En l’absence de retransmission des rencontres du Mondial-2018 en Russie par la télévision nationale, le public algérien se rabat sur les chaînes étrangères cryptées et gratuites depuis jeudi, date du coup d’envoi de cette 21e édition
Depuis jeudi dernier, les mordus de foot en Algérie ont trouvé des solutions de rechange pour suivre cet événement planétaire sans débourser le moindre centime.
« S’offrir le bouquet de beIN Sports n’est pas à la portée de toutes les bourses. Alors, nous sommes obligés de voir ailleurs pour ne pas rater le Mondial, il existe plusieurs chaînes qui diffusent les rencontres gratuitement » indique, un téléspectateur d’Alger.
Le bouquet qatari diffuse l’intégralité de la compétition en français, en anglais et en arabe et ce sur plusieurs chaînes dont certaines en 4K (format d’image numérique, Ultra haute définition, ndlr). Même si l’offre de beIN Sports paraît complète, il n’en demeure pas moins que le prix à débourser reste élevé pour la plupart des Algériens.
BeIN Sports n’a pas de distributeur officiel en Algérie mais les offres pour des recharges Coupe du monde de la chaîne qatari ou des abonnements pullulent aussi bien sur internet que dans les boutiques de matériels électroniques, informatiques et de téléphonie mobile.
Pour suivre le Mondial sur les chaînes BeIN, un décodeur officiel coûte au moins 10.000 dinars. Ensuite, il faudra débourser entre 16.000 et 24.000 DA pour le mois (14 juin-15 juillet) du tournoi russe !
Les chaînes allemandes et suisses comme alternatives
Les Algériens ont alors orienté leurs antennes paraboliques vers les deux satellites européens Astra (19.2 Est) et Hot Bird (13.0 Est), afin de casser le « monopole » du bouquet qatari et suivre les matchs sur les chaînes publiques allemandes, en clair ZDF et Das Erste, mais également sur le bouquet suisse, dont le décryptage est disponible et facile dans la majorité des démodulateurs.
Aux dernières nouvelles, beIn Sports a cédé aux « pressions » en concluant un accord avec la Fédération internationale (Fifa) portant sur la diffusion en clair de 22 matchs dont ceux des équipes arabes (Arabie saoudite, Tunisie, Maroc et Egypte).
Algérie focus
Depuis jeudi dernier, les mordus de foot en Algérie ont trouvé des solutions de rechange pour suivre cet événement planétaire sans débourser le moindre centime.
« S’offrir le bouquet de beIN Sports n’est pas à la portée de toutes les bourses. Alors, nous sommes obligés de voir ailleurs pour ne pas rater le Mondial, il existe plusieurs chaînes qui diffusent les rencontres gratuitement » indique, un téléspectateur d’Alger.
Le bouquet qatari diffuse l’intégralité de la compétition en français, en anglais et en arabe et ce sur plusieurs chaînes dont certaines en 4K (format d’image numérique, Ultra haute définition, ndlr). Même si l’offre de beIN Sports paraît complète, il n’en demeure pas moins que le prix à débourser reste élevé pour la plupart des Algériens.
BeIN Sports n’a pas de distributeur officiel en Algérie mais les offres pour des recharges Coupe du monde de la chaîne qatari ou des abonnements pullulent aussi bien sur internet que dans les boutiques de matériels électroniques, informatiques et de téléphonie mobile.
Pour suivre le Mondial sur les chaînes BeIN, un décodeur officiel coûte au moins 10.000 dinars. Ensuite, il faudra débourser entre 16.000 et 24.000 DA pour le mois (14 juin-15 juillet) du tournoi russe !
Les chaînes allemandes et suisses comme alternatives
Les Algériens ont alors orienté leurs antennes paraboliques vers les deux satellites européens Astra (19.2 Est) et Hot Bird (13.0 Est), afin de casser le « monopole » du bouquet qatari et suivre les matchs sur les chaînes publiques allemandes, en clair ZDF et Das Erste, mais également sur le bouquet suisse, dont le décryptage est disponible et facile dans la majorité des démodulateurs.
Aux dernières nouvelles, beIn Sports a cédé aux « pressions » en concluant un accord avec la Fédération internationale (Fifa) portant sur la diffusion en clair de 22 matchs dont ceux des équipes arabes (Arabie saoudite, Tunisie, Maroc et Egypte).
Algérie focus
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