Pour moi said Bey est le prochain Gaid Salah
Le prochain président algérien : ni Ouyahia ni Bouteflika, mais un autre homme dont le nom n’est pas méconnu
21 janvier 2018
Au fond, rien ne va plus entre le tandem Ahmed Ouyahia et Saïd Bouteflika, Il va falloir bientôt opérer un choix, ou l’éviction du premier ou celle du second car la présence au sommet des affaires de l’état des deux hommes en même temps est devenue réellement incompatible et pour cause: Les qu’en-dira-t-on qui fusent de toutes parts et dans tous les sens sur la prochaine éviction de Ahmed Ouyahia, le concerné ne l’entend pas de cette oreille. L’homme qui n’a ni foi ni loi est prêt à passer sur le ventre de sa mère pour se maintenir au pouvoir.
Il faut dire que Saïd Bouteflika est désemparé, il joue avec les pieds de son frère terriblement affecté par plusieurs maladies. Il nargue les généraux d’affaires tout en démontrant à l’institution militaire qu’il a la capacité de la faire chanter durablement.
C’est donc Saïd Bouteflika, complétement paranoïaque, qui lance des rumeurs tantôt via les chefs de gouvernement comme ce fut le cas avec Sellal, Tebboune et présentement avec Ouyahia ou encore en utilisant les patrons du FLN, Saadani, OuldAbbes, sauf que le singulier Ouyahia sait que les Bouteflika sont finis, que l’empire d’Ali Haddad et de tous ceux qui ont fait fortune grâce à l’argent de l’état, s’écrouleraient comme des châteaux de carte si la prise prochaine du pouvoir par une nouvelle équipe gouvernante sort du chapeau de la magie des plus puissants.
Mourad Amrani.
21 janvier 2018
Au fond, rien ne va plus entre le tandem Ahmed Ouyahia et Saïd Bouteflika, Il va falloir bientôt opérer un choix, ou l’éviction du premier ou celle du second car la présence au sommet des affaires de l’état des deux hommes en même temps est devenue réellement incompatible et pour cause: Les qu’en-dira-t-on qui fusent de toutes parts et dans tous les sens sur la prochaine éviction de Ahmed Ouyahia, le concerné ne l’entend pas de cette oreille. L’homme qui n’a ni foi ni loi est prêt à passer sur le ventre de sa mère pour se maintenir au pouvoir.
Ahmed Ouyahia conditionne sa candidature aux élections présidentielles
Il a fait sous-entendre avant-hier avec sournoiserie, lors d’une conférence de presse organisée à la hâte, que ce que les rumeurs lui prêtent n’est pas tout à fait la vérité, il déclarera : « Je serais aux côtés de Bouteflika s’il se présentait à un 5ème mandat ». Il est clair donc que Ahmed Ouyahia conditionne sa candidature aux élections présidentielles dans le sens où il ne se présenterait pas si Bouteflika venait à briguer un 5ème mandat, entendez qu’il se présentera le cas échéant, or tout le monde sait que la santé du président Bouteflika ne lui permettra pas de faire de la figuration pendant 5 nouvelles années.Saïd Bouteflika a-t-il la capacité de faire chanter l’institution militaire ?
Selon un général encore en fonction, Ahmed Ouyahia n’a pas agi sur un coup de tête quand il a annoncé la privatisation des entreprises étatiques, c’est Saïd Bouteflika qui lui a mis la puce à l’oreille. Le général précisera que « Ce fut une déclaration test qui n’a fait que rager des généraux rivaux. » Il faut dire que Saïd Bouteflika est désemparé, il joue avec les pieds de son frère terriblement affecté par plusieurs maladies. Il nargue les généraux d’affaires tout en démontrant à l’institution militaire qu’il a la capacité de la faire chanter durablement.
C’est donc Saïd Bouteflika, complétement paranoïaque, qui lance des rumeurs tantôt via les chefs de gouvernement comme ce fut le cas avec Sellal, Tebboune et présentement avec Ouyahia ou encore en utilisant les patrons du FLN, Saadani, OuldAbbes, sauf que le singulier Ouyahia sait que les Bouteflika sont finis, que l’empire d’Ali Haddad et de tous ceux qui ont fait fortune grâce à l’argent de l’état, s’écrouleraient comme des châteaux de carte si la prise prochaine du pouvoir par une nouvelle équipe gouvernante sort du chapeau de la magie des plus puissants.
Saïd Bey, un homme instruit, discret et travailleur
Les pronostics sur le nom du prochain président vont bon train, mais deux noms reviennent souvent, ceux de Ahmed Ouyahia et d’un général pas comme les autres : Saïd Bey, un homme instruit, discret et travailleur. Dans les deux cas, les généraux d’affaires ne craindront pas pour leurs affaires et les Bouteflika et leurs hommes de paille, ne seront pas tout à fait spoliés. Il se dessinera alors, à l’aube de 2020, une Algérie qui sera mise à l’épreuve pour une durée de 5 ans.Mourad Amrani.
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