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« Faux terrorisme » et conspiration : les services spéciaux derrière de nombreux attentats ?

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  • « Faux terrorisme » et conspiration : les services spéciaux derrière de nombreux attentats ?

    Elias Davidsson, ce chercheur en droit international indépendant, est persuadé que les attentats ayant frappé les capitales européennes sont « souvent tramés par les services spéciaux ». Dans un commentaire à Sputnik, il défend son point de vue, évoquant les « marionnettistes » et les objectifs militaro-politiques qu'à son avis ils poursuivent.

    « Après chaque attentat terroriste, on incrimine les islamistes de l'avoir organisé. Quant aux gouvernements et aux partis au pouvoir, ils ne tardent pas à annoncer les mesures qui dans les faits élargissent les prérogatives des forces de l'ordre. On peut dire que l'État policier se renforce ainsi. Cela à son tour limite certains droits de nos citoyens et, en effet, mutile notre doit pénal », explique à Sputnik Elias Davidsson, ce spécialiste en droit international.

    Membre du mouvement européen pour la vérité sur les attentats du 11 septembre, il est convaincu que les attentats terroristes sont souvent des mises en scène orchestrées par les services spéciaux et ce, selon lui, dans le but de légitimer des opérations militaires dans différents pays et de serrer la vis à l'intérieur des pays.

    Poursuivant son argumentation, il souligne que ce qu'il vient de mentionner débouche sur la persécution des personnes pour leurs idées: « Le code pénal ne l'a jamais vu. Et maintenant, les convictions deviennent une partie du crime. [...] On l'observe aux États-Unis et surtout au Royaume-Uni. On le voit même en France et maintenant en Allemagne aussi ».

    À la demande d'illustrer ses propos par des exemples, il cite à titre d'exemple l'Afghanistan. « Les États-Unis et le Royaume-Uni ont attaqué l'Afghanistan sur un mensonge. Les mensonges, selon lesquels ce pays aurait été lié aux attentats du 11 septembre 2001 », dit-il. Et de souligner que les preuves de cette implication n'étaient toujours pas fournies à ce jour, même devant le Conseil de sécurité de l'Onu.

    Attentats « organisés par les autorités »?

    Il déduit donc que la lutte contre le terrorisme poursuit d'autres objectifs que ceux annoncés et, qui plus est, que dans la plupart des cas les attaques terroristes ne sont pas menées par les islamistes. D'après lui, cela concerne même les attentats du 11 septembre:

    « Résolument, c'était une opération planifiée au niveau de l'État, dont l'auteur est le Pentagone. L'histoire des islamistes est un mensonge tactique, destiné à détourner l'attention publique ».

    Et quid d'autres attentats sanglants? Elias Davidsson dit avoir examiné 15 attentats, dont ceux de Madrid, de Londres, de Paris, de Nice, d'Amman, d'Istanbul, et avoir déduit que « tous ses attaques terroristes, à part une, étaient très probablement organisées par les autorités ».

    Toutefois, souligne-t-il, il ne pense pas qu'il s'agisse des services spéciaux de pays pris à part, mais d'actions suivies par un même point de commandement, tous ces attentats ayant à ses yeux des traits communs. « Cela peut être tout un réseau impliquant des services spéciaux étrangers », relate-t-il.

    Quid du terrorisme islamiste?

    Le « terrorisme islamiste » n'existerait-il donc pas à ses yeux? À cette question, il réplique en soulignant que le terme est erroné en soi et serait pareil aux « tortures démocratiques » de Guantanamo. Selon lui, les trois religions monothéistes sont pacifistes.

    « Certes, ce phénomène existe par exemple en "Israël", en Palestine, parmi différents groupuscules en Irak. Mais il est erroné de le qualifier d'"islamiste", c'est dévalorisant pour l'islam. On peut se demander pourquoi les gens perpètrent des attentats? Ma réponse est que le terrorisme est motivé par des raisons politiques et non religieuses. La religion n'est qu'un prétexte pour ces opérations », conclut-il.

    Sputnik
    02 juil. 2018

  • #2
    Ma conclusion : les politiciens qui n'ont pas de foi (religieuse authentique) ou pas de principes (humanistes) à appliquer rigoureusement, ne sont que de véritables mafioso !!

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    • #3
      sputnik est un relais du ministère de l’intérieur russe ,
      peut il nous apporter un éclairage sur les attentats attribués aux musulmans,notamment les tchétchènes dont la capitale grozny a été complétement rasée justement pour leur prétendue responsabilité dans des attentats.

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      • #4
        dont la capitale grozny a été complétement rasée justement pour leur prétendue responsabilité dans des attentats.
        A tel point que cette ville a été considérée comme la plus détruite depuis la seconde guerre mondiale, avec en plus 100 000 morts.

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        • #5
          Elias Davidsson, ce chercheur en droit international indépendant
          Premier mensonge. Elias Davidsson est musicien.

          Il est aussi l'un des porte-drapeaux de la théorie du complot.

          Degré de crédibilité = 0 ! oeilfermé

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          • #6
            @Anzoul

            sputnik est un relais du ministère de l’intérieur russe ,
            peut il nous apporter un éclairage sur les attentats attribués aux musulmans,notamment les tchétchènes dont la capitale grozny a été complétement rasée justement pour leur prétendue responsabilité dans des attentats.
            La Russie est responsable de l'effondrement des terroristes en Syrie, et,aussi de sa "trahison" envers Israël. Parce que les terroristes en Syrie étaient des combattants d’Israël. Donc, la Russie est du coté des Musulmans, des Arabes et des Chrétiens arabes, ces ennemis éternels d’Israël. Son action efficace en Syrie a démontré qui sont derrière les terroristes : Israel, les USA, la France, la Grande-Bretagne, la Saoudie, le Qatar, la Jordanie, l'Egypte de Sissi, le Bahrein, les Emirats ... Pour cette raison, toute action des Russes est suspect pour Israël et ses sponsors occidentaux. Les terroristes Tchétchènes sont aidés par Israël. La Russie l'avait compris, c'est pourquoi elle avait accepté d'aider la Syrie. Les actions des gouvernements occidentaux sont à l'opposé de celles du gouvernement russe. Car les ces gouvernements ont poussé leurs terroristes dits islamistes à commettre des attentats en Russie. La Russie a le droit de se défendre dans son propre territoire sans demander l'avis de quiconque. L'article accuse les gouvernements occidentaux de terrorisme sous faux drapeau (et non pas la Russie).
            La Russie a contribué grandement à casser les projets "israéliens" en Syrie.
            Dernière modification par Elghifari, 03 juillet 2018, 18h10.

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            • #7
              Les barbus tchétchènes n'ont rien de musulmans car ils sont fanatiques financés par les wahabites de l'arabie sahyounite.

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              • #8
                @Anzoul

                sputnik est un relais du ministère de l’intérieur russe
                Macron, qui roule pour la source du terrorisme :Israël, envisage d'interdire les médias russes installés en France !!

                Ce qui veut dire : Sputnik contrarie les lobbys terroristes sionistes !!

                Commentaire


                • #9
                  Les terroristes Tchétchènes sont aidés par Israël.
                  Veuillez produire vos sources concernant ce délire, sinon votre information ne pourra que prêter à la rigolade.
                  En mars 2014, le président tchétchène pro-russe, Ramzan Kadyrov a été reçu par Israël pour l'inauguration de la plus grande mosquée du pays.
                  Donc, j'en conclus que ce président, qui traque impitoyablement les terroristes tchétchènes, est ami avec un pays qui soutient ce même terrorisme.
                  Très intéressant !

                  Commentaire


                  • #10
                    Macron, qui roule pour la source du terrorisme :Israël, envisage d'interdire les médias russes installés en France
                    Encore une fake news !
                    Il n'a pas cette intention.
                    Pendant sa campagne électorale, il avait simplement écarté de son QG de campagne les médias Sputnik et RT France, en raison des calomnies que ceux-ci répandaient à son encontre.

                    Après les calomnies contre le candidat Macron, les organes proches du Kremlin se montrent respectueux envers le président.

                    Grâce à Internet et aux réseaux sociaux, il fut un temps pas si lointain où la Russie exportait les calomnies et les "fake news" sur Emmanuel Macron avec autant d'efficacité que le gaz dans ses pipelines. Alors qu'il a débuté ce jeudi une visite officielle de deux jours à Saint-Petersbourg, la ville de Vladimir Poutine, le président français n'ignore pas que c'est d'ici que sont parties les rumeurs les plus malveillantes qui l'ont visé lors de son accession au pouvoir.
                    Et maintenant ? Plus aucun allusion à la supposée homosexualité du président français, ni de soupçons sur un prétendu compte caché dans un paradis fiscal. Les piques sur la différence d'âge entre Emmanuel Macron et sa femme Brigitte, elles aussi, se font plus rares. Le Moskovski Komsomolets, un quotidien à très grand tirage, va même jusqu'à évoquer une "épatante épouse" à la faveur de la visite du jour, en soulignant qu'elle porte des minijupes pour mettre en valeur ses longues jambes.Les médias les plus virulents semblent s'être alignés sur le légalisme du maître du Kremlin, qui s'était affiché avec Marine Le Pen pendant la campagne présidentielle, avant de féliciter Emmanuel Macron pour son élection.

                    Le ton est désormais neutre et sérieux. Sur la sulfureuse RT (ex-Russia Today), un expert, Igor Ignatchenko, donne crédit au jeune chef de l'Etat en visite de vouloir jouer les "intermédiaires entre l'Occident et l'Orient", et reconnaît "que la France a un accès particulier au président russe". Aux yeux de la Russie, malgré les divergences nombreuses, il a fait ses preuves. "Contrairement aux Américains, peut-on lire dans le journal Kommersant, Macron comprend qu'avec la Russie, adopter le langage des ultimatums est vain."

                    En fait, l'accession à la présidence d'Emmanuel Macron a fait disparaître comme par miracle les calomnies. Sa combinaison de fermeté et d'égards envers Vladimir Poutine semble lui valoir un certain respect. Il échange tous les mois par téléphone avec le président russe. Il l'a invité à Versailles moins d'un mois après son arrivée à l'Elysée. A cette occasion, lors d'une conférence de presse commune, il avait fustigé RT et Sputnik, accusés d'être des "organes d'influence" répandant "des contre-vérités infamantes".

                    Il en allait autrement du temps de la campagne présidentielle française, début 2017, quand les médias d'influence pro-Kremlin relayaient un discours fielleux à l'encontre du candidat d'En Marche. "Tout y est passé, rappelle Tatiana Kastoueva-Jean, chercheuse à l'IFRI. Macron n'était pas le candidat préféré des Russes, qui oscillaient entre François Fillon et Marine Le Pen."
                    Sputnik, dans l'une de ses déclinaisons internationales, le présentait comme un "agent américain" oeuvrant "dans l'intérêt du marché financier américain en France", avec le soutien "d'un très riche lobby gay". Tandis que Komsomolskaïa Pravda titrait sur le "mari secret" du candidat centriste, et qu'un autre article le traitait de "psychopathe qui déteste la France". Entre les deux tours, les calomnies de certains médias, convaincus que Marine Le Pen pouvait l'emporter, ont encore redoublé d'intensité.
                    Le sens du ventIl en allait autrement du temps de la campagne présidentielle française, début 2017, quand les médias d'influence pro-Kremlin relayaient un discours fielleux à l'encontre du candidat d'En Marche. "Tout y est passé, rappelle Tatiana Kastoueva-Jean, chercheuse à l'IFRI. Macron n'était pas le candidat préféré des Russes, qui oscillaient entre François Fillon et Marine Le Pen."
                    Sputnik, dans l'une de ses déclinaisons internationales, le présentait comme un "agent américain" oeuvrant "dans l'intérêt du marché financier américain en France", avec le soutien "d'un très riche lobby gay". Tandis que Komsomolskaïa Pravda titrait sur le "mari secret" du candidat centriste, et qu'un autre article le traitait de "psychopathe qui déteste la France". Entre les deux tours, les calomnies de certains médias, convaincus que Marine Le Pen pouvait l'emporter, ont encore redoublé d'intensité.
                    Des propos que tous se gardent dorénavant de relayer. "On retrouve les éléments de langage défendus par la présidence, observe Tatiana Kastoueva-Jean. Ces médias s'adaptent au sens du vent, soufflé par le Kremlin."
                    source : L'Express
                    Dernière modification par alibigoud, 03 juillet 2018, 18h45.

                    Commentaire


                    • #11
                      alibigoud,
                      Daesh, les barbus de Tchètchène sont armés par qui d'après vous ?

                      Commentaire


                      • #12
                        Daesh, les barbus de Tchètchène sont armés par qui d'après vous ?
                        Comme la réponse que je pourrais faire est un peu longue à écrire, je me réfère à cet article qui est assez documenté sur la question.

                        Un rapport fait la lumière sur l’origine des armes utilisées par l’EI

                        Le mérite du dernier rapport du Conflict Armament Research (CAR, basé au Royaume-Uni) est de documenter ce que l’on pouvait pressentir au sujet de l’origine des armes et des munitions utilisées par l’État islamique (EI ou Daesh) en Syrie et en Irak. Pour cela, les enquêteurs de cet organisme ont étudié pas moins de 40.000 pièces d’armements laissées sur le terrain par l’organisation jihadiste après ses revers face aux forces irakiennes et aux milices kurdes syriennes.
                        Le premier point est que les armes et munitions utilisées par les jihadistes en Irak ne pas exactement les mêmes que celles examinées en Syrie.
                        Ainsi, l’origine d’une part importante des armes de l’EI examinées en Irak ont été conçues en Chine, en Hongrie et en Roumanie. En Syrie, a relevé le CAR, les données montrent une tendance différente : « la Russie a fabriqué la plupart des armes, suivie de près par la Chine puis par d’anciens pays du Pacte de Varsovie, aujourd’hui membres de l’Union européenne (Roumanie, Hongrie et Bulgarie). Enfin, le rapport indique également que 2% des armes ont été manufacturées aux États-Unis.
                        Un second point est que, dans une proportion significative, elles ont été produites par des pays de l’ex-Pacte de Varsovie entre 1960 et 1989. « Cette tendance est vraisemblablement le résultat de transferts effectués pendant la Guerre froide et des transferts de surplus immédiatement après la fin de cette dernière », estime le CAR. Quant aux armes les plus récentes, c’est à dire fabriquées après 2000, elles viennent de Chine, de Bulgarie, de Roumanie et d’Iran.
                        « Environ 90% des armes et des munitions (97% en Syrie et 87% en Irak) utilisées par l’EI répondent aux normes de l’ex-Pacte de Varsovie et sont originaires principalement de Chine, de Russie et d’Europe de l’Est. Les armes et les munitions de calibre Otan sont beaucoup moins répandues, représentant respectivement 3% et 13% du total », souligne le CAR.
                        En grande partie, l’arsenal de l’EI a été constitué par le pillage des stocks des forces syriennes et irakiennes, après la prise de bases alors occupées par ces dernières. Ce fut le cas à Mossoul ou encore, plus récemment, à Palmyre où les jihadistes s’emparèrent de 26 chars, de 13 pièces d’artillerie et de 5 systèmes sol-air.
                        Mais pas seulement. En effet, l’EI a aussi mis la main sur des armes qui avaient été livrées par les États-Unis et l’Arabie saoudite (notamment) à des mouvements hostiles à Bachar el-Assad, comme le Jaysh Al-Nasr, une coalition de groupes rebelles de l’Armée syrienne libre (ASL), ou encore la New Syrian Army.
                        Le rapport du CAR cite 12 cas où un tel transfert s’est produit, soit à l’issue de combats entre un groupe rebelle et l’EI, soit par un changement d’alliance au sein de l’insurrection syrienne. Ces armes ont été acquises par les États-Unis auprès de pays européens (notamment en Bulgarie, pour des missiles anti-char) pour ensuite livrées à l’opposition syrienne, malgré les clauses interdisant leur réexportation.
                        « Les éléments recueillis par le CAR montrent que les Etats-Unis ont détourné à plusieurs reprises des armes et des munitions au profit de forces d’opposition dans le conflit syrien. Les forces de l’EI ont obtenu rapidement une part importante de ce matériel », explique le rapport, qui fait la même observation au sujet de l’Arabie Saoudite.
                        Cela étant, il est à noter que parmi les 40.000 armes étudiées par le CAR, il n’est fait aucune mention des missiles anti-char américains BGM-71 TOW qui, livrés à l’opposition, ont causé de lourds dégâts aux forces syriennes.
                        Les trafics ont été une autre source d’approvisionnement de Daesh. Ainsi, indique le rapport, il « existe des liens clairs entre les armes étudiées par les enquêteurs [du CAR] en Libye et celles déployées par les combattants de l’EI en Irak et en Syrie. » En outre, des roquettes utilisées par les jihadistes provenaient de lots déjà identifiés au Yémen. Des copies chinoises du fusil américain M-16, initialement livrées au Soudan, ont été retrouvés par les miliciens kurdes à Kobané.
                        « Cela montre que les armes se dispersent entre des conflits en Afrique et au Moyen-Orient qui ne sont pourtant pas eux-mêmes connectés », estime le rapport.
                        Par ailleurs, et s’agissant des éléments nécessaires à la fabrication d’engins explosifs improvisés (IED), le CAR explique que l’EI a « établi un réseau d’approvisionnement qui s’étend profondément dans les pays voisins ». Sur ce point, la « Turquie [ou, du moins, des intermédiaires turcs] est apparue comme la principale source de précurseurs d’explosifs chimiques et de matériels auxiliaires. »
                        Source : Opex360

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                        • #13
                          Alibigoud, La Turquie fait partie de l'Otan, c'est à dire que les usa et israhel sont derrière le soutien de Daech.

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