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uinze mois après son lancement officiel, la Cité Mohammed VI Tanger Tech est sur une dynamique fructueuse. Le Comité central de pilotage du projet tire ainsi un bilan « de réalisations probant », comme l’a souligné Othman Benjelloun en sa qualité de Président de la Société d’aménagement de la Cité Mohammed VI Tanger Tech. «A la faveur de la mobilisation de ce Comité, plusieurs avancées appréciables sont à saluer », a ajouté Benjelloun à l’annonce de l’état d’avancement du projet.
Le Président de la Société d’aménagement de la Cité Mohammed VI Tanger Tech indique que le premier objectif de la phase de lancement du Projet a été atteint. Celui-ci concerne la mobilisation par les autorités compétentes d’un total de 2150 ha dans la région d’Ain Dalia, et du parachèvement effectif des procédures d’expropriation relatives aux terrains de la première tranche du Projet.
Cette opération a duré, à elle seule, plus d’une année. « Elle a été suivie de la réalisation par les autorités locales des travaux d’infrastructures dites «Hors-Site» de la première tranche, incluant réseaux routiers, d’eau potable, d’assainissement et d’électricité », a ajouté la même source. Ce chantier est presque finalisé aujourd’hui, annonce Benjelloun, « rendant possible une prochaine installation des investisseurs avec lesquels plusieurs conventions ont été conclues, tels que LEAR, YAZAKI, DICASTAL ou encore BYD Auto Industry («Build Your Dreams »)...
Par ailleurs, depuis la mise en place de la Tanger Tech, la société de développement et de gestion du Projet a été effectivement créée en novembre 2017 sous la dénomination de Société́ d’aménagement Tanger Tech, et a été dotée d’un capital initial de 500 millions de DH.
En parallèle, d’autres chantiers ont été mis sur les rails, en partenariat avec des leaders mondiaux. Cela concerne la réalisation du Master Plan de la nouvelle Cité par le cabinet de design américain AECOM, pour une livraison prévue début novembre 2018. Des mandats ont été également confiés au cabinet BCG par le ministère de l’Industrie pour la réalisation des études de marché, d’une part, et la prospection de partenaires potentiels de renom, d’autre part. Notons également l’attribution par la Société d’aménagement de Tanger Tech du marché de la préparation du Business Plan de la future Cité à BCG. Par ailleurs, d’études techniques ont été confiées au bureau d’études CID.
« Nombreuses sont aujourd’hui les manifestations d’intérêt exprimées par des partenaires potentiels de stature internationale, souvent à capitaux publics, avec lesquels des discussions ou des négociations sont engagées », a annoncé Othman Benjelloun, citant à titre d’exemple China State Construction Engineering Corporation qui compte parmi les investisseurs les plus puissants de Chine...
Pour la mise en place de Tanger Tech, Benjelloun a expliqué que le Maroc s’est beaucoup inspiré de l’expérience chinoise dans le domaines des parcs industriels. « Nous nous acheminons vers un concept unique de cité industrielle qui valorisera le Maroc et s’érigera, à terme, en modèle pour l’ensemble du continent », ajoute-t-il.
Notons que la cité Tanger Tech devrait par ailleurs abriter l’Université PanAfrica qui accueillera des étudiants méritants de toute l’Afrique et permettra d’établir, à partir du Maroc, des passerelles avec les plus prestigieuses universités d’Amérique, d’Europe et d’Asie.
Rappel
En lançant le projet de la Tanger Tech, le Maroc s’est engagé dans un programme d’impulsion économique multidimensionnel.
Le projet a été lancé le 20 mars 2017 à Tanger sous la Présidence du roi Mohammed VI, devant un parterre de ministres, de Conseillers royaux, de l’Ambassadeur de Chine au Maroc et de représentants des autorités publiques et privées. Il prévoit la création d’une ville « Industrielle » futuriste. Le Comité Central de Pilotage du Projet a été institué pour assurer le suivi régulier de l’exécution des chantiers. Il a également une responsabilité d’arbitrage et de décision stratégique en matière d’orientation des investissements. Ce Comité regroupe le ministre de l’Intérieur, le ministre de l’Economie et des finances, le ministre de l’Industrie, du commerce, de l’investissement et de l’économie numérique, le Wali de la région Tanger Tétouan Al-Hoceima, le Président du Conseil de la Région et le Président de BMCE Bank of Africa.
les éco
Le Président de la Société d’aménagement de la Cité Mohammed VI Tanger Tech indique que le premier objectif de la phase de lancement du Projet a été atteint. Celui-ci concerne la mobilisation par les autorités compétentes d’un total de 2150 ha dans la région d’Ain Dalia, et du parachèvement effectif des procédures d’expropriation relatives aux terrains de la première tranche du Projet.
Cette opération a duré, à elle seule, plus d’une année. « Elle a été suivie de la réalisation par les autorités locales des travaux d’infrastructures dites «Hors-Site» de la première tranche, incluant réseaux routiers, d’eau potable, d’assainissement et d’électricité », a ajouté la même source. Ce chantier est presque finalisé aujourd’hui, annonce Benjelloun, « rendant possible une prochaine installation des investisseurs avec lesquels plusieurs conventions ont été conclues, tels que LEAR, YAZAKI, DICASTAL ou encore BYD Auto Industry («Build Your Dreams »)...
Par ailleurs, depuis la mise en place de la Tanger Tech, la société de développement et de gestion du Projet a été effectivement créée en novembre 2017 sous la dénomination de Société́ d’aménagement Tanger Tech, et a été dotée d’un capital initial de 500 millions de DH.
En parallèle, d’autres chantiers ont été mis sur les rails, en partenariat avec des leaders mondiaux. Cela concerne la réalisation du Master Plan de la nouvelle Cité par le cabinet de design américain AECOM, pour une livraison prévue début novembre 2018. Des mandats ont été également confiés au cabinet BCG par le ministère de l’Industrie pour la réalisation des études de marché, d’une part, et la prospection de partenaires potentiels de renom, d’autre part. Notons également l’attribution par la Société d’aménagement de Tanger Tech du marché de la préparation du Business Plan de la future Cité à BCG. Par ailleurs, d’études techniques ont été confiées au bureau d’études CID.
« Nombreuses sont aujourd’hui les manifestations d’intérêt exprimées par des partenaires potentiels de stature internationale, souvent à capitaux publics, avec lesquels des discussions ou des négociations sont engagées », a annoncé Othman Benjelloun, citant à titre d’exemple China State Construction Engineering Corporation qui compte parmi les investisseurs les plus puissants de Chine...
Pour la mise en place de Tanger Tech, Benjelloun a expliqué que le Maroc s’est beaucoup inspiré de l’expérience chinoise dans le domaines des parcs industriels. « Nous nous acheminons vers un concept unique de cité industrielle qui valorisera le Maroc et s’érigera, à terme, en modèle pour l’ensemble du continent », ajoute-t-il.
Notons que la cité Tanger Tech devrait par ailleurs abriter l’Université PanAfrica qui accueillera des étudiants méritants de toute l’Afrique et permettra d’établir, à partir du Maroc, des passerelles avec les plus prestigieuses universités d’Amérique, d’Europe et d’Asie.
Rappel
En lançant le projet de la Tanger Tech, le Maroc s’est engagé dans un programme d’impulsion économique multidimensionnel.
Le projet a été lancé le 20 mars 2017 à Tanger sous la Présidence du roi Mohammed VI, devant un parterre de ministres, de Conseillers royaux, de l’Ambassadeur de Chine au Maroc et de représentants des autorités publiques et privées. Il prévoit la création d’une ville « Industrielle » futuriste. Le Comité Central de Pilotage du Projet a été institué pour assurer le suivi régulier de l’exécution des chantiers. Il a également une responsabilité d’arbitrage et de décision stratégique en matière d’orientation des investissements. Ce Comité regroupe le ministre de l’Intérieur, le ministre de l’Economie et des finances, le ministre de l’Industrie, du commerce, de l’investissement et de l’économie numérique, le Wali de la région Tanger Tétouan Al-Hoceima, le Président du Conseil de la Région et le Président de BMCE Bank of Africa.
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