la 8e BB pour participer à la guerre du Kippour déclenchée la veille par la coalition syro-égyptienne pour reconquérir les territoires occupés par Israël depuis la Guerre des six jours en 1967. L’Algérie ignorait alors le complot ourdi par les Etats-Unis et Israël, avec la complicité du président égyptien, également ministre des armées. Se basant sur un mémoire d’un ancien diplomate russe, un Israélien fait des révélations tonitruantes sur cette affaire.

    « J’ai récemment reçu à Moscou une chemise bleu-marine datée de 1975, qui contenait l’un des secrets les mieux gardés de la diplomatie du Moyen Orient et des USA. Le mémoire rédigé par l’ambassadeur soviétique au Caire Vladimir M. Vinogradov, apparemment le brouillon d’un rapport adressé au Politbureau soviétique décrit la guerre d’octobre 1973 comme un complot entre les dirigeants israéliens, américains et égyptiens, orchestré par Henry Kissinger », écrit Israël Shamir dans une tribune publiée en 2015.

    « Cette révélation va vous choquer, si vous êtes un lecteur égyptien. Moi qui suis un Israélien et qui ai combattu les Égyptiens dans la guerre de 1973, j’ai été choqué aussi, je me suis senti poignardé, et je reste terriblement excité par l’incroyable découverte. Pour un Américain cela pourra être (aussi) un choc », écrit-il.

    « A en croire le dit mémoire, Anouar al Sadate, qui cumulait les titres de Président, Premier ministre et commandant en chef des armées, avait conspiré de concert avec les Israéliens, avait trahi la Syrie son alliée, condamné l’armée syrienne à sa perte, et Damas à se retrouver bombardée, avait permis aux tanks de Sharon de s’engager sans danger sur la rive occidentale du Canal de Suez, et en fait, avait tout simplement planifié la défaite des troupes égyptiennes dans la guerre d’octobre 1973 », ajoute-t-il.

    « Les soldats égyptiens et officiers se battirent bravement et avec succès contre l’armée israélienne -trop bien, même, au goût de Sadate, puisqu’il avait déclenché la guerre pour permettre aux USA de faire leur retour au Moyen Orient. Tout ce qu’il réussit à faire à Camp David, il aurait pu l’obtenir sans guerre quelques années plus tôt », dénonce l’ancien soldat israélien.

    « Il n’était pas le seul à conspirer : selon Vinogradov, la brave grand’mère Golda Meir (Premier ministre israélien à l’époque Ndlr) avait sacrifié deux mille des meilleurs combattants juifs ( elle ne pensait pas qu’il en tomberait autant, probablement) afin d’offrir à Sadate son heure de gloire et de laisser les USA s’assurer de positions solides au Moyen Orient. Le mémoire nous ouvre la voie pour une réinterprétation complètement inédite du traité de Camp David, comme un pur produit de la félonie et de la fourberie » écrit encore Israël Shamir.

    « Vinogradov était arrivé au Caire pour les funérailles de Nasser, et il y resta comme ambassadeur. Il a rendu compte du coup d’État rampant de Sadate, le moins brillant des hommes de Nasser, qui allait devenir le président par un simple hasard, parce qu’il était le vice-président à la mort de Nasser. Il avait aussitôt démis de leurs fonctions, exclu et mis en prison pratiquement tous les hommes politiques importants de l’Égypte, les compagnons d’armes de Gamal Abd el Nasser, et démantela l’édifice du socialisme nassérien », rappelle-t-il.

    « La perle des archives de Vinogradov, c’est le dossier intitulé « La partie en jeu au Moyen Orient ». Il contient quelques 20 pages dactylographiées, annotées à la main,( et destinées) apparemment au Politbureau et au le gouvernement, daté de janvier 1975, juste après son retour du Caire. La chemise contient le secret mortel de la collusion dont il avait été témoin », précise-t-il.

    « La version officielle de la guerre d’octobre 1973 dit que le 6 octobre 1973, conjointement avec Hafez al-Assad de Syrie, Anouar al Sadat déclencha la guerre, avec une attaque surprise contre les forces israéliennes. Ils traversèrent le canal de Suez et s’avancèrent dans le Sinaï occupé, juste quelques kilomètres. La guerre se poursuivant, les tanks du général Sharon avaient traversé à leur tour le canal, et encerclé la troisième armée égyptienne. Les négociations pour le cessez-le feu avaient débouché sur la poignée de main à la Maison Blanche », rappelle Israël Sharon.

    « En ce qui me concerne, la guerre de Yom Kipour, comme nous l’avions appelée constitue un chapitre important de ma biographie. En tant que jeune parachutiste, j’ai combattu, pendant cette guerre, j’ai traversé le canal, j’ai pris les hauteurs de Gabal Ataka, j’ai survécu aux bombardements et aux corps-à-corps, j’ai enseveli mes camarades, tiré sur les chacals du désert mangeurs d’hommes et sur les tanks ennemis. Mon unité avait été amenée par hélicoptère dans le désert, où nous avons coupé la ligne principale de communication entre les armées égyptiennes et leur base, la route Suez-le Caire. Notre position, à 101 km du Caire, a servi de cadre aux premières conversations pour le cessez-le-feu ; de sorte que je sais que la guerre n’est pas un vain mot, et cela me fait mal de découvrir que moi et mes camarades en armes n’étions que des pions jetables dans le jeu féroce où nous, les gens ordinaires, étions les perdants. Bien entendu, je n’en savais rien à ce moment, pour moi, la guerre était la surprise, mais je n’étais pas général à l’époque », déplore-t-il.

    « Pour Vinogradov, aucune surprise : de son point de vue, tant la traversée du canal par les Égyptiens que les incursions de Sharon étaient planifiées, agréées à l’avance par Kissinger, Sadate et Golda Meir. »

    « Sadate était au point le plus bas de son pouvoir avant la guerre : il perdait son prestige dans son pays et dans le monde. Le moins diplômé et le moins charismatique des disciples de Nasser se retrouvait isolé. Il avait besoin d’une guerre, d’une guerre limitée avec Israël, qui ne se terminerait pas par une défaite. Une telle guerre l’aurait soulagé de la pression de l’armée, et il aurait retrouvé son autorité. Les USA étaient d’accord pour lui donner le feu vert pour la guerre. Sadate devait s’appuyer sur les USA et se dégager de l’URSS. Il était prêt à le faire parce qu’il détestait le socialisme. Il n’avait pas besoin de la victoire, juste d’une non-défaite ; il avait l’intention d’expliquer son échec par la déficience des équipements soviétiques. Voilà pourquoi il avait imparti à l’armée une tâche minimale : traverser le canal et tenir la tête de pont jusqu’à ce que les Américains entrent dans la danse », révèle encore le document.

    « Les USA », pour leur part, « avaient perdu leur emprise sur le Moyen Orient, avec son pétrole, son canal, sa vaste population, au cours de la décolonisation. Ils étaient obligés de soutenir l’allié israélien, mais les Arabes n’arrêtaient pas de se renforcer. Il aurait fallu obliger Israël à plus de souplesse, parce que sa politique brutale interférait avec les intérêts américains. Si bien que les USA devaient conserver Israël en tant qu’allié, mais au même moment il leur fallait briser l’arrogance d’Israël. Les USA avaient besoin d’une occasion de « sauver » Israël après avoir autorisé les Arabes à frapper les Israéliens pendant un moment. Voilà comment les USA permirent à Sadate d’entamer une guerre limitée », apprend-on encore.

    « Les dirigeants israéliens », quant à eux, « se devaient d’aider les USA, leur principal fournisseur et soutien. Les USA devaient consolider leurs positions au Moyen Orient, parce qu’en 1973 ils n’avaient qu’un seul ami et allié, le roi Fayçal. Si les USA devaient retrouver leurs positions au Moyen Orient, les positions israéliennes s’en trouveraient fortifiées d’autant. L’Égypte était un maillon faible, parce que Sadate n’aimait pas l’URSS ni les forces progressistes locales, on pouvait le retourner. Pour la Syrie, il fallait agir au plan militaire, et la briser », explique enfin le document.

    « Cependant, les plans des trois partenaires allaient se voir quelque peu contrariés par la réalité du terrain. (…) Contrairement à leurs espérances, l’URSS prit le parti des Arabes et commença à fournir par voie aérienne l’équipement militaire le plus moderne, aussitôt. L’URSS prit le risque d’une confrontation avec les USA; Sadate ne croyait pas qu’ils le feraient parce que les Soviétiques étaient réticents à la guerre, avant qu’elle éclate. Son second problème, selon Vinogradov, était la qualité supérieure des armes russes aux mains des Égyptiens. Elles étaient meilleurs que l’armement occidental aux mains des Israéliens » précise l’ancien soldat isrélien.

    « En tant que soldat israélien à l’époque, je ne puis que confirmer les paroles de l’ambassadeur. Les Égyptiens bénéficiaient de la légendaire Kalachnikov AK-47, le meilleur fusil d’assaut au monde, alors que nous n’avions que des fusils FN qui détestaient le sable et l’eau. Nous avons lâché nos FN pour nous emparer de leurs AK à la première occasion. Ils utilisaient des missiles antichars Sagger légers, portables, précis, qu’un seul soldat pouvait charger. Les Saggers ont bousillé entre 800 et 1200 chars israéliens », témoigne-t-il.

    « Sadate ne s’attendait pas à ce que les troupes égyptiennes entraînées par les spécialistes soviétiques surpassent leur ennemi israélien, mais c’est ce qui se passa. Elles franchirent le canal bien plus vite que ce qui était prévu, et avec beaucoup moins de pertes. Les Arabes battaient les Israéliens, et c’était une mauvaise nouvelle pour Sadate. Il était allé trop loin. Voilà pourquoi les troupes égyptiennes s’arrêtèrent et ne bougèrent plus. Ils attendaient les Israéliens, mais à ce moment les Israéliens étaient en train de combattre les Syriens. Les Israéliens se sentaient relativement tranquilles du côté de Sadate, et ils avaient envoyé toute leur armée au nord. L’armée syrienne reçut de plein fouet l’assaut israélien et commença à battre en retraite, ils demandèrent à Sadate d’avancer, pour les soulager un peu, mais Sadate refusa. Son armée resta plantée là, sans bouger, malgré le fait qu’il n’y avait pas un Israélien en vue entre le canal et les cols de montagne. Le dirigeant syrien Assad était convaincu à l’époque que Sadate l’avait trahi, et il le déclara franchement à l’ambassadeur soviétique à Damas, Muhitdinov, qui en fit part à Vinogradov. Vinogradov voyait Sadate tous les jours et il lui demanda en temps réel pourquoi ses troupes n’avançaient pas. Il ne reçut aucune réponse sensée: Sadate bredouilla qu’il ne voulait pas parcourir tout le Sinaï pour aller à la rencontre des Israéliens, qu’ils arriveraient bien jusqu’à lui tôt ou tard », apprend-on, enfin.

    « Il était temps de punir Sadate: son armée était trop efficace, son avance trop rapide, et pire encore; il dépendait encore plus des Soviétiques, grâce au pont aérien. Les Israéliens mirent fin à leur avancée sur Damas et envoyèrent les troupes au sud, dans le Sinaï. Les Jordaniens pouvaient à ce moment-là couper la route nord-sud, et le roi Hussein offrit de le faire à Sadate et à Assad. Assad accepta immédiatement, mais Sadate refusa d’accepter l’offre. Il expliqua à Vinogradov qu’il ne croyait pas aux capacités de combat des Jordaniens. S’ils rentrent dans la guerre, c’est l’Égypte qui va devoir les tirer d’affaire. A un autre moment, il dit qu’il valait mieux perdre tout le Sinaï que de perdre un mètre carré en Jordanie: remarque qui manquait de sincérité et de sérieux, du point de vue de Vinogradov. Et voilà comment les troupes israéliennes marchèrent vers le sud sans encombre. »

    « Pendant la guerre, nous les Israéliens savions aussi que si Sadate avançait, il s’emparerait du Sinaï en moins de deux; nous examinions plusieurs hypothèses pour comprendre pourquoi il ne bougeait pas, mais aucune n’était satisfaisante. C’est Vinogradov qui nous donne la clé à présent; Sadate ne jouait plus sa partition, il attendait que les USA interviennent. Et il se retrouva avec le raid de Sharon fonçant ».

    « La percée des troupes israéliennes jusqu’à la rive occidentale du canal est la partie la plus sombre de la guerre, dit Vinogradov. Il demanda à l’État-major de Sadate au début de la guerre pourquoi il y avait une large brèche de 40 km entre les deuxième et troisième corps d’armées, et on lui répondit que c’était une directive de Sadate. La brèche n’était même pas gardée, c’était une porte grande ouverte ».

    « Si les Américains n’ont pas stoppé l’avancée aussitôt, dit Vinogradov, c’est parce qu’ils voulaient avoir un moyen de pression pour que Sadate ne change pas d’avis sur tout le scénario en cours de route. Apparemment la brèche avait été conçue dans le cadre de cette éventualité ».

    Ainsi, « les USA ont « sauvé » l’Égypte en mettant un point d’arrêt à l’avancée des troupes israéliennes. Avec le soutien passif de Sadate, les USA ont permis à Israël de frapper durement la Syrie ».

    Synthèse A.M.I.
    *****************
    L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
    Albert Einstein

  • #2
    @dentdesagesse,

    Aidek mabrouk,

    Abdel nasser savait bien que les sionistes vont bombarder l'Egypte et exactement quand et comment. Mais il a ordonne que les avions militaires Egyptiennes soient bien presentes et placees, etalees, stationnees l'une a cote de l'autre pour que les sionistes les bombardent et les detruisent:

    Commentaire


    • #3
      Aidek moubarak toulousain


      Effectivement, il a fallu que tout les acteurs de cette fameuse guerre perdu contre les sionistes disparaissent pour ouvrir les cellules et libéré la vérité. A cette epoque et apres la guerre Boumediene l'avait Divulguer publiquement khiyana
      L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
      Albert Einstein

      Commentaire


      • #4
        dentdesagesse,

        un type qui dit qu'il est pret a sacrifier 2/3 des Egyptiens pour vivre en paix avec un tierd ne doit etre qu'un traitre. Ceux qui les connaissent et les sovietiques surtout parlent d'un homme hachach, accros a la marijuana et hachich. Reste a savoir si il n'etait pas dose aussi durant la guerre.

        Le probleme ce que ces bons parleurs et personnalites charismatiques sont tres dangereux et peuvent influencer, hypnotiser le peuple facilement. Je me rappelle de Bouteflika quand il etait president les premieres annnees, un bon orateur qui hypnotisait tout le monde '' Arfa3 rassak abaa''.

        Commentaire


        • #5
          merci dentdesagesse

          édifiant ce récit , il Ya eu aussi le roi Hussein de Jordanie qui informait les juifs sur les plans d'attaques de la coalition arabes

          Commentaire


          • #6
            pour le Maroc rien na vraiment changé depuis cette trahison a aujourd'hui














            Guerre des Six-Jours : Nouvelles révélations sur le rôle de Hassan II dans la victoire d’Israël



            En septembre 1965, Hassan II accueillait à Casablanca les chefs arabes lors d’un conclave secret destiné à évaluer les capacités militaires d’une coalition destinée à lancer une offensive éclair contre Israël. Le roi, peu confiant dans ses alliés, a livré les enregistrements de la rencontre à l’Etat hébreu lui permettant de gagner la Guerre des Six-Jours
            Israël doit largement sa victoire sur ses ennemis arabes dans la guerre des Six Jours de 1967 à l’aide secrète du Maroc, selon les révélations faites aujourd’hui par un ancien chef des renseignements militaires israéliens.

            Ariel Sharon (centre)

            En 1965, le roi Hassan II a transmis à Israël des enregistrements d’un conclave clé entre les dirigeants arabes tenu à Casablanca et destiné à la préparation de la guerre contre Israël. L’anecdote est connue : elle avait été déjà révélée par des anciens espions de l’Etat hébreu, mais aujourd’hui, Yedioth Ahronoth (repris par Times of Israël) en apporte de nouveaux détails, expliquant par la voix de témoignages inédits comment cette coopération secrète a été décisive dans la victoire contre la coalition arabe.
            Dix ans plus tôt, En 1954, Nasser, alors numéro 2 du régime, profitait d’une tentative d’assassinat providentielle contre lui pour écarter son rival, le président Naguib

            Des leaders arabes fortement divisés

            Cette rencontre a non seulement révélé que les rangs arabes étaient fortement divisés – de vifs échanges ont éclaté, par exemple, entre le président égyptien Gamal Abdel-Nasser et le roi Hussein de Jordanie – , mais que les nations arabes étaient pour ainsi dire mal préparées pour le conflit, affirme le major-général Shlomo Gazit dans son témoignage au quotidien Yedioth Ahronoth dans son édition dominicale.
            Shlomo Gazit, ancien chef du Renseignement militaire israélien. Son nouveau témoignage abonde dans le sens d’une coopération marocaine dans la défaite des armées arabes dans la guerre de 1967. AMIT MAGAL

            Sur la base de ces enregistrements, ainsi que d’autres informations de renseignements recueillis dans les années qui ont précédé la guerre, Israël a lancé une attaque préventive le matin du 5 juin 1967, bombardant des aérodromes égyptiens et détruisant presque tous ses avions de chasse.
            Les informations transmises par les services secrets marocains ont permis à l’armée de l’air israélienne de détruire au sol l’essentiel de la chasse égyptienne. IDF

            Pendant la guerre, qui a pris fin le 10 juin, Israël a conquis la bande de Gaza et la péninsule du Sinaï en Egypte, la Cisjordanie et Jérusalem-Est à la Jordanie, et les hauteurs du Golan à la Syrie.
            « Le roi Hassan II avait secrètement enregistré la réunion de 1965 parce qu’il ne faisait pas confiance à ses invités de la Ligue arabe », écrit Yedioth. Il a d’abord permis à une équipe conjointe des services de renseignement internes et externes d’Israël, le Shin Bet et le Mossad – une unité connue sous le nom « The birds » (Les oiseaux) – d’occuper un étage entier de l’hôtel Casablanca (aujourd’hui rebaptisé Hyatt Regency), où la conférence s’est tenue. Cependant, craignant que les agents seraient remarqués par les clients arabes, « le roi leur a dit de tout mettre en place un jour avant le début de la conférence », écrit le journal israélien.
            Selon Rafi Eitan – homme politique et ancien officier du renseignement israélien, qui a co-dirigé l’unité « The birds », avec Peter Zvi Malkin, légende vivante du Mossad -, les Marocains « nous ont donné toutes les informations nécessaires, et ne nous ont rien caché. Ils nous ont tout livré immédiatement après que la conférence ait pris fin ».
            Un avantage décisif offert à Israël

            Dans une note de service adressée à Levi Eshkol, alors premier ministre , Meir Amit, chef du Mossad à l’époque, a décrit l’opération au Maroc comme « l’un des fleurons de l’intelligence israélienne ». Les dirigeants arabes avaient secrètement convoqué cette réunion en septembre 1965, à l’hôtel Casablanca. Ils étaient accompagnés de leurs chefs militaires et de renseignement, pour discuter de savoir si leurs unités étaient prêtes à la guerre contre Israël. L’objet était de créer un commandant arabe unifié pour mener les hostilités. Il a été convenu de la nécessité de se préparer concrètement pour la guerre, rapporte Yedioth Ahronoth, ainsi les commandants militaires ont parlé ouvertement de leurs capacités respectives, alors qu’ils étaient sur écoute. Les enregistrements des discussions ont été donnés à la Direction de la Recherche de la Direction du renseignement militaire d’Israël, où ils ont été traduits en hébreu.

            Commentaire


            • #7
              Tout ce qui a etait établi comme histoire durant les années 60/70 n'est qu'a coup monté de toute pièce, les services secrets Bretagnique et usa ont mis en place des traitres gouverneurs qui ont réalisé ce que la guerre à échouée de faire.là ruse consisté de profité de l'âme en feu des peuples qui viennent juste de sortir de la guerre pour les manipulé par des orateurs professionnel
              Et ça a marcher bel jusuq'à présent certains sont encore sous effets de cette dose de discours donné dans les années 70

              Je me rappelle de Bouteflika quand il etait president les premieres annnees, un bon orateur qui hypnotisait tout le monde '' Arfa3 rassak abaa''.

              Il surtout connu de répété la meme phrase trois fois
              Pour l'inculquer bon gré mal gré bla jedkoum ghir tesskenelkoum fi ressankoum
              L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
              Albert Einstein

              Commentaire


              • #8
                out ce qui a etait établi comme histoire durant les années 60/70 n'est qu'a coup monté de toute pièce, les services secrets Bretagnique et usa ont mis en place des traitres gouverneurs qui ont réalisé ce que la guerre à échouée de faire.là ruse consisté de profité de l'âme en feu des peuples qui viennent juste de sortir de la guerre pour les manipulé par des orateurs professionnel
                Il faut surtout pas dire sa. Sinon on t'appelle complotiste. oeilfermé

                Les seuls presidents arabes tues : Sadam et Boumedien. Il y aussi des non arabes tues par des coups d'etat preparees par la CIA, MI5 ect.

                Commentaire


                • #9
                  ben boulaid de rien khou


                  édifiant ce récit , il Ya eu aussi le roi Hussein de Jordanie qui informait les juifs sur les plans d'attaques de la coalition arabes
                  Tout à fait, tel père tel fils
                  L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
                  Albert Einstein

                  Commentaire


                  • #10
                    Désoler je ne peut être rapide je connecte d'après mon appareil mobile trop de difficulté quand j'appuie sur une lettre je tape sur deux a la fois pour la correction automatique que m'exige le dico alors imaginer la peine combien de fois je suis obliger d'effacer et reecrire
                    L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
                    Albert Einstein

                    Commentaire


                    • #11
                      Ben boulaid


                      Apres que ces verites ont éclaté je me demande comment va t'on intégré ces histoires dans les curcus scolaires pour permettre au enfants d'accèder à la vérité toute entière de l'histoire de leurs pays qui les intéressera forcément dans un future non loin? Vont'ils leur mentir et ne les abreuve que du faux? Exemple un pays comme l'algerie comment va t'on faire apprendre ce passé humiliant qui nuissent a l'image de certains pays voisins et autres? Camouflé , est ce une bonne décision? Divulguer ? Ou peut être ne s' appuyer que sur l'apprent et laisse les recherches approfondie aux élèves pour se débrouille?
                      L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
                      Albert Einstein

                      Commentaire


                      • #12
                        Toulousain



                        Il faut surtout pas dire sa. Sinon on t'appelle complotiste.
                        Ceux qui tiennent encore à cette idée de complotiste ignorent que ces infos nous est somme fourni par les principales acteurs qui sont les occidentaux et qui détiennent la majorité de stock d'archive de guerre.

                        Les seuls presidents arabes tues : Sadam et Boumedien. Il y aussi des non arabes tues par des coups d'etat preparees par la CIA, MI5 ect.

                        Ta oublier le roi abdelaziz d'Arabie mort assassiné par sa propre famille lui aussi était tenace et incorruptible
                        L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
                        Albert Einstein

                        Commentaire


                        • #13
                          Ceux qui tiennent encore à cette idée de complotiste ignorent que ces infos nous est somme fourni par les principales acteurs qui sont les occidentaux et qui détiennent la majorité de stock d'archive de guerre.
                          Malgres sa, ils vont te repeter comme des perroquets ecervelles : Theorie de complot. C'est l'argument par excellence des faineants.

                          Commentaire

                          Chargement...
                          X