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Certains supporters risquent d'en être pour leurs frais, d'ici à la fin de la Coupe du monde 2018. On annonce une pénurie de C02. Gare aux pressions!
Ca peut paraître hallucinant, dit comme ça, mais le problème est bien réel. Et ce n'est rien de moins que le Financial Times qui titre là-dessus. Le gaz commence à manquer en Angleterre et c'est toute la Perfide Albion qui tremble. Il n'y a qu'un seul producteur de CO2 de l'autre côté de la Manche et les fournisseurs de cet élément indispensable à produire de la pression et des bouteilles sont inquiets.
Le chiffre d'affaires des bistrotiers est en jeu, dans une période où le liquide magique et doré est indispensable. «La Grande-Bretagne serait la plus touchée, une seule grande usine de CO2 continue à fonctionner, s'est inquiétée Brigid Simmons, la présidente de la nécessaire British Beer and Pub Association. Compte tenu de la période de l’année et de la Coupe du monde, cette situation survient au mauvais moment pour l’industrie de la bière».
Les quelques Anglais qui ont fait le déplacement de Mère Russie ne sont pas mieux lotis. Les Russes n'ayant pas l'habitude de recevoir tant de fans venus du monde entier et en même temps ont sous-évalué la quantité astronomique que ceux-ci pouvaient ingurgiter. Du coup, les pubs de Moscou, Saint-Pétersbourg et compagnie ne sont pas à l'abri d'une pénurie eux aussi. Honnêtement, ce serait terrible, même si on a heureusement repéré quelques micro-brasseries dans la capitale.
Il y en a qui ont devancé ce problème: les fans de la Colombie. Les Sud-Américains rivalisent d'ingéniosité pour faire entrer en douce de quoi être «sur Soleure» dans les stades, où l'alcool est prohibé par la Fédération internationale de football depuis des lustres. Des supporters des «Cafeteros» ont réussi à faire passer leur précieux liquide dans... des jumelles. Il y a de vrais acharnés, mais aussi d'autres qui dépassent les limites les deux pieds en avant. Disons que, des fois, l'un peut aller avec l'autre..
20 minutes
Ca peut paraître hallucinant, dit comme ça, mais le problème est bien réel. Et ce n'est rien de moins que le Financial Times qui titre là-dessus. Le gaz commence à manquer en Angleterre et c'est toute la Perfide Albion qui tremble. Il n'y a qu'un seul producteur de CO2 de l'autre côté de la Manche et les fournisseurs de cet élément indispensable à produire de la pression et des bouteilles sont inquiets.
Le chiffre d'affaires des bistrotiers est en jeu, dans une période où le liquide magique et doré est indispensable. «La Grande-Bretagne serait la plus touchée, une seule grande usine de CO2 continue à fonctionner, s'est inquiétée Brigid Simmons, la présidente de la nécessaire British Beer and Pub Association. Compte tenu de la période de l’année et de la Coupe du monde, cette situation survient au mauvais moment pour l’industrie de la bière».
Les quelques Anglais qui ont fait le déplacement de Mère Russie ne sont pas mieux lotis. Les Russes n'ayant pas l'habitude de recevoir tant de fans venus du monde entier et en même temps ont sous-évalué la quantité astronomique que ceux-ci pouvaient ingurgiter. Du coup, les pubs de Moscou, Saint-Pétersbourg et compagnie ne sont pas à l'abri d'une pénurie eux aussi. Honnêtement, ce serait terrible, même si on a heureusement repéré quelques micro-brasseries dans la capitale.
Il y en a qui ont devancé ce problème: les fans de la Colombie. Les Sud-Américains rivalisent d'ingéniosité pour faire entrer en douce de quoi être «sur Soleure» dans les stades, où l'alcool est prohibé par la Fédération internationale de football depuis des lustres. Des supporters des «Cafeteros» ont réussi à faire passer leur précieux liquide dans... des jumelles. Il y a de vrais acharnés, mais aussi d'autres qui dépassent les limites les deux pieds en avant. Disons que, des fois, l'un peut aller avec l'autre..
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